Chapitre 3: Épluche moi trois patates

Intriguée par cette magnifique scène, je m'élançai dans la librairie. Là une petite dame avec le dos courbée, les joues tombantes et une petite paire de lunettes ronde, m'accueillit avec un grand sourire. Une fois arrivé dans la boutique je partie voir le rayon des livres romantiques.

-"Je vois que vous aimez les histoires romantiques et fantastiques. Je me permets de vous suggère ce livre." me conseilla la vielle dame.

Dans ces mains ce trouvais un gros volume, à la couverture bleue marine recouvert de dorure, avec pour titre le dragon de l'aube. Je prie le livre qu'elle me tendait et commençai à le feuilleté, prie dans cette histoire je ne vis pas le temps passé. Quand mon téléphone ce mis à sonner. C'était ma mère qui m'appeler car il était maintenant 19h et j'aurais déjà dû être rentré depuis 2h. Avant de partir je me dirigeai vers ma vieille dame pour payer le roman quant elle m'arrête dans mon élan.

-"Je vous l'offre jeune fille dit telle en me sourient passer une bonne soirée et rentré bien"

-"Merci madame je reviendrai vous voir très bientôt dit j'en passant le pas de la porte Au revoir "

Sur le chemin du retour je vis une magnifique libellule qui se pausa sur ma main et qui s'envola dès que je franchis le pas de la porte. Quand ma mère me vit elle me prie part l'oreille.

-" Tu sais a quel point j'étais inquiète. À quoi ça sert d'avoir un téléphone et une montre si on n'est pas capable de lire l'heure. Qu'est-ce que je vais faire de toi !Ahhh! Dit-elle. Vas éplucher trois patates aux lieux de me regarder comme ça."

Après le dîner je m'installai dans mon lit et commençai à le feuilleté .

Avant de m'endormir j'avais pu lire dans une cinquantaine de page que livre avait pour héros duc Warlock. Ce dernier était le seigneur des terres du nord redoutait de tous. Un jour il épousa Talia de Estielle fille d'un comte du Sud sur ordre de l'empereur.

À mon réveil je vis sur le plafond recouvert de moulures . Je me levai pourvoir regarder autour de moi je constatai que mon lit n'était pas le même là où le mien possédait une couverture toute simple avec des points coloré et deux pauvres cousins .Celui-ci était gigantesque avec de gros édredon et six cousins tous rembourrés de plume ois. De plus la chemises de nuit que je portais la nuit passée avait disparu laissant place à une robe de chambre en coton. Devant moi je vis un grand miroir style Louis XVI tout doré. Dans ce miroir ce trouvait une jeune fille frêle aux traits fin, possédant de fin, longs cheveux violet, une magnifique paire yeux vert jade.

En regardant ma main je vis de long et fin doigts délicats, entre eux se trouvais ces mêmes cheveux violet .

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