Chapitre 2: A la météo il y aura de la pluie

Sur les vitres pleines de buées où le seul moment où l'on pouvait distinguer un peu de pays était ce où les gouttes de pluie venaient s'écraser sur les vitres. Quelques fois, je me surprenais à observer leurs batailles. T'elles des larmes, elles coulaient sur les vitres comme si le ciel lui aussi était triste en cette journée.

Je vous arrête tout de suite je ne suis pas triste ce ci est le début du nouveau roman que le lit pluie quelque chose il s'appelle. Enfin comme je l'ai dit plutôt je ne suis pas larmoyante cependant ce jour-là il tombait effectivement des cordes. Dans ma salle de classe notre professeure de maths s'efforçait à nous faire apprendre nos leçons. Au premier rang Amélie regardée sa feuille les yeux vides, avec une lueur de désespoir, comme si sur cette feuille on lui demandait la réponse à tout les maux monde.

-" Alors Amélie peux-tu ne dire la réponse ?"demanda la prof.

À ce moment-là mon amie, regarda cette feuille avec encore plus d'intensitée, si ses yeux avaient été des lasers elle l'aurait brûlé.

Prenant une inspiration, elle leva la tête regardant la professeure avec l'air de dire"s'il vous plaît ne m'intezrogez pas je me sais quoi répondre "

Cette dernière ne dis mot attendent. Une fois la conversation silencieuse terminée l'enseignante reprit de plus belle bercant telle une mélodie mes pensées me replongant dans mes songes. Toujours hypnotisée par ces gouttes coulantes les heures défilent comme des années quand . Arriva enfin le moment de reprendre le chemin . Je parlais tout le long des escaliers avec mes amis de tout et de rien comme à notre habitude vous savez de fois ça fait du bien de parler de tout et de rien pour oublier le décor.

Une fois arrivé au portail, on sait dit à demain et puis je suis partis pour rentrer moi . Il pleuvait toujours, ma veste qui n'était pas imperméable laisser rentrer la pluie, et mes cheveux mouillés dégouliner sur mon visage, déposant sur leur passage quelques perles d'eau sur mes yeux comme si la rosée du matin venait passer. Autour de moi je voyais des têtes, des jambes, des bras, des corps tout extrêmement pressé allant à droite, à gauche, allant dans un sens puis dans l'autre.

Si cette description vous désoriente voilà ce que je ressant dans cettte foule de gens, de personnes. Qui pressé par le temps, ou juste préoccupé par la suite ne regard pas devant eux. Mais n'est pas humain d'être occupé par demain de prévoir, c'est dans notre nature je pense.

Cependant, ils sont si accaparés qu'ils ne voient pas cette petite librairie coincée dans une ruelle. Entre deux maisons ou à quelques mètres au-dessus, se trouve caché dans les nuages grisâtres le soleil qui reprend vie . Et qui comme prévenir de son retour créé un arc-en-ciel.

C'est moi auteur ! Merci de lire cette histoire et surtout n'hésitez pas à laisser des commentaires.

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