Je déteste les coquelicots. Pourtant, c'est là que je suis, au travers de ces fleurs. Ces fleurs rouges comme le sang me glace le sang dans les veines. J'ai choisi de mourrir et d'emporter mes mensonges avec moi. Je ne peux plus distingué la vérité du mensonge, donc je ne peux plus vivre. Je ne mérite pas de vivre si je ne sais pas qui je suis. Je m'ouvre les veines dans ce champs de fleurs rouges qui se tachent de mon sang.
Il n'y a plus rien à faire pour moi. Mes cheveux blonds se tachent tandis que je touche ma joue piqué par un moustique. le sang coule hors de mes veines. Il coule longtemps, à faible quantité. Je m'étais préparée un repas. On avait planifié un pique-nique, tous les deux. Non, en fait, seulement moi. Javais donner rendez-vous à moi même. Je m'étais donné rendez-vous dans ce champs. Ce champs ou les fleurs me dégoutent. Ce champs ou personne ne m'y retrouvera jamais. Je m'assois sur la nape à carreaux rouge et blanc. Encore du rouge. Le sceau scellant ma lettre aussi est rouge.
Ma robe est rouge, mon rouge à lèvre. Ma vie est teinte de rouge, de noir, de gris. Jamais de blanc. Je n'y voit que des cendres. Trois mois plus tôt, j'aurais encore pu faire quelque chose pour arranger ce chaos que je me suis moi-même causé, mais maintenant, c'est cause perdu. J'ai détruit mon existence. Il ne me reste plus qu'à disparaitre. Disparaitre dans mon pire cauchemare. Disparaitre dans ce champs de fleurs rouges au doux parfum somnolent. Je veux sombrer dans les ténèbres à tout jamais. Je m'entaille les veines un peu plus profondemment et tandis que la douleur prennait le dessus sur moi-même, je songeais à ma raison de disparaitre. À ma raison de faiblir et de m'enlever la vie. Je ne veux plus me décevoir. Je ne veux plus vivre dans un mensonge.
Et c'est là que j'ai essayé de comprendre ce qui m'était passé par la tête... Mais en vain. Je n'ai aucunes raisons et il ne me reste plus qu'à m'effacer de l'histoire
•○•●•○•
Ce roman comprends du sexe et des idées noires. Du suicide et des pensées possiblement toxiques, de l'agression sexuelle et du viol. Si vous êtes dépressifs, suicidaires ou que vous souffrez de troubles et de tourments, je vous conseil de lire avec précaution. Je ne veux pas que mon roman soit une source de stress, de pression ou d'idées de plus pour les idées suicidaires. Je ne veux que dénnoncer la vie des gens qui mentent à tous, mais surtout à eux-même et qui finissent par en souffrir.
•○•●•○•
Merci de lire ce première épisode de mon roman. Je vous ammène dans un mensonge. Le plus gros mensonge de l'existence. Je vous y mène pour vous prévenir des horreurs qu'il est que de vivre dans le mensonge...
Eve_Loves_Cats!
Il y a tant de choses dans ce monde qui vous émerveille. Ou en tout cas, c'est mon cas... Il y a des petites choses et de grandes choses qui nous ouvrent les yeux sur un autre horizon. Il y a aussi les émotions... Elles tuent, celles-là. À trop grande dose, elles nous rongent de l'intérieur pour ne laisser qu'un vide. Elles nous effraient. Elles nous hantent.
Je rentrais pour ma dernière année du secondaire, avec tous mes amis, mon amoureux, tout allait si bien. Enfin, presque... Il y avait eu plusieurs confinements l'an dernier dû à une maladie mortelle. Alors on était là, dans la cours arrière de l'école, à se faire la bise au travers des masques de procédures. Les professeurs étaient pour la plupart heureux de nous retrouver, à notre désespoir... Nous n'attendons qu'à nouveau reviennent les vacances d'été alors que l'année scolaire venait de reprendre.
Zachary, mon petit-ami, me serait contre lui, de peur de me perdre dans cette foule d'étudiants déchainés. Ses amis et les miennes trannaient derrière nous, nous regardant s'embrasser et commenter notre relation. En vrai, quelque chose n'allait pas, mais je n'osais pas demander quoi... J'aurais dû. J'aurais dû, mais je ne l'ai pas fait.
Épuisé de notre journée, je suis rentrée chez moi et me suis allongée sur mon lit. Puis, fermant les yeux, j'ai repensé à ces souvenirs d'enfances.
•○•●•○•
Nous étions dans le studio de dans de madame Amandine, Zachary, Liam, Amélie, Laura et Gabriel. Nous portions nos petits chaussons et nous échauffions à la barre. La grande salle bien éclairée faisait danser nos ombres. L'air sucrée des fragrances du diffuseur cammouflait les odeurs de sueur et la chaleur étoufante. Nous n'avions pas plus de huit ans dans ce souvenir...
•○•●•○•
J'ai passé les premiers mois à me demander quand est-ce que j'ai fait de la danse pour la dernière fois. Ça faisait une éternité. La vie passait si rapidement, mais pourtant, l'ennuie faisait parraitre quelques secondes comme étant une éternité. Nos classes sans ventilation étoufait les trente-deux corps suivant la leçon de mathématique de M. Andrews. La vie avançait lentement... Trop lentement. Surtout dans la classe de mathématique. Le professeur aux intonations monotones faisait un retour de tout ce que nous avions vu deux mois plus tôt m'ennuyait loyalement. Mais ainsi allait la vie.
J'étais prisonnière d'un système entier menant à me faire devenir une citoyenne modèle. Tandis que les aiguilles de l'horloge tournaient, je réfléchissait au courant de la vie. Lorsqu'on y repense, nous naissons, nous allons à l'école, nous travaillons, puis nous mourront. Porquoi devoir vivre de cette façon.
Ne pourrais-je pas m'exiler dans le fond d'un bois au nord du Canada, loin de tout et de rien? Ne pourrais-je pas passer mes jours à rêvasser et mes nuits à réfléchir aux rêves? Ne pourrais-je simplement pas me détacher de ce mode de vie qui mène tout les mortels au même chemin à la fin?
Ne pourrais-je pas aimer vivre ckmme je le veux?
•○•●•○•
Bonjour/Bonsoir cher(e)s Lecteur(trice)s, j'èspère que vous appréciez votre lecture. Je tiens à vous demander de ''liker'' et de me suivre pour plus d'histoires! Aussi, commenter vos idées de ce qui pourrait arriver. Ça m'inspire toujours et ça m'encourage à écrire!
Je sortais de classe. Ça faisait un mois que l'école avait repris. Je sortais avec mes copines quand Zachary est venu me voir, tenant fermemant la main d'un homme que j'avais déjà vu sans trop savoir où ni quand. C'est alors que j'ai compris.
Ça n'allait plus depuis quelques semaines. Il ne voulait plus sortir, il ne voulait pas dormir avec moi. Je l'ai respecté, mais je savais quelque chose allait ariver. Le coup de couteau que j'ai reçu en plein cœur s'est multiplié lorsqu'il m'avait annoncé être gai. Je n'ai rien contre. Absolument rien. Mais j'ai mal. Mon cœur saigne et je souffre de perdre mon amoureux comme ça... Je me déteste de ne pas m'en être rendu compte plus tôt.. Et lui s'en voulait de s'être trompé quand à son orientation sexuel. Et c'est là que tout a dérapé pour moi. Ma bulle a éclaté, me laissant affronter la crauté de ce monde.
Je me suis mise à prendre du recul sur ma vie, sur mes amies et mon entourage qui riaient de Zach et de Liam. Liam, il me dit quelque chose. Je ne l'ai piurtant jamais vu. J'ai beaucoup repensé à mon passé aussi, peut-être l'avais-je rencontré au primaire.
•○•●•○•
Nous étions encore nous cinq, moi, Zach, Liam, Amélie et Gabriel dans un petit studio de danse lumineux et étoufant à la fois. Nous pratiquions nos pointes au ballet. Seulement... Je n'ai jamais fait de danse... Alors pourquoi me souviens-je que de celà?
•○•●•○•
J'ai commencé à me questionner sur la vie, à essayer d'en parler avec mes amies. Elles m'avaient mal compris, donc elles ont crue que je faisais de la danse en cachette depuis toute petite. Elles ont pensé que je dansait en partenanriat avec Liam, mon partenaire dans un autre souvenir. Elles y ont crue et je n'ai pas voulue corriger cette erreur. J'ai joué le jeu. J'ai menti et c'est là que tout commence à aller mal. Pourquoi avais-je menti?
Je suis étudiante en art et en photographie. Je suis aussi chanteuse sur les résaux sociaux comme Youtube, mais je ne suis vraiment pas populaire. Mes amies elles-même se fichaient pas mal de me supporter alors que je les photographiaient toutes pour jnstagram, leur montrais comment faire une story parfaite, je les faisais gagner en popularité. J'ai commencé à me dire que tout ce que nous vivions était toxique. Tout les services ne se faisait que d'un sens. Je perdais mes fringues que je leur prêtais ainsi que mon maquillage. Je n'avais plus d'autre choix que de les laisser tomber.
Je suis si malheureuse avec elles que j'ai envie de pleurer. De plus, elles intimides d'anciens intimidateurs... Je comprends qu'elles ne les aiment pas, mais la vengence ne sera jamais acceptable. Jamais.
Je suis malheureuse avec mes amies maintenant, je le sais. Et Je suis seule contre le monde, sans mon amoureux, sans plus aucjn entourage, prise dans un mensonge qui à fait le tour de l'école.
Mais qu'avais-je fais par tous les dieux?
•○•●•○•
Download NovelToon APP on App Store and Google Play