Le lutte contre les élèves de l'école.

Murielle: 

Mais de quoi tu parles ?!Ce mec est totalement  dérapé ou quoi!

Je peux être amis avec qui je veux! Je ne vois pas en quoi cela te concerne. Et puis, tu es sérieux ? Tu ne vois VRAIMENT pas pourquoi il y a une tel différence de comportement entre toi et lui ? C’est pourtant bien simple. Il est tout ce que tu n’es pas: attentionné, aimable, poli et sérieux. Il y a un monde, non, une galaxie entre vous! 

Alan:(avec mépris) 

Donc, tu veux me dire que tu aime ce criquet?

Qu'est ce qu’il a de si spécial?

Ce mec est une abomination!

Murielle:(en colère) 

Il est spécial, tu ne peux rien comprendre ! (d’un air rêveur) C’est… c’est… Ma seule fleur au milieu d’un désert dominé par les tiens. C’est un être infiniment précieux ! C’est une personne à qui je confierais ma vie sans hésiter. Alors oui, je l’aime. Ah que  je l’aime! Je l’aime car il est mille fois mieux que toi. (revient sur terre) Mais ça ne te concerne pas, tu n’as aucun droit sur ma vie privée, aussi riche que tu soit ! 

Alan(la gifle):

Euh…..déso….ma main a bougé tout seul.

Murielle (sous le choc):

Quoi ??? Comment oses-tu gifler une fille ?! Je ne t’ai rien fais en plus! Tu es la pire des raclures, un parfait exemple des déchets de ce monde!

Tiens tête de con! (elle le gifle aussi).

A cause de toi, je suis devenue vulgaire maintenant. C’est la première fois que j’ai été aussi énervée de ma vie. (lui dit d’une voix glaciale en le tenant par le col) Ne t’avises plus JAMAIS, et sous AUCUN prétexte, de t’approcher de moi ou de mon entourage. Je te préviens, si tu oses refaire des affaires vicieuses pour m’atteindre, je te préviens de ne pas être aussi douce et patiente que je le suis. Maintenant, disparais de ma vie !   

(se retourne) Zut… j’ai presque oublié Martin.

Martin:( en sanglotant car tabassé par des sbires de vous-savez-qui) 

 Pourquoi est-ce que vous me faite mal ? Je ne vous ai rien fait !!! Et on ne se connait pas! Si vous continuez, je vais appeler la police !

Murielle (arrive et disperse les sbires) :

Les policiers arrivent, je viens de les appeler!

Sbire 1(aux autres):

Venez, on se casse, les keufs arrivent !!!

Sbires (s’enfuyant):

Merde !

Murielle (s'adressant à son ami) :

C’était pour de faux. Je n’ai jamais appelé la police. J’aurais dû mais je ne l’ai pas fait, désolé… De toute façon ça n'aurait servit à rien vu que c’est l’autre con riche qui a tout orchestré. Je ne veux pas nous attirer plus d’ennuis… Au fait, je suis tellement désolé pour ce qui t’arrive. Tout ca, c’est de ma faute. Si seulement je m'étais déjà éloigner de toi, tout cela ne serait pas arrivé… Pardon d'être un fardeau pour toi.

Martin:

Pourquoi tu t’excuse? Tu n’as rien faire de mal. Ca a du être difficile aussi pour toi, depuis que ta mère est partie, il y a quelques jours… De plus, tu m’avais tellement aidé auparavant, donc je sais que tu m’aideras encore.

Je vais tenir bon.

Murielle(émue pas les dires de Martin)

Merci Martin.

Tu peux compter sur moi ! Nous lutterons ensemble contre ces tyrans de Broches d’or !

T'inquiète pas, les pauvres se rebellent et gagnerons !

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