1 Le Lapin Blanc

...Alice...

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J’étais dans la salle de bain de la chambre à coucher. La décoration blanc, et les meubles bleues clairs, le miroir au dessus du lavabo, deux brosse à dents, rose pour moi, bleu pour mon copain actuel. Quel vie. J’étais en train de me préparer pour mon travail, une chemise blanche, une jupe noire, et collant blanc et des bottes à talons noirs. Je me maquiller légèrement pour que ça soit plus discret et assorti à mes vêtements. Je jettes un coup d’œil pour voir mon copain actuel qui était en train de dormir dans le lit deux places. Il avait l’air fatigué alors que la nuit précédente n’était pas si laborieuse que ça. C’était pathétique. Je l’ai connu pendant mes études, j’étais la geek du Bahu et lui le beau capitaine du football américain. L’histoire de notre rencontre est ridicule. Il m’a invité au ball de fin d’année pour faire « rigoler la galerie » et finalement on a été élu roi et reine du ball et on s’est embrassé, ect. J’étais actuellement secrétaire pour une grande entreprise, et lui était joueur NFL. Le rêve américain. On avait juste pas d’enfants. De toute façon il m’avait promis un mariage que j’attendais toujours et pour les enfants il me sortait la même phrase d’être « pas encore prêt » bref une situation de dispute. Je descends les escaliers en bois brute, c’était mon père qui les avait fabriqué de ces propres mains quand on a acheté la maison. Puis je pars dans la cuisine, les meubles était d’un noir matte et il y avait une baie vitrée sur le côté droit de la cuisine qui donnait vue sur notre jardin. Je bois ensuite mon café, un goût amer mais c’est pour tenir la journée. En quelques minutes j’étais en train de marcher vers mon bureau de l’entreprise, je souriais à tout le monde. Pourquoi ? Je n’avais même pas fait attention à la route que j’avais emprunté pour venir jusque ici. C’était mécanique. Quand enfin je m’installe à mon bureau mon patron, un grand brun au yeux verts en costume, arrive.

-Salut, Alice.

Dis t-il avec son ton dragueur et un peu poli.

-Bonjour monsieur le directeur.

Je lui réponds poliment pour ne pas lui jeter mon crayon à papier dans son oeil.

-Pas de vouvoiement entre nous, tu sais très bien que tu peux m’appeler Eric.

-Il commence à jouer avec mes cheveux. Mais si ton truc c’est « Patron » ou « Monsieur » je veux bien accepter ma belle blonde…

Je détestais quand il faisait ça, utiliser mon image et ma profession pour fantasmer et ce faire plaisir.

-Non, merci, vous êtes mon patron et j’ai quelqu’un dans ma vie.

Je suis calme malgré mon envie de tuer.

-Bon comme tu veux.

Il part enfin.

J’peux enfin être seule. Travailler tranquillement. Sur mon ordinateur. À faire les planning. A organiser les rendez-vous. Bref à travailler. Puis 18 heures c’est l’heure de partir. Donc je rentre chez moi. Retrouvé mon copain.

Je prenais ma douche tranquille vers 20 heures. Mon copain était dans le salon, enfin c’est ce que je croyais. Soudainement des mains viennent m’entre lacer par derrière, et par réflexe je donne un coup de coude mais j’ai retenue. Mon copain rigoler.

- Wow t’as cru que c’était qui?

- T’es vraiment le dernier des cons.

Je boude.

- Oh vraiment! Le dernier?

Il rigolait alors que ça ne me plaisait pas.

- Non le premier…

- Mais tu aimes ça.

Il commencé à m’embrasser le coup. Un moment de tendresse qui voulait tout dire et rien dire et même temps.

- Alors ton entraînement ?

J’essaye de changer de sujet.

- J’ai pas envie d’en parler.

Ces mains glissent sur les côtés de mon corps.

- Thomas…

Je rale

- Oui?

Il avait l’air si innocent mais si pervers

- Tu peux arrêter s’il te plaît.

Je roule des yeux

- J’ai envie de te faire un de ces trucs…

Il mord mon lobe

- Thomas?!

Je suis surprise

- Je t’attend dans le lit.

Il sort de la douche.

J’avais envie de vomir. Il me dégoûte. Mais je devais le faire. C’est le rôle d’une petite amie. Je mets ma serviette autour de la taille. Je me brosse les cheveux. Je prends immédiatement mes pilules pour ne pas avoir d’enfants parce que monsieur disait « J’ai mal avec un préservatif et puis sinon il y a pas de plaisir… » et comme une conne je l’obei. Et la poser sur sous ma brosse à cheveux ma petite boîte secrète, il y avait un double fond, on penserait que c’était une boîte à bijoux mais c’est elle qui me fait tout oublier. Je l’appelle Lapin blanc, c’était clairement de la drogue. De l’aphrodisiaque. Et là trou noir à partir du moment où j’ai rangé Lapin blanc. A minuit je me réveille, j’avais encore de la semence de mon partenaire entre mes cuisses. Je pars reprendre une douche. Et à ma grande surprise le téléphone de Thomas. Je ne suis pas habituée à fouiller dans le téléphone mais là je devais vérifier. J’avais juste une culotte et un t-shirt, j’avais son téléphone dans les mains. Brancher à mon ordinateur perso et j’ai fouillé chaque recoin, chaque application et chaque photo. Oui il me trompé. Oui il y avait des discussions avec d’autres femmes. Oui il y avait des photos et vidéos. Oui je le savais. Et oui j’avais déjà ma vengeance. Je m’enregistre déjà toute les vidéos et les photos. Dans une semaine c’était son anniversaire, j’avais invité toute ces autres femmes et ces collègues et ces parents, sa famille et surtout j’ai un discours bien mie en place, c’était plus pour ma vengeance personnelle. Puis j’envoie un message à mon patron, oui il faisait partie de mon plan et j’en suis désolé. Enfin non. Pas trop. De toute façon je dois retrouver des personnes pour parler.

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Le 22 avril. Enfin son anniversaire. J’ai réussi à avoir tout le monde. Et surtout à contacter les personnes que je veux. J’avais tout prévu, le discours comment ça devait se passer, qui était invité, et tout était décorer. Il restait une heure avant que tout le monde soit là. Et Thomas était dans la salle de bain en train de ce préparer, je portais une petite lingerie.

- Thomas!

Je l’appelle de ma voix sexy

- Oui?

Il sort de la salle de bain, bouche bée

- Joyeux anniversaire mon amour…

je l’embrasse

- Bébé, les invités-

- Dans une heure…

Il défait son pantalon et enlève tout ces vêtements. Il attendait. Je me met à le chevaucher. Il gémis.

- Tu film ou pas?

- Quoi?!

Il était surpris

- Je te demande si tu film comme quand tu veux me baiser?

Je suis curieuse

- Je vois pas de quoi tu parles.

Il panique

- Ok laisse tomber mon cœur je croyais qu’elle chose.

Je continue mes mouvements.

- T’inquiète pas, c’est pas grave-

Il faisait que gémir. Grogner. Je met met main sur ces cuisses pour amplifier mes mouvements et puis ejaculation, fin.

Tout le monde était là. Ces collègues de football américain, sa famille, ces maîtresses, ces entraîneurs et un journaliste que j’ai déguisé avec un cameraman qui était en direct. Le gâteau magnifique et mon discours.

- Thomas, une belle personne, et le plus grand joueur de football américain mais pourtant…oui il avait des maîtresses, cela fait trois ans qu’il baise et manipule des jeunes femmes. Je montre les photos.

- Votre superbe joueur de NFL a trompé sa copine avec d’autres et le pire. Avec ces entraîneurs. Je regarde les parents de Thomas.

- Je n’ai plus rien à dire le peuple le fera pour moi, votre chère fils suce et baise pour avoir quelques chose, ça vient de vous ça…

Je pars fière. Le scandale était déjà en ligne. Les parents hurlaient et Thomas était détruit. Et moi je devais partir à Paris pour rencontrer ma première recrue…

A suivre>>>

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