Pension Salvatore. Salon. Stefan, Damon, Caroline, Elena, Matt, Jeremy sont là. Leora est absente.
Bonnie
(sérieuse) — “On doit parler de Leora.”
Caroline
(sur la défensive) — “Non. Je vous ai dit que—”
Bonnie
(l’interrompant) — “Non, Care. Tu savais. Tu savais qu’elle n’était pas normale. Qu’elle était… autre chose.”
Elena
(inquiète) — “Qu’est-ce que tu veux dire ?”
Bonnie
(regard vers Caroline) — “Elle est née sorcière. Je l’ai senti. Mais aussi… quelque chose de primal. Animal. Loup. Et… j’ai eu une vision.”
Damon
(sarcastique) — “Génial. Encore une prophétie apocalyptique.”
Bonnie
(fronçant les sourcils) — “Ce n’est pas drôle, Damon. J’ai vu un bébé. Un bébé entre elle… et Klaus.”
Tout le groupe de mystic falls
(choqués) — “…Quoi ?!”
Caroline
(blême) — “C’est impossible. Leora déteste Klaus. Elle le méprise.”
Bonnie
“Pas dans ce que j’ai vu. Ils étaient… liés. Viscéralement. Leur magie se mélangeait. Et l’enfant… une tribrid. Encore plus puissante que Leora.”
Maison des Mikaelson. Elijah lit un vieux manuscrit. Klaus entre, pensif.
Elijah
“Tu penses toujours à elle, n’est-ce pas ?”
Klaus
(agacé) — “Elle m’intrigue. C’est tout.”
Rebekah
(entrant) — “Tu n’as jamais été bon pour mentir à Elijah, Klaus.”
Klaus
(se servant un verre) — “Elle est différente. Sauvage. Elle me voit pour ce que je suis. Et elle me hait pour ça.”
Elijah
(calme) — “Ou peut-être qu’elle est la seule capable de t’aimer un jour… pour ce que tu es vraiment.”
Klaus
(regard troublé) — “Je ne veux pas d’amour. C’est une faiblesse.”
Rebekah
(moqueuse) — “Et pourtant, tu la regardes comme si elle était la seule chose qui compte.”
Toit du lycée. Leora est assise, seule. Le vent agite ses cheveux. Bonnie l’approche lentement.
Bonnie
“Tu te souviens de ce qu’on était ?”
Leora
(sans la regarder) — “Un quatuor inséparable. Avant que je parte. Avant que tout change.”
Bonnie
(doucement) — “Pourquoi tu ne nous as jamais dit ce que tu étais vraiment ?”
Leora
(regard sombre) — “Parce que j’ai passé ma vie à le cacher. Même à moi-même.”
Bonnie
“Et Klaus ? Tu le détestes… mais tu le regardes comme s’il t’obsédait.”
Leora
(murmurant) — “Il me regarde comme s’il me connaissait déjà. Et ça me fait peur.”
Bonnie
(s’approchant, très bas) — “Tu vas le haïr, Leora. Tu vas lutter. Mais un jour… tu vas l’aimer. Et de vous deux naîtra quelque chose que le monde n’est pas prêt à voir.”
Leora
(tremblante, chuchote) — “…Hope.”
Klaus
Klaus (voix off) — “Elle est ma guerre. Elle est ma paix. Et elle est ce que je ne mérite pas… mais que je ne peux plus fuir.”
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