CHAPITRE 1: l'enchère

Elle n'avait pas de papiers.

Pas de passé.

Pas de futur.

Maï vivait dans les interstices du monde, entre les frontières et les silences. Depuis qu’elle s’était échappée de l’orphelinat à treize ans, elle avait survécu en se fondant dans les ombres — cambriolages, faux papiers, petits coups. Rien de grand, juste assez pour rester en vie.

Jusqu’au jour où elle voulut traverser la frontière.

Elle ne vit pas venir le piège. Une camionnette, une seringue, et le vide. À son réveil, elle était enchaînée dans une cellule climatisée, propre, presque luxueuse. Elle comprit vite : elle n’était pas tombée entre les mains d’un gang ordinaire. C’était un réseau. Structuré. Sélectif. Puissant.

On la lava. On l’habilla. On la fit défiler. Puis vint l’enchère.

Des hommes derrière des vitres sans tain. Des enchères silencieuses, un écran rouge qui s’illuminait à chaque nouveau chiffre.

Le prix s’envola.

Et à la fin, ce fut lui.

Il s’appelait Aleksandar Vukovic.

un homme tapis dans le noir a l'air mennacent, il était grand avec une taille ellancé , il fessai Bad boy et psychopathe.

remarque d'auteur : pas étonnant en même temps c'est notre protagoniste masculin et il faut bien avouer que sa a du charme les bad boys charismatique de nos jour 🤭🤭🤭

bien pour suivons

Il était à la tête d’un empire criminel tentaculaire, dissimulé sous les façades les plus respectables. Il dirigeait ses affaires depuis une villa en marbre au bord de la mer Noire, un palais surveillé jour et nuit. Il n’avait pas besoin d’élever la voix. Le monde obéissait à ses silences.

Quand il entra dans la pièce, Maï ne détourna pas les yeux. Elle le défia, droite dans sa chaise, les poignets encore liés. elle le fixait comme si , si elle retournait l regard n seresque une seconde elle pourrait en mourir.

pendant ce temps,

lui la détailla sans pudeur, mais sans vulgarité. Un homme qui jaugeait, évaluait, comme on inspecte un diamant brut.

Puis il parla.

— Tu m’as coûté 100 000 dollars, dit-il calmement.

— Je ne vous rendrai pas un centime, cracha-t-elle.

— Si. Tu vas me les rendre. Jusqu’au dernier. Et après ça, tu seras libre.

Elle haussa un sourcil.

— Vous me proposez… un crédit ?

— Je te propose une sortie. Un marché. Un plan. Appelle ça comme tu veux.

Il s’approcha, s’accroupit face à elle. Son regard était froid, mais franc.

— Tu vas travailler pour moi. Faire ce que je te dis. Pas comme une esclave. Pas comme une amante. Comme une dette à rembourser. Et quand tu auras fini… je te rendrai ton nom.

Elle hésita. Elle sentait que c’était une cage. Mais une cage avec une clé.

Et dans sa vie, c’était déjà beaucoup.

Elle hocha la tête.

— Marché conclu.

Auteur : merci d'avoir lu , n'oubliez pas de liker et vous abonner pour plus de partage et d'avancé dans notre histoire mes choups 🥰 a bientôt pour de New épisode🥰🌹

> JK.bling~

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