Blue Love Lock 100 Jour Pour Aimer
“Pourquoi tu tiens ma hanche ?!”
[Scène : Chambre Isagi x Rin – 7h du matin]
isagi
(dans un demi-sommeil) :
Mmh… chaud… doux… genre… confortable…
rin
(encore endormi, murmurant) :
Tais-toi… t’es moelleux… comme un marshmallow musclé…
[Ils ouvrent lentement les yeux… et réalisent qu’ils sont collés. VRAIMENT collés. Isagi dans les bras de Rin. Main sur la hanche. Cuillère 5 étoiles.]
isagi
(rouge écarlate) :
AAAAAAAAAAAH !!!!
rin
(criant aussi) :
POURQUOI MA MAIN EST SUR TON BASSIN ?!?
[Ils sautent du lit comme des ados pris en faute. Couette envolée. Oreillers partout.]
isagi
(panique totale) :
JE T’AI PAS TOUCHÉ EXPRES ! C’EST LE LIT ! IL M’A PIÉGÉ !
rin
(décoiffé, torse nu, furieux mais gêné) :
JE TE CROIS PAS ! T’AS PROFITÉ DE MA VULNÉRABILITÉ SOMMEILLAQUE !!
isagi
C’EST PAS UN MOT !!!
[Scène : Cuisine – Tous les autres déjà installés, café, céréales et regards très… suspicieux.]
bachira
(le sourire du démon) :
Alors… bien dormi, les tourtereaux ?
chigiri
(mordillant une fraise) :
C’est fou comme vous rayonnez ce matin. Genre… comme après une activité physique nocturne très
reo
(rire étouffé) :
Le lit est toujours entier ? Ou il a explosé sous la tension sexuelle refoulée ?
nagi
(bâillant, la tête contre l’épaule de Reo) :
C’est pas de leur faute… on les a observés toute la nuit.
isagi
VOUS NOUS AVEZ OBSERVÉS ?!?!
Caty manageuse
(note sur son carnet) :
Interaction hormonale niveau 7. Friction de hanche détectée. Potentiel couple confirmé.
barro
(croisant les bras, blasé) :
Pourquoi je suis dans ce roman ?
[Scène parallèle – Chambre Reo x Nagi]
reo
(en train de mettre un t-shirt, rougissant à mort) :
N-Nagi ! Tu t’étais collé à moi dans la nuit… tu m’avais même pris pour un coussin… et tu marmonnais "Reo c’est doux"…
nagi
(enroulé dans sa couette, yeux mi-clos) :
T’étais doux. Et chaud. Et tu sentais la vanille. Je confirme.
reo
POURQUOI TU T’EN FOUS ?!?
nagi
(sourire paresseux) :
Parce que je recommencerai ce soir. Sauf si tu veux qu’on essaye sans couette cette fois.
reo
(explose) :
NAGI ! TU VAS ME TUER PAR SÉDUCTION INVOLONTAIRE !
[Retour dans le salon – Rin et Isagi s’asseyent enfin. Très très loin l’un de l’autre. Genre 2 mètres minimum.]
isagi
(tentant de boire son jus sans trembler) :
On… on peut oublier cette nuit ? Genre… effacer de nos cerveaux ?
rin
(regard fuyant) :
…Non. J’ai encore ta chaleur dans mes bras. Et ton odeur mentholée partout sur moi.
isagi
(grille instantanément) :
ÇA C’EST PAS OUBLIABLE DU TOUT !!
bachira
(air angélique) :
Oh… vous êtes déjà un vieux couple.
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