Ma Famille L’Akatsuki Chapitre 4 : Les véritables déclarations

(Les liens au sein de l’Akatsuki se renforcent, et ce soir-là, des déclarations véritables, franches et sans détour vont changer à jamais la dynamique de leur “famille”. Chaque membre va enfin exprimer ce qu’il ressent, et les réponses qu’ils reçoivent vont marquer un tournant décisif.)

(C’est dans le silence de la nuit que Naruto et Itachi se retrouvent, sur le toit du repaire. Naruto est assis, pensant à tout ce qui a changé depuis son arrivée, quand Itachi s’approche de lui, sa silhouette sombre contre la lueur des étoiles.)

Itachi

(se tenant près de Naruto, son regard habituellement froid rempli d’une émotion plus douce) : Naruto, il y a quelque chose que j’ai besoin de te dire

Naruto

(regarde Itachi, un peu surpris par le ton plus sérieux d’Itachi) : Quoi donc, Itachi ?

Itachi

(prenant une profonde inspiration, les yeux ancrés dans ceux de Naruto) : Depuis que tu es arrivé dans ma vie, j’ai ressenti quelque chose que je n’avais jamais imaginé. Quelque chose que je n’ai pas pu ignorer. Tu as changé bien plus que tu ne le crois. Tu m’as appris à aimer et à ouvrir mon cœur d’une manière que je n’avais pas envisagée auparavant

Naruto

(déconcerté, mais touché par la sincérité d’Itachi) : Itachi, tu es comme un grand frère pour moi, je

Itachi

(l’interrompant doucement, ses yeux se remplissant d’émotion) : Non, Naruto. Je… je t’aime plus que ça. Pas seulement comme un frère. Je t’aime d’une manière différente, plus intime

(Un silence lourd s’installe entre eux, le poids des mots flottant dans l’air. Naruto, qui n’avait jamais imaginé entendre cela d’Itachi, reste figé un instant, avant de poser une main sur le bras d’Itachi.)

Naruto

(doucement, la voix tremblante, mais pleine de sincérité) : Itachi… je t’aime aussi. J’ai toujours eu ce sentiment, mais je ne savais pas comment le dire

(Ils se regardent, un sourire doux se formant sur leurs lèvres avant qu’ils ne se rapprochent, leurs lèvres se rencontrant dans un baiser lent et profondément chargé d’émotions)

(Dans un coin tranquille du repaire, Konan et Yahiko se trouvent seuls. Konan, bien que réservée habituellement, semble pensive. Yahiko, sentant l’atmosphère, s’approche d’elle doucement.)

Yahiko

(regardant Konan avec une douceur inattendue) : Konan, je sens que quelque chose te tracasse. Qu’est-ce qui ne va pas

Konan

(regarde Yahiko, un léger sourire sur les lèvres mais des yeux remplis de doute) : Je… je suis juste fatiguée de cacher ce que je ressens. J’ai toujours été la personne calme, la gardienne, mais… c’est toi qui occupes mes pensées, toujours

(Yahiko, surpris par ces mots mais touché par leur sincérité, prend doucement les mains de Konan dans les siennes.)

Yahiko

(avec un regard intense, la voix douce mais pleine de conviction) : Konan… moi aussi, je ressens la même chose. Depuis que tu es entrée dans ma vie, tout est devenu plus clair. Il n’y a personne d’autre que toi

(Les mains de Konan se serrent autour de celles de Yahiko. Un sourire sincère, plus grand qu’elle n’a jamais montré, s’étend sur son visage. Elle ne peut plus retenir ses émotions.)

Konan

(ses yeux brillants de larmes qu’elle cache derrière un sourire timide) : Yahiko, je t’aime. Je t’aime d’une manière que je n’ai jamais cru possible

Yahiko

(sourit tendrement, tout en attirant Konan contre lui, son ton ferme mais chaleureux) : Et je t’aime aussi, Konan. C’est toi, seulement toi, qui occupe mon cœur

(Ils se rapprochent et leurs lèvres se rencontrent dans un baiser doux, un moment de complicité et d’amour partagé.)

(Dans une salle sombre, Nagato et Tobi se retrouvent après une longue journée. Nagato, assis, semble pensif. Tobi, toujours joyeux, s’approche de lui, comme s’il voulait briser le silence.)

Tobi

(avec un sourire, mais son ton devient soudainement sérieux) : Nagato, il y a quelque chose que je dois te dire

Nagato

(regarde Tobi, intrigué mais un peu distant) : Qu’est-ce qui te tracasse, Tobi

Tobi

(tout en s’approchant de Nagato, son ton devenant plus calme et plus direct) : C’est à propos de nous, Nagato. Depuis tout ce temps, je n’ai cessé de penser à toi. À chaque mission, chaque moment passé avec toi. Il n’y a personne d’autre qui occupe mes pensées comme toi

Nagato

(le regardant avec surprise, mais aussi avec une compréhension silencieuse) : Tobi, tu… tu es sérieux

Tobi

(lui souriant tendrement, ses yeux montrant une sincérité inattendue) : Oui, plus que tu ne peux l’imaginer. Je t’aime, Nagato. De manière bien plus profonde que ce que je t’ai laissé voir jusqu’ici

Nagato

(prenant un moment pour digérer les mots de Tobi, puis répondant d’une voix plus douce, presque timide) : Tobi… je t’aime aussi. Je ne l’avais pas réalisé avant, mais chaque moment avec toi me fait comprendre à quel point tu es important pour moi

(Tobi s’approche doucement de Nagato, et leurs mains se frôlent, se serrant enfin l’une contre l’autre, avant que leurs lèvres ne se rencontrent dans un baiser empli de chaleur et d’émotion.)

(Dans leur atelier, Deidara et Sasori sont en train de travailler. Deidara, en sculptant, ne peut s’empêcher de jeter des regards furtifs à Sasori, qui est concentré sur ses créations. Finalement, Deidara lâche son outil et se tourne vers lui.)

Deidara

(le regard brillant, son ton plus grave que d’habitude) : Sasori… je dois te dire quelque chose

Sasori

(levant un sourcil, mais ne quittant pas son travail) : Quoi

Deidara

(prenant une grande inspiration, posant son regard sur Sasori avec une détermination nouvelle) : Je t’aime, Sasori. Je n’ai jamais pensé que j’éprouverais ce genre de sentiment, mais chaque jour passé avec toi me fait me rendre compte de la profondeur de ce que je ressens

(Sasori, qui a enfin cessé de travailler, lève les yeux et croise le regard de Deidara. Ses yeux sont pénétrants, mais il ne dit rien immédiatement. Il s’approche de Deidara avec une lenteur calculée.

Sasori

(d’une voix calme mais pleine de sincérité) : Je t’aime aussi, Deidara. De la manière la plus vraie qui soit. Je ne le savais pas, mais chaque geste, chaque regard, chaque parole… tout cela m’a montré que tu comptais plus que je ne l’avais imaginé

(Ils se rapprochent, et dans un silence presque sacré, leurs lèvres se trouvent dans un baiser. Un baiser qui scelle la profondeur de leurs sentiments.)