mémoire

...POV : LUCYLL...

...j'ai les membres gelés, chaque mouvements sur ma peau ne fait qu'intensifier les picotements et la douleur que je ressens.chaque respiration représente un très grand supplice qui lasserre les poumons et congèlent le coeur....

...Les bruits que j'arrive à émettre sont des gémissements de douleurs qui sortent inconsciemment. La douleur finit par me faire perdre complètement conscience....

...une voix qui me semble lointaine mais en même temps si proche semble vouloir me parler....

...*souvenir*...

...L'époque où madame Berlodite m'enseignait la maîtrise de soit et l'histoire de la déesse Asilyce me laisse aujourd'hui encore dans l'incompréhension...

...Bien avant la création du monde, la déesse Asilyce cinquième fille du patria suprême,décide de s'éloigner des autres dieux ne voulant pas participer à la guerre de succession au trône étant isolé elle décide de créer un endroit où il n'y aurait pas de conflits ainsi elle rassemble son mana et façonne les arbres, les animaux et le ciel et la terre....

...voyant que les bêtes qu'elle avait créé n'étaient pas dotés de raisons elle eu alors l'idée de façonner un être qui soit comparable aux dieux et avec presque toutes les forces qu'il lui restait elle façonna des hommes et des femmes tous et toutes différentes puis, elle partie se reposer....

...Les Hommes la reconnurent comme leur créatrice et lui érigèrent un temple ou des offrandes et des prières étaient faites en son nom. Tout allait pour le mieux une déesse aimante et un peuple heureux loin de tout....

...200 ans déja s'était écoulé et l'actuel patria suprême Nosilus après avoir massacré tout les prétendants au trône commença à s'intéresser à la vie que sa sœur avait réussi à créer et ce qu'il vit ne le rassura pas étant devenu avide de tout il se mit à convoité la création de sa sœur. Il décida de la convoqué ....

...Une fois en présence de sa sœur il l'a menaça pour obtenir cette terre mais ne pouvons abondonné la déesse refuse et ne veut plus prendre contact avec ce dernier le rendant fou de colère il décide de détruire cette rebelle elle sa création....

...Le patria Nosilus décide de corrompre certains adeptes puis fini par lancer une armée de bêtes des ténèbres qui ravage certaine terre. Voyant la menace, la déesse décide de confronter son frère dans un duel, mais elle ne voulait pas abandonné son peuple elle décide donc de bénir certains hommes et femmes du dont de mana se sont les premiers mages et chevaliers on les appelle les zéolithes et les néophytes....

...S'ensuit alors une guerre rude qui dura 999 jours et 999 nuit soldée par la victoire de la déesse Asilyce nouvelle patria....

Elle veille jusqu'aujourd'hui sur tous les hommes avec bienveillance et amour.

Puis en en me souriant sarcastiquement elle ajoute il semblerait que tu soit là seule personne dont elle ne se soucie puis elle rit en brandissant son fouet et en l'abattant sur ma peau tout en ignorant mes supplications

Dans ces moments seul l'abandon à la douleur et l'acceptation de la situation me permettait de me libérer de cette tortue je me disais * si la déesse n'intervient pas c'est que je doit y faire face je doit juste être forte * puis elle plongea ma tête dans un saut d'eau, je ne respirait plus l'eau s'infiltrant dans mes poumons

* fin du souvenir*

Je me réveil en sursaut trompé de sueur froide, la respiration saccadée, la main sur ma poitrine.je ferme les yeux un moment avant de reprendre mes esprits je me souviens qu'on étaient attaqués mais comment je me retrouve ici.

J'essaie de me lever pour sortir de cette chambre mais au premier pat je perds l'équilibre et m'accroche de justesse à la commode puis je finis par sortir de la chambre.

Cela fait un moment que je marche sans croisé personne j'ai finis par entrer dans ce qui semble être une bibliothèque, les murs en marbre et les grandes fenêtres laisse place à la lumière, l'immense lustre placé au centre était magnifique mais rien comparé aux nombreuses étagères tous remplis de différents livres et quelque table de lecture simplement décoré.

je me mis à comparer cette bibliothèque à celle de l'académie Impériale de ma vie passée. je me pose sur un sofa près de la fenêtre regardant l'extérieur, le soleil semble bientôt se couché il doit à peu près être 16h, je soupire et ferme les yeux me demandant où je pouvais bien être.

La porte s'ouvre doucement, je regarde dans la direction et aperçoit une petite tête avec des cheveux rouges qui essaie de passer discrètement et referme la porte * il ne doit pas m'avoir remarqué*

Il avance et fini par levé les yeux dans ma direction et se fige. devant moi se trouve un petit garçon au cheveux rouges et au yeux verts magnifique vêtu d'un bel ensemble pour enfant j'en conclus qu'il devait être le fils d'un noble mais bizarrement il a des yeux rougis comme s'il avait pleuré et la joue meurtrie.

Il me regarde avec peur, je décide de faire un signe de la main pour qu'il s'approche, d'abord hésitant il finit par s'approcher et me regarde doucement on ayant les mains jointes.un silence lourd retombe dans la pièce lorsqu'il finit par dire

- Tu...tu ne me fuis pas ? Le temps de sa voix est si bât et semble vouloir se rompre je ne compris pas sa question donc je le regarde puis il renchérit... je ne t'ai jamais vu ici tu es nouvelle ? je le regarde et il baisse la tête puis je finis par dire

- On peut dire ça il relève la tête avec un air choqué comme s'il ne s'attendait pas à ce que je lui réponde... pourquoi je devrais avoir peur de toi ?

il baisse les yeux, voyant qu'il ne voulait pas répondre je dis...ce n'est rien mais tu peux au moins me dire ce que tu viens faire ici et je ne pense pas que tu sois capable de lire un livre donc...dis je doucement tout en resserrant la couverture qui me recouvrait

- je voulais pas rester avec le Vilain monsieur...il marque une pause tout en serrant ses points il me fait peur et est méchant avec moi... Au moins ici je peux regarder des images dans des livres dit il avec un sourire triste

* bien que je veux m'éloigner des êtres humains dans cette vie ce n'est qu'un enfant je peux peut être l'aidé* je lui souris et le demande

- tu veux que je te lise un livre ?il me regarde avec un regard excité puis se ravise et demande timidement

- vrai... vraiment vous pouvez ? je lui fais un oui de la tête qu'il se lève et part chercher un livre posé sur une table basse et reviens en me le tendant avec un grand sourire je veux celui-ci s'il te plaît 😁

je me mets à lire et il s'approche près de moi écoutant attentivement mes mots, il se place naturellement entre mes jambes et s'allonge sur moi tout était calme et reposant. On finit par s'endormir tous deux bercé par le champ des oiseaux qui vole dans le ciel et le soleil qui caresse notre peau à travers les vitres en verre.

Je me lève doucement le petit était toujours sur moi les pierres de lumière s'était allumé après le coucher du soleil je décide donc de le réveiller doucement, au bout de quelques minutes il se réveille.

- tu peux m'indiquer la sortie du manoir s'il te plaît dis je doucement

- il me regarde avec une peine dans ses yeux et demande craintif tu...tu veux partir ? Je lui prends la main et répond

- non je veux juste prendre de l'air il s'adoucit et dit joyeusement " d'accord suit moi !!😊✨

On marche dans des couloirs immenses jusqu'à atteindre un hall d'entrée où il y avait une grande porte nous marchions lorsqu'un majordome s'élance vers nous et attrapes violemment la main du petit garçon et lui parle d'un temps menaçant...

- jeune maître ne vous avais je pas dis de ne plus disparaître de la sorte votre punition sera sévère suis moi !! 👿😡

La main du petit qui était dans la mienne se mit à trembler et les larmes semblent vouloir couler il était comme paralysé par la peur mais eu tout de même de courage de dire... non je ne veux pas... J'étais impressionnée moi étant petite n'ai jamais pu une seul fois me révolté mais lui il a pu malgré la peur qu'il ressentait.

Mais malheureusement le majordome ne semble l'apprécié grimace à l'entente d'une opposition il lève sa main gauche et voulais l'abattre sur la pauvre joue du petit.

je tire le petit en arrière de tel sorte qu'il soit derrière moi et blauque la main du serviteur il me regarde et dis

- Comment oses-tu m'interrompre dans ma correction espèce de roturière dit il en me jetant un regard furieux, il voulu réitéré son action lorsqu'un courant d'air froid se fait sentir accompagné d'une voix rauque

- je peux savoir ce qui se passe dans ma demeure ?

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À suivre....

(⁠ﾉ⁠´⁠･⁠ω⁠･⁠)⁠ﾉ⁠ ⁠ﾐ⁠ 

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