Rupture

...Nous sommes deux âmes perturbées ...

...vouées à s’aimer et à s’éloigner tel...

...est notre destin ...

Lorsqu’il m’enroula de se se deux bras et pleura à la vue de ses larmes les lèvres tremblèrent et un orage se forma sous mes yeux je l’aimais eu ne pouvait être séparer de lui non cela ne pouvait à peinée être concevable .

Moi : pourquoi ne pas fuir je ne veux pas être séparé de toi * pleure *

Frédéric : cela se passe dans les films et non dans la réalité

Moi : tu as une autre idée peut être dit le moi putain * crie *

J’avance tout tremblant et lui dit

Moi: on ne peut pas abandonner si je dois choisir je choisirai d’être donc dit le moi que tu veux être avec moi dis-moi

SILENCE

Moi: réponds moi s’il te plaît

Frédéric : pardonne-moi mon père compte sur moi et ton père l’a menacé de réduire en miettes son entreprise si nous étions encore ensemble désolé pardonne moi j’on est des attentes à mon égard donc

Il me pris la main et la plaça à côté de sa joue et me dit

Frédéric : nous devons rompre désolé

Moi: non on ne peut pas faire ça * attrape ses cheveux avec s agressivité * non toi aussi tu m’abandonnes n’est ce pas

Moi: si tu veux je peux m’offrir à toi si tu veux

Tout en disant j’enlève ma chemise mais avant d’enlever le dernier bouton il m’arrête et secoue la tête pour me dire d’arrêter

Moi : s’il te plaît ne m’abandonne pas qu’est-ce que je ferais sans toi

Frédéric : désolé

Moi: désolé tu n’as que ce mot à la bouche je te déteste tu m’es dit que tu resteras toujours avec moi alors pourquoi

je me leva et couru à la sortie sa mère m’appelle mais je n’en tiens pas compte et sorti j’entends des voix dans ma tête en boucle

Je te l’avais bien dit personne ne t’aime personne

ferme ta gueule ! Tais toi tais toi

Je couru je ne savais pas où je partais mais il me fallait être seul je commence à étouffer ma crise veut m’engloutir à bout de force j’atteins un parc et là je me lache je pleure et cris je n’arrive plus à rien pourquoi toi tout est à l’envers alors qu’en tout allait bien . A bout de force je pris le chemin de la maison fatigué de tout ceci fatigué de devoir essayé je suis fatigué. Arrivé j’entre et vois ma famille réuni dans la salon m’attendant sûrement épuisé et n’ayant la force de converser je décide de monter pour me reposer et penser à la suite des événements.

Père : jeune homme où va tu ?

Ne voulant écouter ses jérémiades je me décide de l’ignorer voulant reprendre la parole ma mère le retint pas un signe de tête et il se tut puis

Père: je le fait pour toi ma puce et pour l’entreprise lui il pourra te protéger j’en suis sûr

Je continue de monter ne laissant rien paraître.

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