Épisode 7.

Mériem et Monsieur David étaient à la recherche urgente d'une solution. Elle parcourait des livres ainsi que d'autres ressources dans l'espoir de trouver une issue.

Mériem : Je pense avoir une piste, une idée !

Monsieur David : Mériem, as-tu trouvé une solution ?

Mériem : Je le crois, et j'espère sincèrement que cela fonctionnera. Cela doit fonctionner, en effet.

Kim était encore en train de nager et s'était retrouvé dans les profondeurs du Lamadaya. Emporté par les doux courants de l'eau, il aperçut Chanaya, immobile à proximité. Il se précipita vers elle pour tenter de la réveiller, mais en vain. La panique et l'inquiétude commencèrent à l'envahir. Ils remontèrent à la surface, mais se retrouvèrent de l'autre côté du Lamadaya. C'est à ce moment-là qu'il prit la parole, submergé par l'angoisse.

Kim : Chanaya ! Chanaya ! M'entends-tu ? S'il te plaît, réponds-moi.

Il jette un coup d'œil à sa boîte d'oxygène et constate qu'elle est déjà vide. Chanaya ne réagit pas, et une inquiétude grandissante s’empare de Kim. Il pose son oreille sur sa poitrine, mais n'entend qu'un rythme cardiaque lent. La peur le submerge alors qu'il s'efforce de la réanimer, essayant même le bouche-à-bouche, mais Chanaya ne se réveille pas. Kim commence à trembler de panique, les larmes aux yeux.

Kim : Chanaya, je te prie de ne pas nous faire cela. Ne me fais pas subir ça, s’il te plaît.

Park ne faisait qu’apporter des soins à Pania, qui était toujours inconsciente.

Park : Pania, ouvre les yeux. Je suis vraiment inquiet pour ta blessure.

Doah et Lori continuaient à être immergés, mais la plaie de Doah s'infectait continuellement et il commençait à se sentir mal. Pania finit par se réveiller, observa son environnement et le visage de Park, qui était soulagé de la voir saine et sauve.

Pania : J'éprouve une vive douleur à la tête.

Park : Cela me rassure, j'avoue que cela m'a effrayé de te voir dans cet état.

Pania : Je suis désolée de t'avoir inquiété, c'est une situation habituelle pour moi, tu sais ? Nous sommes résistants. Nous ne sommes pas comme vous.

Park : Que sous-entends-tu par là ? Veux-tu dire que nous sommes faibles ?

Pania : C'est ta propre interprétation, pas la mienne !

Park : Pourquoi t'es-tu réveillée ? Je savais qu'avec toi, je finirais inévitablement par avoir une dispute.

Pania : Moi aussi, j'aurais dû garder les yeux fermés au départ !

Park : Alors, n'en parlons plus.

Pania : Je n'en parle pas non plus.

Park et Pania : Dites... Oh ! Allez, toi d'abord.

Pania : Penses-tu qu'ils vont nous retrouver ?

Park : J'en doute sérieusement, mais ce qui m'inquiète réellement, c'est de ne pas savoir si les autres vont bien.

Dony et Lee avaient réussi à rejoindre leurs points de rendez-vous, où ils trouvèrent Mériem et Monsieur David en train de chercher rapidement une solution.

Lee : Monsieur David ! Mériem !

Monsieur David et Mériem : Que le ciel soit loué !

Monsieur David : Bonjour, messieurs, j'espère que vous allez bien. Avez-vous eu des nouvelles des autres ?

Dony : Non, nous avons été séparés, et nous avons réussi à sortir de cette situation par miracle.

Mériem : Patientez un moment, nous sommes en train de rechercher une solution.

Lee : Je ne sais pas ce que vous envisagez, mais je vous en prie, dépêchez-vous. Chul-Moo ne se sent pas bien, et j'inquiète pour les autres.

Monsieur David : Jimin et Jain manquent d'oxygène, Jimin ne réagit déjà plus.

Dony et Lee : Quoi ?!

Dony : Nous devons agir rapidement, sinon ils risquent de ne pas s'en sortir !

Chul-Moo commençait à perdre peu à peu conscience, tandis que Jennie restait à ses côtés. Le sang continuait à s'écouler. Chul-Moo la fixait, mais il était incapable de prononcer le moindre mot, étant dans un état d'agonie. Jennie s'adressa à lui d'une voix tremblante.

Jennie : Chul-Moo, s'il te plaît, ne me laisse pas non plus, ne me laisse pas seule. Si seulement j'avais le courage de te dire que je t'aime.

Pania et Park, toujours dans le désespoir, commençaient à échanger des banalités. Alors que la température commençait à baisser, ils se rapprochèrent l'un de l'autre pour se réchauffer.

Park : Malheureusement, je me vois contraint de me rapprocher de mon pire ennemi.

Pania : Il en va de même pour moi, cela ne me réjouit guère.

Park : Je ne suis pas certain que nous parviendrons à sortir, mais si c'est le cas, accepterais-tu de me donner rendez-vous ?

Pania : Un idol K-pop avec une peau noire ? Pourquoi pas, cela me plairait beaucoup.

De l'autre côté, Kim ne ressentait plus les battements de son cœur. Éprouvant une profonde tristesse, il se mit à pleurer, réalisant que Chanaya était déjà décédée.

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