Ne me sous-estime pas

Une personne nommée Aliya c’est réincarner dans un monde dans elle ne connaît pas. Et grâce a ses servantes elle a pu savoir qu’elle était la vilaine de ce monde.

Aliya c’est réincarné dans le corp de Selene Montclair.

Fille du duc Montclair. Mais le problème c’est qu’il y a une semaine elle a giflé Clara fille du vicomte fleur. C’est pas parce qu’elle la fille du vicomte mais parce qu’elle est la bien aimé du prince héritier Astrid de Montfor, du frère de Selene Henri Montclair, Lucien de Saint- clair un marquise et aussi l’amie de Theresa de Luneville la vice chef des chevaliers impérial et aussi la fille du comte Luneville.

Selene a donc été bani de la capital pendant 6 mois. Mais Aliya a utilisé cette opportunité pour rester 6 mois de plus. Tout d’abord formé des liens et une bonne réputation.

Elle est devenue amie avec la sorcière des mondanité la fille chérie du duc de Valois Rosalind de Valois. Et la voleuse d’homme Amélie de Beaumont fille du comte Beaumont:

Ensemble elles dominaient les mondanités alentour dans la capitale et toute le royaume.

Actuellement nous somme au retour de Selene a la capitale pour l’anniversaire du prince.

1 an plus tard après l’incident de gifle.

** elle a gifles Clara le jour de l’anniversaire du prince**

Arriver a la capitale Selene est resté chez Rosalind en raison de son frère.

-— Au banquet—-

Au banquet il y avait une tension palpitante. Le groupe de Selene et celui de Clara. Les personnes puissantes défendaient Selene mais beaucoup plus de personnes défendaient Clara.

Rosalind(regardant le marquise Lucien)

´´ Alors c’est donc ça, le fameux marquise de Saint-clair? Quelle déception. J’avais entendu dire que vous du charme, mais je ne vois ici qu’un prétentieux parée d’or.’’

Le marquise Saint-clair tente de garder son calme car c’est la fille d’un duc.

‘’Mademoiselle Rosalind,vos paroles sont aussi tranchantes que votre marque d’élégance.

Rosalind(se tournant vers le fils du duc avec un sourire Sarcastique):

‘’ Et vous chère héritier de Montclair, toujours aussi docile? À force de suivre aveuglément les autres, vous finirez par vous perdre.Mais je suppose que prendre vos propre décision sa a toujours été difficile pour vous’’

Henri(le fils du duc serra t les poings, en essayant de rester impassible):

‘’Rosalind,n’oubliez pas votre place.’’

Rosalind(riant doucement):

‘’Ma place? Oh cher ami,ma place est bien au dessus de la vôtre. Peut-être que si vous passiez moins de temps à me fixer et plus à faire preuve de courage, vous auriez une chance de gravir les échelons."

Thérèse de Luneville (essayant de reprendre le contrôle de la situation) :

"Rosalind, c'est bien beau de lancer des piques à tout le monde, mais peut-être devrions-nous parler de Selene. Après tout, elle, la fille d'un duc, s'est fait voler son fiancé par Clara, la simple fille d'un vicomte. Ça, c'est une vraie humiliation, n'est-ce pas ?"

Clara de fleur(se sont gênée)

Selene de Montclair (répondant d'un ton détaché, avec un sourire amusé) :

"Oh, vraiment, Theresa ? Une humiliation, tu dis ? Chérie, s’il te plaît. Clara peut bien avoir ce garçon si elle veut. J'ai déjà tourné la page. Je ne suis pas de celles qui pleurent pour un homme insignifiant. Pendant qu'elle s'accroche à ses miettes, moi, je m'assure de savourer le banquet entier. Si elle pense avoir gagné, elle se trompe lourdement. On ne peut pas voler ce qui n'a jamais eu de valeur,mon cœur.

Amélie(éclate de rire):

‘’ Tu es vraiment la Selene que tu pense être’’

Thérèse de Luneville (les yeux remplis de colère, saisissant un verre de vin rouge) :

"Tu crois que tu vaux mieux que moi parce que tu joues les gentilles, Amélie ? Tu n'es rien de plus qu'une simple fille de comte." Elle renverse tout le contenu du verre sur Amélie. La robe d'Amélie est tachée de rouge, mais son expression reste sereine.

Amélie de Beaumont (calme, en essuyant doucement le vin de sa robe) :

"Theresa, si tu pensais que cela m'atteindrait, tu te trompes. Mon calme te dérange à ce point ?"

Selene de Montclair(se levant lentement, la voix glaciale et implacable, en lâchant ses rimes) :

"Alors c'est comme ça, Thérèse ? Tu crois que déverser ton vin va masquer ta misérable existence ? T'as tellement soif d'attention que t'es prête à t'abaisser à ce niveau ? J'crois pas. Tu fais ça parce que t'as rien d'autre à offrir. Tu parles fort mais t'es creuse, girl. T'as jamais été capable de te faire remarquer autrement qu'en foutant la merde. Un vrai déchet mondain. T'es ici juste pour traîner les pieds comme une ombre pathétique, toujours à chercher à te hisser là où tu n'appartiens pas."

Thérèse (les joues rougies de rage) :

"Comment oses-tu, Selene ?"

Selene (l'ignorant, continuant son assaut verbal) :

"Osé ? Non, Thérèse, je suis juste honnête. Tu te tiens là, pensant que renverser du vin va faire de toi quelqu'un d'important ? C'est pitoyable. T'as jamais été qu'une figure de second plan dans cette cour, et crois-moi, après ce soir, c'est là que tu resteras. T'es tellement insignifiante que même ton propre reflet hésite à te regarder en face. Maintenant, dégage avant que je décide de faire de toi un exemple. Parce qu'à ce rythme-là, Chérie, t'es juste bonne à te faire virer."

Les murmures dans la salle deviennent plus forts. Les regards se tournent vers Thérèse avec mépris. Finalement, le prince héritier s'approche, un air sévère sur le visage.

Prince héritier :

"Mademoiselle Thérèse de Luneville, vous êtes priée de quitter immédiatement ce banquet. Votre comportement est inacceptable."

Thérèse (haletante, enragée mais impuissante, se fait escorter hors de la salle sous les regards méprisants) :

"Vous n'avez pas entendu la dernière de moi..."

Selene (la regardant partir, un sourire triomphant aux lèvres) :

"T'es déjà oubliée."

Amélie (calmement, ajustant sa robe) :

"Comme toujours, tu gères la situation avec style, Selene."

Selene de Montclair (croisant les bras, son regard glacial balayant la pièce) :

"Je ne veux rien entendre. On a assez perdu de temps ici. On part. Maintenant. Ensemble."

Après leur départ, le banquier, d'un calme remarquable, observait la scène avec une sérénité glaciale. Tandis que l'agitation se calmait peu à peu, un malaise palpable régnait parmi les invités. La colère était palpable envers le prince héritier, le marquis, et Clara.

Les murmures méprisants se faisaient entendre, chacun reprochant à ces figures de pouvoir leur comportement irrespectueux et leur rôle dans l'escalade des tensions. Le prince héritier, avec ses airs d'arrogance, le marquis avec sa fierté démesurée, et Clara, avec son attitude perçue comme dédaigneuse, étaient désormais le centre des critiques, laissant une atmosphère lourde et chargée de ressentiment.

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