Devant l’hôtel j’avais vu une personne habillée étrangement. On pouvait se rendre compte qu’elle essayait de ce cacher délibérément. À ce moment je ne trouvais pas cela important. Moi et Édouard entrons comme à notre habitude dans l’hôtel. Au bout de quelques minutes le mystérieux personnage était parti.
En me rapprochant du tableau des missions j’en trouve une qui me plaisait. Le but de cette mission était de faire une peinture représentant une peluche que le client allait présenté lors de l’entretien.
Édouard m’accompagna car il trouvait la mission intéressante. Notre client était très très jeune c’était une petite fille aux cheveux d’un blond éclatent et ses yeux étaient d’un bleu aussi pur qu’un océan encor jamais découvert. En la voyant Édouard pâli, encore sous le choc il prononça un nom « miss Louise Artglow ». À ce moment je le regardai perplexe. Il m’expliqua que c’était une fille que toute la ville
respectait et que rien que le fait de pouvoir la voir seul à seule était incroyable.
Cette rencontre me laissait perplexe je me demandai pourquoi une personne aussi influente dans cette ville avait t’elle faite une requête pour mission illégale. J’avais même pu remarqué que cette « Louise » avait changé d’expression lorsqu’elle c’était rendue compte qu’Édouard l’a reconnu. C’était comme si elle affichait un sourire forcé pour faire bonne figure.
Me rendant compte que ma cliente était mal à l’aise je dis à Édouard que l’origine du client importait peu. En entendant cela je pu me rendre compte que la personne en face de nous c’était un peu détendue.
Après avoir installé une atmosphère de travail, nous pouvions commencer à discuter de nos tâches. Le peluche que nous avons peint était un petit ourson en peluche.
En sortant la peluche de sa poche on pouvait apercevoir une petite larme couler sur ses douces joues d’enfants. Elle m’explique que la peluche lui a été donné par sa mère avant qu’elle ne meure d’une maladie mortelle.
Soudainement, un homme de grande taille est entré dans la pièce les yeux remplis de colère. Il s’écria « LOUISE TU AS ENCORE RAMENÉ DES INCONNU À LA MAISON, COMBIEN DE FOIS DOIT-ON TE LE DIRE TU NE PEUX PAS AVOIR D’AMIS ICI !!!!!!!!!! ». Avant même que l’homme est commencé de parler que l’enfant ce boucha les oreilles. En nous regardant de haut l’homme nous ordonna de partir.
Même si je savais que ce n’était pas bien, je me
cachait pour les écouter. Cependant le mur était épais ce qui faisait que je ne pouvais entendre que la moitié.
« - Louise tu m’as encore …… des roturiers comme… n’ont rien à faire ici…… tu es parfaite ne vas pas ……
-oui père...
-C’est pour ton bien
-*sniff* oui pe…
-TU TE N’AS TOUJOURS PAS JETÉ CE CHIFFON »
Sans savoir pourquoi ni comment je me précipitai vers mademoiselle Louise pour la protéger. En voyant que le père de ma cliente tenait la précieuse peluche entre ses mains, je me mis fortement en colère sachant que le chiffon mentionné plutôt faisait référence à ce précieux jouet.
L’homme ouvertement hautain lâcha le peluche comme une ordure et sorti de la salle en disant « Amuse-toi si tu veux mais reste dignes pas comme cette chose sur le sol ». Lorsqu’il claqua la porte, j’accourus pour aller récupérer la peluche.
La fille pleine de larmes me demande si comme promis je pouvais faire un tableau de ce doudou. Pleine de compassion je lui réponds qu’avec plaisir je ferai ce tableau.
À la fin de la journée nous étions devenu amis avec la petite fille qui ce jour là a pu profité d’une compagnie autre que celle ça triste famille.
En rentrant à l’hôtel pour dire que la mission est un succès je me rends rapidement compte que la personne mystérieuse était aux comptoirs et qu’elle buvait un verre d’alcool. Trop fatigué pour réfléchir, je rentrais chez-moi. Sans prendre le temps de faire quoi que ce soit je m’endors.
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