Épisode 2

Benjamin : hé ! Tu m'entends ?he oh!

Il voit la blessure par balle à la jambe et panique.

Benjamín: oh non ! Une blessure par balle ? C'est grave ça. Ne vous en faites pas je vais vous aider.

Il la transporte jusqu'à l'arrêt.

Benjamin : Taxi !

Chauffeur : où es-ce que je vous emmène?.

Benjamin : à l'hôpital de la première rue.

Il la transporte jusqu'à la voiture puis appelle quelq'un par téléphone.

Benjamin : allô maman.

Juliana : Oui mon chéri.

Benjamin : tu travailles toujours à cette heure n'est-ce pas ?

Juliana : Oui, pourquoi ? Tu m'as l'air assez essoufflé.

Benjamin : j'ai trouvé quelqu'un blessé par balle, je te le ramène.

Juliana : quoi ?!

Benjamin : je te raconte tout plus tard, bye.

Il raccroche immédiatement. Chez lui, Charles avait réussi un coup de fil anonyme.

Charles : Oui.

Ambulance: c'est bien vous, Charles ?.

Charles : oui, qui êtes-vous et quel est le problème ?

Ambulances : nous avions retrouvé votre femme dans la falaise.

Les personnes que pharaon noir avaient envoyé pour tuer les temointes étaient revenus.

Homme : monsieur nous avons très bien vérifier elles sont mortes, une brûlé ainsi que leurs parents et les deux autres tué et emporter par le courant.

Victor : et si il arrive qu'on retrouve les corps ?

Homme : ils ne pourront jamais, se jeter dans cette falaise est de chercher la mort assuré. Et de plus, nous avons fait un sorte que la police croyant qu'ils ont été calciné à un point où plus personne ne peut leurs reconnaître.

Victor : bien, vos services sont toujours très satisfaisant.

Lydia s'en fuit, triste en repensant à toutes ses scènes horrible passé sous ses yeux. Rik marchait calmement avec une fleur en sifflant.

Rik : hum ! Beauté va sûrement aimé cette fleur, même si elle va m'insulter après.

Ils trouvent les gens affolé, les ambulanciers , il ne comprenez pas.

Rik : hé ! Qu'es-ce qu'il se passe, là ?!

Ils voient la maison des filles en feu, de loin. Il s'affole immédiatement.

Rik : oh mon Dieu ! La maison à brûlée !

Charles arrivent dans l'endroit où ils ont trouvé le corps de sa femme, ils lui laissent la voir, et celui-ci n'arrêtez pas de pleurer,

Scott: Papa, viens, nous devons y aller.

Charles : non, laissez-moi seul.

Scott: s'il-te-plaît papa.

Charles : allez-y, et laissez-moi ici.

Scott: la ville n'est pas loin de cette province. papa, s'il-te-plaît, Je t'en prie.

Charles : s'il-te-plaît, laisse moi seul.

les ambulanciers l'emmène et s'en va avec le corps jusqu'à la morgue. Charles était dévasté qu'il pleurait, il va s'asseoir sur le rocher en pleurant. Il trouve le corps de Kina plus loin, il s'approche.

Charles : ma fille ! Ma fille ! Qu'es-ce que tu fais là ?

Il s'approche et trouve qu'elle était inconsciente avec une blessure par balle, elle semblait même déjà être morte.

Charles : oh mon Dieu !

Benjamin avait ramené Merleen se faire soigner chez sa mère, sa mère lui réprimande sur le fait d'avoir emmené une étrangère blessé par balle.

Juliana : Benjamin, qu'es-ce qui t'a pris de ramener une personne blessé par balle ?

Benjamin : mais, je n'allais pas quand même la laisser mourir, maman.

Juliana : je sais mais, ce genre d'affaire sont très délicat, ça pourrait être un meurtre ou plusque ça. C'est quand même imprudent, heureusement que tu m'as fait appel d'abord.

Benjamin : attendons qu'elle se réveille, et après nous verrons.

Pendant ce temps, Jerry étaient dans le nouveau restaurant, ce doutant de rien, il avait tout préparer de beau. Il y avait même une banderole, il avait un bouquet de fleurs à la main et une bague.

Jerry: ça fait déjà quelques jours que j'ai en parler à ses parents, ils m'ont accordé la bénédiction si elle accepte. J'espère qu'elle va me dire oui, ce soir.

Rik était dévasté de voir les cadavres brûler de tout ce qu'il avait fait sortir de la maison. Les proches étaient en larme devant cette situation. À l'hôpital, Marleen se réveille complément traumatisé et en panique, Juliana et Benjamin étaient allés la calmer.

Marleen : mon Dieu ! Oh mon Dieu !

Benjamin : doucement.

Juliana : calme-toi, respire.

Marleen : je suis où, je fais quoi ici ?

Juliana : tu es dans un hôpital, mon fils t'a trouvé dans un quartier .....

Marleen : mes sœurs sont en danger, nos parents ....!

Juliana : doucement, calme-toi.

Marleen : Nous avons été témoins d'un meurtre !

Juliana : un meurtre ?!

Benjamin regardais sont téléphone, et voit le scandale sur la maison brûlé, il est surpris puis montre à Merleen.

Benjamin : hum .... Par hasard, tu as une idée de cette affaire.

Merleen n'a pas su quoi répondre et pleure, croyant qu'elle est resté seul et sans famille. Ailleurs, Lydia courait toujours sans s'arrêter en larme, ne sachant pas où es-ce qu'elle allait s'abriter.

Lydia : calme-toi Lydia, tu vas t'en sortir. Tu t'es toujours débrouiller seul. Je vais m'en sortir.

Une femme à l'aéroport, reçois un appel de quelqu'un, elle décroche.

Ikina : allô, Oui. Tu as besoin de moi c'est ça ? D'accord, on se revoit à la ville.

2 jours après, pendant que Marleen se cachait, les proches du quartier avait fait enterrer les corps de la famille entière qui avait brûlé dans les flammes. Les personnes les plus inconsolable était Rik et Jerry, traumatisé de douleur. Ikina étaient dans une petite maison avec Marleen, Benjamin et Juliana.

Ikina : je m'appelle Ikina, je me charge de la protection des témoins.

Juliana : merci d'être venue.

Ikina : de rien.

Marleen : qu'es-ce qui va m'arriver maintenant ? Et mes sœurs alors ?

Ikina : Tu es un témoin très essentiel sur l'affaire du pharaon noir, ici, sachant que tout le monde te prends pour morte, tu devras quitter la province.

Marleen : quitter la province ?

Ikina : et Oui, malheureusement nous ne pouvons pas nous permettre de montrer au pharaon noir que l'une d'entre vous ont survécu

Marleen : et si elles ont survécu elles aussi, s'il-vous-plaît, je veux avoir une chance de retrouver mes sœurs.

Ikina : les enquêteurs pourrons s'en charger, mais ici, personnes n'est en sécurité.

Benjamin : tes sœurs, ils vont leurs retrouver. Fait confiance à Ikina, elle est la meilleure dans ce domaine.

Ikina : le choix t'appartient entre vivre et envoyé cette assassin en prison, ou rester ici et mourir pour de vrai.

Marleen : d'accord, d'accord. Mais s'il-vous-plaît, essayer au moins de sauver mes sœurs s'il-vous-plaît.

Ikina : je ferai tout ce qui serait à mon pouvoir pour leurs retrouver.

Marleen : alors, je viens avec vous.

Ikina : alors, allons y.

Pendant ce temps, dans la ville, Charles avait emmené Kina à l'hôpital, il était avec Scott. Kina était déjà réveillée mais ne comprenez pas ce qu'il se passait.

Scott: papa, pourquoi tu as emmené une étrangère avec toi ?!

Charles : elle était seul, elle allait mourir.

Scott: mais nous ne la connaissons pas , elle a eu une blessure par balle, ce n'est pas une affaire à prendre à la légère.

Charles : je ne pouvais pas la laisser comme ça, c'est inhumain. Dit moi, est-ce que tu es seul ? D'où viens-tu ma fille ?

Kina: Je ne sais pas, je ne connais pas d'où je viens.

Charles : et ton nom ?

Kina: Je ne sais pas, je ne sais pas comment je m'appelle.

Scott: ça c'est la meilleure, elle est amnésique en plus. Papa, qu'es-ce que tu fais ?

Charles : tu ne vois pas que c'est une chance ? Adèle est revenu.

Scott: papa, arrête d'agir comme ça, tu me fais peur.

Charles : écoute fiston, je ne pouvais pas la laisser, je n'ai pas pu sauver Adèle, pour moi c'est comme une seconde chance.

Scott: d'accord papa, mais il faut te renseigner sur elle, peut-être qu'ils y a des gens qui la cherche ...

Charles : en parlant de renseignements, j'ai vu quelques choses de terribles sur les infos.

C'est là que Marleen quitte la province pour aller à la ville, par hélicoptère en laissant toute sa vie derrière les pleures.

Marleen : C'est dur d'abandonner tout ça, et de penser que je ne pourrai peut-être jamais revenir.

Benjamin : ce n'est qu'un temps, tout va s'arranger.

Le pharaon noir était dans son bureau entrain de torturer quelqu'un.

Victor : tu vois ce qui arrive à ceux qui sont témoins mon œuvre ?

- s'il-vous-plaît monsieur, je ne dirai rien.

Victor : ne t'en fais pas, tout va passer vite.

Ces hommes sont arrivées dans la pièce.

Homme : monsieur, l'avion est prête, nous pouvons y aller.

- s'il-vous-plaît ! Laissez-moi !

Homme : nous pouvons aller à la capitale, nous devons éviter tout soupçon de la police.

Victor : d'accord, et n'oubliez pas de brûler la maison.

- non! Non!!!

En sortant ils brûle la maison, la personne mourrait calciné.

***Téléchargez NovelToon pour profiter d'une meilleure expérience de lecture !***