Au loin de la petite fille qui somnolait, s'approchait un jeune homme au tain bronzé et aux cheveux bleus nuit. Il portait une chemise blanche dont les deux derniers boutons n'étaient fermés avec un pantalon jet noir .
La jeune fille qui somnolait ouvrit vivement ses yeux. Elle devient frileuse et se questionna intérieurement
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ces phrases se répètèrent en elle et la petite fille qui tremblait de peur couru avec le peu d'énergie qu'elle avait et se cacha derrière le grand t'arbre en larmoyant .
<< Je suis désolée si je vous ai offensé...je vous en prie pardonnez moi...vous ne m'apercevrez plus jamais. Je vous le promet...alors...alors ne vous approchez pas !!! >> implora t elle .
Mais le jeune homme ne sans souciait guère et avança jusqu'à quelques centimètre 'elle.
Maintenant que le jeune homme était assez près, il s'accroupit et toucha la tête de la petite fille se qui la fit frissolée puis , il caressa la tête de la petite qui était restée immobile faute de peur.
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Il continua :<< je ne te ferai jamais de mal.>>
Il r'ajouta:<< ça peut sembler difficile à croire, mais je ne te veux aucun mal.>> tout en caressait sa joue gauche.
Les larmes qui remplissaient les yeux de l'enfant stoppèrent. Ainsi, la petite fille leva la tête et les larmes se arretèrent de couler. Hésitante , elle reprit les paroles du jeune homme:
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-<< Oui>>
-Mais pourquoi ?
-Parce qu'il y a "une personne" qui t'aime
-Il y a une personne qui...m'aime?
-Oui et elle m'a envoyé.
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- Ce sentiment que tu ressens, est un sentiment de paix. dit le jeune homme.
-Alors c'est ça la paix ? C'est donc ça que les autres ressentaient quand je partais loin d'eux ?
- Je comprends maintenant pourquoi les autres me rejetaient... Parce qu'ils voulaient se sentir en paix.
La petite fille ne pouvait pas le croire, elle se demanda qui pouvait l'aimer et soudain, des souvenirs des villageois la jettant des pières remonta dans son âme avec cette phrase:
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Des larmes commencèrent à couler tout le long de ses joues, ses yeux en étaient remplis.
Le jeune homme la souleva et la serra fermement contre lui, caressa ça tête avec un léger sourire.
Il posa ensuite son front contre le sien et murmura des mots doux à son oreille :
- Pleure, pleure car c'est la dernière fois que tu auras à pleurer de tristesse...pleure , et sort cette amertume qui te ronge le cou pleure,afin de te vider de la tristesse et te remplir de joie...pleure...Cheryl.
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