Épisode 5

Alexandre

L'agente reste près de moi jusqu'à ce que son estomac gargouille, elle rougit instantanément et je lui demande.

" Voudrais-tu prendre un bain ? La nourriture est en route. "

Elle acquiesce et je vais chercher une chemise et un caleçon pour qu'elle puisse les mettre.

J'appelle Biel mentalement et lui demande d'acheter des vêtements pour elle, en lui précisant la taille à apporter, sans oublier les sous-vêtements.

Je lui tends les vêtements en disant.

" Il y a une brosse à dents et une serviette dans la salle de bain, n'hésite pas à les utiliser. "

Elle y va et verrouille la porte derrière elle, pendant ce temps, je passe un coup de fil et j'attends qu'elle sorte du bain.

Je demande à ce qu'on prépare tout chez moi pour son arrivée, qu'on achète des vêtements, des chaussures, des crèmes et des parfums à son odeur, et un kit d'hygiène de base pour elle, laissant tout prêt pour son arrivée chez moi.

Pour qu'elle ait déjà l'impression que ce sera un bon endroit pour elle.

La nourriture arrive. Je demande un peu de tout, en espérant que ça lui plaira.

Lorsqu'elle sort de la salle de bain, je me perds dans sa beauté, et avec mes vêtements, qui lui arrivent aux cuisses épaisses (waouh, ces cuisses), elle les frotte l'une contre l'autre, et je sens son excitation, qui me rend presque fou de désir pour cette femme.

Je vois la façon dont elle me regarde, et ça me rend encore plus fou d'elle.

Je l'appelle pour qu'elle s'assoie, et...

Elle regarde la table, et son estomac gargouille à nouveau, gênée, elle baisse la tête, et je la sers, je ne sais pas ce qu'elle aime, mais j'en mets un peu de chaque pour qu'elle se sente à l'aise.

Nous mangeons en silence jusqu'à ce que je lui demande à nouveau son nom.

" Comment t'appelles-tu ? "

Elle allait dire Estela.

Mais je sais que c'est un mensonge.

" S'il te plaît, dis-moi la vérité, je ne veux pas te faire de mal. "

Elle semble comprendre.

Et elle me dit. Le plus beau nom que j'aie jamais entendu.

" Je m'appelle Luiza. "

Je le savoure dans ma bouche ! Et je remarque la façon dont elle regarde ma bouche, elle déglutit difficilement, et je meurs d'envie de lécher, de mordiller ces délicieuses lèvres.

Mon téléphone vibre, je demande une minute et je vais répondre, je prends le sac de vêtements et je reviens en disant

" J'ai demandé qu'on t'achète des vêtements, parce que ma chemise ne pouvait pas être portée comme ça. "

Elle acquiesce, la prend et se rend à la salle de bain, pendant ce temps, ma mère appelle pour me demander si c'est vrai que je l'ai trouvée. Ma mère a toujours prié la déesse de la lune de m'apporter ma partenaire, et maintenant qu'elle est là, elle me pose beaucoup de questions et alors que j'allais répondre, la porte de la salle de bain s'ouvre et la voilà, vêtue d'une robe presque de la couleur de ses yeux, magnifique. J'ai avalé ma salive avec tant de désir pour cette femme, un corps magnifique, merveilleux et puissant, elle ne sait même pas à quel point.

J'ai demandé à ma sorcière Cassandra de faire des recherches sur les types de pouvoirs que je voyais en elle, et j'attends qu'elle termine ses recherches et qu'elle me les transmette.

Mais je suis certain qu'elle est très puissante, ce qu'elle a fait à ce voyou que je n'avais jamais vu auparavant, mais elle l'a achevé, et elle peut courir, bon sang, elle est encore plus rapide que moi.

Je sors de ma rêverie et lève le bras pour qu'elle le prenne, elle le prend sans hésiter.

Nous nous dirigeons vers la porte et quittons la pièce, elle regarde autour d'elle et nous marchons un moment, me dit-elle.

" Je loge dans une auberge de jeunesse à proximité et je dois aller chercher mes affaires, j'apprécie vraiment ton aide et je dois partir maintenant. "

Je la regarde et mon sang se met presque à bouillir et je me sens triste en même temps, mais je lui dis

" Tu ne peux pas partir sans moi, maintenant que je t'ai trouvée, je ne peux pas te laisser seule, tu es ma partenaire. "

Elle me regarde en état de choc, et je lui répète qu'elle est ma partenaire.

" Tu ne peux pas t'éloigner de moi. "

Puis c'est comme si quelque chose faisait tilt dans sa tête, elle me regarde et me demande.

" Partenaire comme mari et femme ? "

J'acquiesce et elle me fixe longuement du regard.

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