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Ce bruit, ce bruit de merde me donne la migraine.

_ La ferme putain de réveil. Dis-je en le jetant à l'autre bout de ma chambre.

Faut vraiment que j'aie au travail dans ces circonstances.

Je ferme les yeux et ce bruit tout droit sorti des enfers recommence. Je tâte ma table de nuit à la recherche de se putain de bruit et sans faire attention ma main pousse un truc qui s'écrase au sol. Ce bruit, ne me dite pas que...

Je me lève en sursaut et voie là devant moi ce que je ne voulais pas.

_ Mais putain de merde, je hais cette vie de shit, hurlais je.

Je ramasse mon téléphone, si il en est toujours un. L'écran est vachement brisé. J'essaie alors de l'allumer et par le plus grand des bonheurs il s'allume.

_ Enfin de compte cette journée n'est pas aussi crappy.

Je me lève et sort de ma chambre avec mes affaires de rechange, je rentre dans la douche.

Je me positionne devant le miroir et l'image qu'il me renvoie me fait grimacer.

Des cernes entoure mes yeux et les rétrécies, déjà qu'avant ils n'étaient pas gros. Je décide enfin de lâcher l'image que me renvoie le miroir avant de piquer une crise cardiaque. Je rentre sous la douche et ouvre le robinet.

_ Whore, hurlais je au contact de l'eau froide. C'est quoi ce merdier.

_ Ah j'oubliais, dit ma mère en  faisant passer sa tête dans l'encadrement de la porte. Le chauffage est cassé, les jeunes filles de maintenant ce développe tellement vite.

_ Mum sort de cette douche criais je en lui balançant de l'eau à la figure.

Elle l'evita de peu en refermant la porte.

Cette femme va me rendre folle et sa ne saurait tarder.

Je prends mon courage a deux mains et me lave rapidement pour sortir de là.

Je suis prêt, habillé d'une chemise blanche manches longues fourré dans un pantacourt corsaire bleu bleuet et de mes fameux talon de dix centimètres noir.

J'aurai préféré mes baskets mes on a une réunion, je dois être professionnel pour monsieur.

J'attache mes cheveux en une queue de cheval haute qui tombe dans le creux de mes reins.

_ Bon Mum j'y vais, dis-je en ramassant mes clés pour les mettre dans mon sac à main Gucci à bon prix. Bien-sûr c'est pas le vrai mais on s'en fiche.

_ Tu ferais mieux de cacher t'es cernes si tu veux pas que ton patron meurt de crise cardiaque, me dit-elle en me donnant un miroir.

Et elle a raison j'ai oublié de me maquiller. Bref j'aime pas trop me poudré le visage, un gloss, un eyeliner et c'est tout pour moi.

Ma mère me demande de m'asseoir et en un rien de temps c'est comme si j'avais jamais eue de cernes.

_ Thank Mum, dis-je en prenant mon téléphone qui ne ressemble plus à rien et par dessus mon manteau.

J'arrête un taxi en bas de l'immeuble et je suis partie pour une journée de travail bien pourri.

_ Enfaite ça ne pourrai pas être pire soufflais je.

Le chauffeur me lance un regard interrogateur à travers le rétroviseur et je lui accorde mon plus beau sourire. Je suis pas si désespère jusqu'à montré à toutes la population que je hais ma vie.

Je descends et le paye avant d'entrer dans l'entreprise. Une entreprise d'avocats reconnus dans le monde.

Vous vous demandez ce que je fais ici ? Je suis avocate bien-sûr, non je rigole je suis secrétaire d'un avocat reconnus et respecté sûr tout le territoire italien.

_ Bonjour saluais je la réceptionniste.

Même pas un regard, elle est concentré sur un magazine qui a pour couverture mon boss.

Il est partout ce type.

Je ne m'attarde pas sur elle et prends l'ascenseur.

En vrai je ne m'entends vraiment pas avec les secrétaires, femmes de cette entreprise. Pourquoi ? Parce que mon boss est un putain de mal ALPHA.

Je pose mon sac sur ma chaise, prends ma tablette et vais frapper à la porte de mon boss. Il est sûrement là puisque la porte n'était pas fermé à clé à mon arrivée.

_ Entré dit-il de sa voix grave un peu étouffé par la lourde porte qui se dresse devant moi.

J'ouvre la porte avec difficulté comme d'habitude. Il est posé devant son bureau, une large table en bois d'ébène. Ce bureau est tellement grand, trop grand pour une seule personne. A l'autre bout du bureau se trouve deux canapés qui se font face, séparé par une petite table en verre trempé ronde. Un placard et une commode placé non loin des toilettes.

Ce bureau me donne toujours froid dans le dos malgré la vue magnifique qu'elle laisse entrevoir à travers le mur vitré.

_ Bonjour monsieur dis-je sans vraiment attendre une réponse.

Et comme à son habitude il n'ose même pas lever le tête pour me regarder.

_ Le planning d'aujourd'hu...

La porte s'ouvre brutalement pour laisser place à Mirabelle, une fausse blonde a la forme rêvé par toutes les femmes. Cheveux coupés carré, yeux bleus, nez droit, bouche pulpeuse. Cette fille est une vraie tentation.

_ Vous êtes en retard mademoiselle Lorenzaccio. Lui fit-il remarquer en lui montrant l'horloge qui se trouvait accroché au mur à sa sa gauche.

En effet elle était en retard de trente minutes, il était 7h 30. Mirabelle Lorenzaccio est la secrétaire personnelle de monsieur Noah Greco.

Je sers à quoi alors ? J'en ai aucune idée, mais je travaille vraiment dur.

_ Je...je suis désolé monsieur, dit-elle en tortillant ses doigts manucurés parfaitement.

Ok j'ai pas ma place ici, je ferai mieux de partir.

_ Je passerai plutard alors dis-je en souriant timidement à Mirabelle. Un sourire au quel elle répond par un sourire triste.

_ Vous n'irez nul part mademoiselle Parker. Dit-il.

Rien qu'à l'intonation de sa voix je me fige sur place. Je lève ma tête vers lui et ses yeux gris métallique me glace le sang.

Cette homme est l'homme le plus beau que j'ai jamais vue, aucun défaut. Ses cheveux d'ébène sont rabattus en arrière, deux mèches rebelles frôle son front ce qui lui donne un air rebelle. Sont long nez italien, sa bouche dûr fine et son menton carré lui donne cette air d'homme impassible.

_ J'ai à vous parler toutes les deux nous dit-il en se levant de son siège.

Un vertige me prend immédiatement quand il s'avance vers nous les mains dans les poches. Cette homme est grave grand, 1 mètre 95 tandis que moi du haut de mes 1 mètre 63 c'est normal qu'il me donne le vertige.

_ Il y aura un petit changement dès aujourd'hui, dit-il en regardant sa montre.

Il est toujours pressé ce monsieur. Bon faut dire que sont emplois du temps est rempli aux  abords

_ Monsieur...je...

Il ne lui jette même pas un regard.

_ Mademoiselle Parker vous devenez ma nouvelle secrétaire personnelle, dit-il en me regardant.

Je fonds sur place. Hum hum reprends toi Kelly.

Il me dévisage de haut en bas, comme pour m'analyser.

_ Et vous mademoiselle Lorenzaccio Mirabelle, dit-il en plantant ses yeux dans les tiennes. Vous êtes viré ...

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