Chapitre 2

L'homme qui se présentait devant moi était la caricature parfaite du héros de romans. Il était plus grand que la plupart des hommes avec une carrure imposante. Qui laissait à tous le monde le plaisir d'imaginer les muscles qu'il possédait. Son visage quant à lui été un plaisir pour les yeux, tant il était charmant. Il possédait de ravissants traits fin qui sublimait ses deux magnifiques yeux verts. Ces iris était un doux mélange de vert jade et de marron flamboyant comme de petit soleil. Au coin de son œil droit comme pour souligner sa courbe parfaite se trouvait gracieux grain de beauté. Ses cheveux châtain clair avaient été quelque peu décoiffé par le vent ce qui le rendait encore plus désirable. Son costume trois pièces lui donnait un air noble(qui sentait le fric à plein nez) presque condescendant

C'était un vrai délice pour les yeux. M'importe quelles héroïnes de romans même miro auraient fait de cet homme son héros

Malgré cela cet homme m'agaçait sans que je puisse exactement en définir la cause. Était-ce son accoutrement qui le rendait snob à souhait ou peut-être sa perfection trop agaçante. Mais l'hypothèse la plus probable était sûrement qu'il avait osé arriver en retard

(Bien qu'au fond de moi j'aurais souhaité qu'il ne vienne pas tous court)

Cet agacement se traduire de ma part par une réponse sèche et moralisante.(Voir même vulgaire)

"- Enfin, c'est pas trop tôt. Ce n'est pas que j'attendais particulièrement votre arrivée. Mais c'est surtout que l'idée d'attendre un malpoli pendant trente minutes pour satisfaire ma mère. Commençait à me faire sacrements ch*ée !

- Je vois que la politesse ne vous étouffe pas vous non plus.

- Qu'elle audace de votre part! m'exclamai-je indignée.

- Pourquoi êtes-vous venue alors ? Je vois bien que vous n'êtes pas venue pour mes beaux yeux. Vue à point vous êtes agréable.

- Cela me paraît évident que n'ai pas attendu aussi longtemps pour pouvoir parler à un arrogant d'en votre genre. Seriez-vous idiot par asard? La raison pour laquelle je suis toujours ici c'est que j'y étais contrainte par ma mère. Cela étant dit je m'en vais. Je n'ai pas envie de passer beaucoup plus de temps avec un mal élevé d'en votre genre !

 En disant cela je pris mon sac que j'avais laissé sur une autre chaise. Puis me dirigeant vers lui je lui tendis l'addition.

"Je vous laisse payer. Je verrai ça comme une excuse de votre part pour ne pas avoir été f*utu d'arriver à l'heure."

En disant cela elle sortit de la terrasse et s'éloigna.

Quelle effroyable caractère ce dit de l'homme inconnus en lui-même. Enfin tant pis, elle aurait sûrement beaucoup plus à mère. Voyons voir avec qui avons-nous rendez-vous en suite. À peine avait-il eu le temps de prendre son téléphone, qu'il se mit à sonner.

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