Prétendante Au Trône, J’En Veux Plus

Prétendante Au Trône, J’En Veux Plus

Une fille comme les autres

Salut 👋 je m’appelle Lili, depuis quelques temps nous habitons dans un grand bar situé dans le village byglass qui se trouve à quelque heure de Paris. Le comptoir gagné par mon père au jeu de carte avec un inconnu bien louche. Mais en tous cas on l’a gagné, peut-être même revolé au gars qui s’est enfui bien vite. Comme si il se débarrassait d’un corps. On va pas entrer dans les délires sombres. Et vous m’avez compris. parlons maintenant un peu de ma famille.

J’adore cette photo🤩. Je trouve que le peintre l’a bien faite.

Revenons au sujet principal.

La magnifique femme c’est ma mère, elle s’appelle Eva. Elle était une bonne médecine mais changea de métier après avoir épousé mon père. Maintenant c’est notre cuisinière attitrée qui ne se gêne pas de mettre quelques herbes à sa cuisine , ce qui l’a rends encore plus exquise.

Arrêtons un peu de saliver partout 🤣🤣.

Mon père est un est un ancien forgeron . D’autant plus que ses lames ont remportés des guerres . En plus toute ses connaissance sur l’art de se battre il me les a transmises. Il m’a offert une épée pour mon douzième anniversaire. Et je suis maintenant capable de le battre.

Regarde moi cette beauté 😍😍

Il est maintenant il est serveur avec moi. Et il y a moi la petite dernière qui présente bien sa famille et qui s’oublie 😅. Donc comme vous le savez déjà, je m’appelle Lili, j’ai 19 ans. J’ai les yeux vert émeraude. Ma mère dit que c’est chanceux 🍀

......................

Mes yeux verts fixent l’horloge, je me suis réveillée en retard. Vêtue d’un pantalon et d’une chemise, je descends les escaliers en bois à toute vitesse. Comme les marches grincent, je suis au centre de l’attention, ce que je ne voulais pas. Fichue escalier, un jour je les changerai !! 😡

Je prends un chiffon, le trempe rapidement dans un seau d’eau.

Dans le bar il y a une vingtaine de tables ainsi une bonne heure de travail pour commencer la journée. 😩

...Après cette tâche....

Les premiers arrivants passèrent la porte.

Joe et Damien, nos inconditionnels, étaient déjà là, commandant toujours les mêmes plats avec leur habituel air taquin. Leur présence me réchauffait le cœur et me donnait l’énergie nécessaire pour affronter la journée qui s’annonçait chargée

- Hey Lili, ce n’est pas encore prêt ?!?! Cria alors Joe, me réveillant soudainement de ma rêverie.

- J’arrive !! Leur dis-je en courant avec leur plats remplis de bonnes choses faites par ma mère.

Mais brusquement je trébuche sur une planche de bois mal fixer sur le sol et mes assiettes s’envolent en l’air.

En un instant, je réussis à récupérer les plats d’œufs intacte.

C’est alors que je remarque les deux habitués me regarder stupéfaits par ma rapidité.

Et aussitôt des acclamations viennent me féliciter.

-Avec ta taille de guêpe et ton agilité, tu pourrais peut-être une acrobate ? Déclara alors Damien.

Avec ma maladresse, je fis donc attention à ne rien renverser par terre et de ne pas trébucher sur quoi que ce soit. En fin de matinée, je suis essoufflée parce que j’ai couru de tables en tables avec de divers mets et plusieurs pichets d’alcools. Pendant, notre pause de courte durée, nous avons l’habitude de fermer le bistrot.

Mon père commence à feuilleter son journal tout en fumant une pipe.

Il me demande d’approcher pour voir l’illustration d’une femme.

Margot Quinn a été sélectionnée comme 97e prétendante au rôle de la princesse au titre du journal.

Oh, elle est si belle !!!

^^^ - Donc, c’est tout ce que ça t’inspire quand tu vois cette photo ?^^^

- Que veux-tu que je dise d’autre ?

^^^ ^^^

^^^- Hum, que t’es jalouse, que tu aimerais être à sa place… En tout cas, c’est la prétendante qui a le plus de chances d’être sélectionnée ! Elle va devenir la femme du prince héritier ! Exclama-il.^^^

- Papa, cette fille n’a rien à voir avec moi !! Elle vit dans un autre monde. Margot fait partie de la noblesse. Et moi je suis serveuse. Je crois que le seul point commun entre nous deux, c’est que nous sommes des filles. Nous sommes sur des chemins différents

^^^- Ils choisiront une prétendante parmi les gens ordinaire. Seulement une seul !! Tu pourrais être sélectionnée… ^^^

-Tu sais très bien qu’il y en aura beaucoup. Toutes les femmes du pays d’âges se précipiteront. Je ne crois pas au hasard, je connais les probabilités. Papa, arrête de jouer aux cartes dès qu’on mise de l’argent !!! La fille du Duc a fait la une des journaux. Et tu penses que cette candidate issu des rangs inférieurs pourra rivaliser ?!?! D’ailleurs, que penserait Kristian si je le faisais ?

^^^-Kristian ! Tu parles de ton fiancé parti il y a plusieurs mois pour capitale vendre ses tableaux, sans donner une seule nouvelle ? ^^^

...****************...

...Un projet assez cynique ...

La pause se termina en silence.

Les clients recommencèrent à arriver et moi à recourir.

Quand je suis allée donner les assiettes au groupe du fond.

Ils parlent d’un homme en calèche.je pensait immédiatement de Christian.

- De quel homme tu parles ?

-Un petit avec les cheveux légèrement blond.

- Christian est de retour !!!

- Du calme, mademoiselle. J’ai simplement vu ses cheveux. En plus si sa se trouve ce n’est pas lui.

- Temps pis. Maman, je peux me reposer un instant ?

-Oui, d’accord, dis-lui bonjour de ma part si tu le voit. Aussi, ne rentre pas trop tard.

Je me précipite à l’étage, troque ma chemise et mon pantalon contre ma seule robe qui traîne dans mon placard depuis qu’il m’avait quitté dans son voyage. En remontant la route, je vois une belle calèche tirée par de beaux chevaux de couleur isabelle. La voiture à cheval s’immobilisa à ma hauteur.

Avec toute sa beauté sort Christian, il descend les marches avec élégance et assurance, son sourire se transformant en une expression surprise en me voyant atteindre la calèche.

-Lili, comment vas-tu ? Ça fait longtemps, pas vrai.

- Christian, bien sûr que ça fait longtemps, tu es parti il y a trois mois et aucune nouvelle. Tu aurais quand même pu m’écrire, un peu non ?

- Je n’ai pas eu le temps et d’ailleurs il faut que je te présente Suzanne, c’est ma fiancée. Nous allons nous marier

- Quoi !! Mais tu m’avais promis de m’épouser en rentrant !?!

- je suis désolé, mais je ne t’aime plus. J’aime Suzanne.

- Qui est-ce ?

• Garçon : C’est une noble

• Fille : Sophie ? La blonde qui se prend pour une star ? Tu plaisantes ?

• Garçon : Non, je ne plaisante pas. Elle est belle, intelligente et gentille. Elle me rend heureux.

• Fille : Heureux ? Tu étais heureux avec moi ! On avait des projets, on devait se marier !

• Garçon : Je sais, mais les choses ont changé. Je ne ressens plus rien pour toi. Je suis tombé amoureux de Sophie.

• Fille : Tu es tombé amoureux ou tu es tombé dans son piège ? Elle t’a manipulé, elle t’a séduit pour te voler !

• Garçon : Arrête de dire des bêtises ! Elle ne m’a pas volé, elle m’a donné ce que tu ne pouvais pas me donner.

• Fille : Quoi ? De l’amour ? De la tendresse ? De la fidélité ?

• Garçon : Oui, tout ça. Et aussi de la passion, de la complicité, de la joie.

• Fille : Tu es aveugle ! Elle ne t’aime pas, elle se sert de toi ! Elle va te quitter quand elle aura trouvé mieux !

• Garçon : Non, tu te trompes. Elle m’aime, elle me l’a dit. Elle veut m’épouser.

• Fille : Quoi ? Elle veut t’épouser ? Mais tu es fou ! Tu vas gâcher ta vie !

• Garçon : Non, je vais vivre ma vie. C’est toi qui gâches la tienne en restant accrochée à moi.

• Fille : Comment peux-tu être si cruel ? Tu me brises le cœur !

• Garçon : Je suis désolé, mais c’est mieux comme ça. Il faut que tu acceptes la réalité.

• Fille : La réalité ? La réalité, c’est que tu es un lâche, un égoïste, un menteur !

• Garçon : Non, je suis juste un homme qui suit son cœur. Adieu.

-

- Je sais mais j’ai commis une erreur à l’époque, mais je me suis rendu compte de quelques choses lorsque je l’ai rencontré.

La colère m’envahit, mes poings se serrent et ma respiration s’accélère. Comment ose-t-il me tromper après tous ces mois d’attente ?

Aveuglée par la colère, je saisi fermement une pierre, et l’a lancé avec colère et force, créant un bruit retentissant sur la calèche. Le coin supérieur gauche se fissurât. Ce qui me fit voir l’homme qui m’a mise en colère.

- Hé !! Espèce de folle !!!

- C’est ça, ta raison, j’ai commis une erreur sur toi, Je sais que je suis plus intelligente que toi ! tu ne sais pas ce que tu perds !!!

Suzanne en rajoute.

- Ah, ce n’est pas vrai !! Ça se voit que vous êtes mal éduquée. C’est pour cela qu’il vous a quitté ! Vous n’avez aucune féminité !

- Ne vous inquiétez pas !! Tout le monde dans l’empire va m’aimer, sauf vous deux !!

Et c’est avec ses paroles que je rentre chez moi.

1 chance sur 1 millions

Le lendemain matin, tout le monde étaient au courant de ma dispute et du fait que j’allais m’inscrire au rôle de prétendante. Le lendemain matin, tout le monde était au courant de ma dispute et du fait que j'allais m'inscrire comme prétendant.

- Voilà votre bœuf bourguignon et deux bières. - Voici du bœuf Bourguignon et deux bières.

- Merci la future princesse.

- Arrête, c’est presque impossible que je sois sélectionnée. - Arrête, c'est quasiment impossible pour moi d'être choisi.

- Mademoiselle, presque est une option.

Après le travail, je me suis précipitée au seul endroit où je peux m’inscrire. Après le travail, je me précipitais vers le seul endroit où je pouvais m'inscrire.

- Donnez-moi le bulletin d’inscription ! - Donnez-moi le formulaire d'inscription !

- Lili ? Inscription à quoi ? S'inscrire pour quoi ?

Je m’assoie sur une chaise pendant que Madame Françoise m’apporte les documents à remplir. Je m'assis sur une chaise pendant que Madame Françoise remplissait les documents.

Je prends une plume et commence.

- Nom : Reims, prénom : Lili

Rien de compliqué pour le moment.

Dernière question, choisir 5 chiffres inférieurs à 80.

- C’est un jeu de loto, mais ça ne se peut pas être un tirage au sort. - Il s'agit d'un jeu de loterie, mais pas d'un jeu de tirage au sort.

Le prince choisi sa femme. Le choix de l'épouse du prince Aller je ne peux rien perdre et on va voir si j’ai la même chance que mon père ! Allez, je ne peux rien perdre

- Lili attend. Tu es sûr de vouloir faire ça…

- Réfléchir à quoi ? de toute façon ça ne marchera pas. Il me faut juste cinq chiffres inférieurs à quarante-cinq. Je mis donc 17 26 01 19 76. Je ne pris pas la peine de lire les petites écriture en bas.

- Fini, allons au restaurant ! Je vous invite à fêter ma rupture !

- Mais Lili, tu n’as pas l’air dans ton assiette. Tu es toute pâlotte.

- Ne vous inquiétez pas, et venez avec moi célébrer ma séparation ! Et c’est ainsi que nous trinquons pour moi, plusieurs personnes étaient venues uniquement pour cette occasion. Je reçois beaucoup de félicitation durant mes heures de travail. On avait décoré notre taverne pour cette célébration.

- Maman, il y a beaucoup de personnes à servir !!

- Je sais, c’est bien pour une fois qu’il se passe quelque chose. Lili, dépêche-toi d’aller donner ton plat sinon il va refroidir.

DING DONG

Encore, ça ne se finira donc jamais.

- Bienvenus dans le restaurant familial de …

- Oh, ça sent bizarre ici. Commence à dire Suzanne accompagner de Christian.

- Que ce que vous voulez ?!? crie je pour entendre ma voix à travers le brouhaha. Il n’y a plus de place. Vous voulez attendre qu’une place se libère ??

Bizarrement plus personnes ne parlèrent.

- J’ai tous entendu. Commence Christian avec un sourire forcer. Tu t’es vraiment inscrite pour devenir princesse ?

- Vous voulez attendre….

- C’est ce que tu voulais dire, quand tu parlais d’être aimée par tout le monde ? Ta vraiment cru que tu allais être choisie ? Il commença alors à rigoler

- Christian, tu ne vois pas qu’il y a plein de monde ? ça ne va pas non plus faire ta réputation dans le village puis …

- De tout façon, je l’emmène, lui et sa famille a la capitale, ou d’ailleurs nous allons nous marier. Vous croyez qu’il est ce genre de garçon à rester dans ce village minable.

- Cher client, il n’y a pas de place pour les personnes comme vous. Je pense que vous feriez mieux de partir avant que je commence sérieusement à m’énerver.

- Vous savez, il y a plus de huit millions de filles qui se sont inscrites, vous êtes seulement une parmi c’est huit millions qui cherchent de l’attention. Vous comprenez mieux maintenant ce que vous êtes ?

Les deux commencèrent à s’esclaffer.

- Je pense que ce serait mieux de les faire partir. Chuchota mon père a ma mère.

- Attends, ne bouge pas !?! Ordonne ma mère.

- Sinon, vous pouvez juste essayer de deviner qu’elle place vous allez occuper, parmi ces huit millions !! Vous serez contente si vous vous placez parmi les quatre millions ? et inviter moi quand l’occasion de présenta. Gloussa Suzanne.

Derrière les perturbateurs, deux grandes silhouettes apparurent.

L’un deux pris la parole en fessant sursauter les provocateurs.

- En fait, elle a obtenu la première place.

- Pour être précis, elle est première parmi 8 147 259 personnes. Enchaina le second.

A présent qu’ils se sont avancés, je vois mieux leurs visages. Celui qui a parlé en premier a les cheveux blancs avec des yeux violets.

Il porte un costume bleu, je dirais qu’il a environ une vingtaine d’années.

Tandis que le deuxième, a les cheveux noirs avec des yeux bleu.

Il porte également un costume bleu paon. Je dirais qu’ils ont le même âge mais il a l’air plus sérieux que l’autre.

- Qui êtes-vous demanda alors Suzanne. Couina-t-elle.

- Suzanne ?!?

- Je me nome Luc adrayon, fidèle bras droit du prince et mon coéquipier se prénomme Julien Crawford. Informe Luc à Suzanne.

- Normalement, on aurait dû vérifier tous les bulletins d’inscription mais ce n’a pas la peine pour vous Miss Reims car vous avez remplit la principale condition. Annonce-il en se rapprochant vers moi.

- Euh, je ne comprends pas vraiment ce que vous dites …

- 17 26 01 19 76. Lili Reims, vous avez choisis exactement les mêmes chiffres que le prince. Dans le même ordre. En plus. Déclara Luc.

- Ça veut dire que c’était effectivement une loterie !?! déduit- je

- Félicitation, Lili Reims. Vous êtes officiellement désignée comme la 100e prétendantes. Et la seule candidate du bas peuple. Vous terminez donc cette sélection.

- On voulait discuter avec toi, mais j’ai ouïe dire s’il n’y a plus de place nous reviendrons. Déduit- il

- Il y a de la place au fond, si vous voulez bien me suivre.

Nous nous dirigeons donc vers une table à l’écart des autres. Pendant que les jeunes couples partirent.

- Bon, je me lance, je veux abandonner.

- Vous voulez renoncer à votre qualification ?

- En fait je vais vous l’expliquer…

- Même si c’est l’occasion de pouvoir vous marier avec le prince ? Mlle Reims, vous dites ça parce que le prince ressemble à une monstre ? En plus d’être moche, il …

- Mais non !!! Pourquoi je jugerais de l’apparence de quelqu’un surtout du prince. C’est juste moi, comme vous voyez, je suis une fille ordinaire du village. Je n’ai rien de spécial. Si je participe au concours, je baisserais la moyenne.

- Ne vous inquiétez pas pour cela. La compétition est une fête pour tout le monde. Plus vous vous démarqueriez des autres candidates, mieux ce sera…

- Si, j’ai bien compris, je suis un faire-valoir. C’est ça ? déclare-je ? Je vais vous dire franchement, je n’ai pas envie d’être utilisée pour faire briller les autres, et après de devenir une chaussette qui finit jeter je ne sais pas où. Je me suis inscrite par un coup de colère. Mais je n’étais pas sérieuse.

- Je vois, j’ai bien saisi ce que vous voulez dire. J’accepte votre rétraction, mais je trouve cela très dommage. Mais je ne vais pas vous forcer donc, comme c’est écrit dans le règlement en bas de l’inscription … Vous allez devoir payer une pénalité de cinquante millions de pièces d’or.

- Oui, oui comme c’est écrit dans le règlement… Hein !! Le règlement … La pénalité est de combien ?!?

- Cinquante millions de pièces. Vous n’avez pas lu le règlement sur le bulletin que vous avez signé ?

- Même si je vends le bar, ce ne serait pas suffisant !

- Mlle Reims ?

- Ce n’est pas vrais, ça doit être une arnaque !

- Mlle Reims, tous vont bien ?

- Je vais porter plainte ! dis-je en me levant de ma chaise.

- Par rapport, a la pénalité, c’est un trésorier de l’empire, qui viendra la collecter.

- Je n’ai pas assez d’argent et même si j’en avais les moyens je ne les aurais pas utilisées pour ça.

- Eh bien, vous êtes donc obligée de participer, nous partons demain matin à la lever du soleil.

L’aventure commence

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Vers l’aube, je pris une chemise blanche, un pantalon noir avec des bottes. J’emporte quand même mon épée que mon père m’a forgé pour mon douzième anniversaire.

Je me regarde une dernière fois dans le miroir accroché dans la chambre des parents.

Je dis une dernière fois mes adieux. J’ouvre mes fenêtres de ma chambre.

- Bonjours a vous deux !! je descends !

Je monte sur le rebord de la fenêtre

- Miss Reims ?!? Que faîte vous ?!?

- Ne vous inquiétez pas, je sais ce que je fais.

Je commence donc à descendre par le toit du bar. Une fois descendu, les deux hommes viennent à moi.

- Vous s’avez que c’est dangereux ? commença l’un

- Vous pourriez être la nouvelle princesse héritière. Veuillez prendre soin de vous. Termina l’autre.

- Pourquoi, avez-vous quittez sauvagement votre maison ?

- Sauter par la fenêtre du deuxième étage est tout à fait courant dans ce village !

- Ce n’est pas une raison. Dit-il

- Je pense que ça veut dire que c’est la même chose pour le port d’un pantalon, miss Reims ?

- Je porte ce que je veux, et de toute façon je reste comme ça.

- Vous savez il y a votre image public à entretenir, Pour cette fois c’est vous qui voyez.

- Ne vous inquiéter pas pour moi, comment allons-nous arriver au château du prince ?

- A cheval, bien sûr !

Je pris une jument blanche avec les sabots noir.

Mes coéquipiers, prirent des chevaux marrons.

En deux heures, nous nous faisons une halte pour que les chevaux reprennent leurs souffles, quand soudain, arriver au milieu d’une forêt ma jument trébuche et tombe. Je me retrouve donc par terre.

- Miss Reims, est ce que vous allez bien ?

- Moi oui, mais ma jument, non.

- Nous ne pouvons rien faire pour la sauver, elle doit mourir. Julien veut tu bien l’achever ?

- Ne penser même pas à la touchez, c’est compris ?! J’irai au château avec la jument et pas sans !

Sans réfléchir, je me lance dans une forêt qui borde la route, une forêt de fagacées.

La forets est dense mais laisse suffisamment d'espace pour la pénétrer. Bien aérée pour laisser passer les rayons de soleil.

Au bord de l’eau de la vois, la seule fleur jaune parmi les autres. Que ma mère m’avait vantée ses mérite tellement de fois.

Je cueille la fleur à la longue tige bleue, et repartie dans l’autre sens. Arrivée à coter de la jument et de mes coéquipier. J’écrase la fleur pour former un liquide jaunâtre. Je mets le liquide sur la blessure du cheval.

Le membre commence petit à petit à bouger et l’équidé de mit debout.

- J’ai réussi !!!

- Bravo, mademoiselle, puis-je savoir qu’elle est la plante que vous avez utilisée ?

- De l’abutilon, elle pousse près des fleuves ou des rivières.

- Je vois ça. Dit-il en regardant mes bottines et le bas de mon pantalon.

- En tous cas c’est mieux de tuer un pauvre animal, pas vrais Julien ?

- Vous savez Miss, si vous m’appeler ainsi, je dois faire de même pour vous.

- Pas de problème. Je vais aussi vous tutoyer comme ça on pourra plus faire connaissance.

Nous parton vers l’auberge le plus près où nous passeront la nuit

Nous repartons donc sans parler. Au bous de quelques minutes, nous sortons du forez. Le paysage est jaune or.

- Regardez, il y a des champs !! Vous pensez qu’ils plantent quoi ?

- Du blé, sinon ce ne serait pas ocre. Répondit lassement Lucien

- L’auberge est à quelque mètre du village, tu pourras y faire un tour.

- Oui, ce serait bien. Regarde on voit une auberge !! fessons une course jusqu’au bâtiment.

- Si vous voulez ! Lucien rejoignez-nous à notre jeu.

- Non, je ne vous rejoindrais point pour ce genre d’ânerie, partez devant.

- Et si l’un d’entre nous se blesse ? le garde qui a la mission de surveiller quelqu’un se blesse. Que va-t-il se passer à ton avis ? lui fit remarquer Julien.

- Je pense tu seras la seul personne qui tombera de votre monture si tu continues tes paroles isolante. Prévient Luc

- Donc tu viens avec nous ? lui proposai je

- Avec tous ce qu’il a dit je suis obligé de te suivre Miss Lili

- Attention, je compte a 3 et on parts :

1,2,3

Nos trois chevaux partirent aux galops, ma jument dépasse rapidement le l’étalon de Julien. Mais ne parvient pas à rattraper celui de Luc. Ce dernier pris plus de vitesse et nous terminons la course longtemps après lui.

- Bien jouer,

- Luc, comment ta fait pour aller aussi vite ? ta réussit à dépasser mon étalon !!

- Ce n’était pas compliquer, son cheval est blessé, et tu es juste incompétent dans ce domaine. Décréta Luc

- Dit simplement que tu voulais te venger de mon insolence.

- On peut dire sa comme ça réfléchit Luc. Nous allons faire une pause pour cette nuit, miss Lili tu peut aller te promener, mais revient avant la nuit. Quant à toi tu vas me faire 100 maniement d’épées pour aujourd’hui.

- Pas de problème. A plus tard !!

- Lili, fait attention à toi.

- Capitaine, s’il vous plait, puis je me reposer un peu ?

- Tu n’es qu’un chômeur, après cette exercice va aider les villageois qui eux, travaillent.

- Bien commandant dit Julien en soupirant

Dans le village, une fête se prépare. Les enfants courent avec des guirlandes de toutes les couleurs. Tout le monde participe à la préparation. Une dame prépare sa boutique de fleurs. Je m’approche d’elle et lui dit

- Bonjour, vous savez quand sera la fête ?

- Bonjour cher voyageuse, la fête est pour la future princesse !! Vous ne trouvez pas ça existant ?

- Prenez un bouquet, je vous l’offre.

- Merci beaucoup, vous avez de très jolies fleurs en plus. Je voulais aussi vous demander, si vous savez ou se trouve une boulangerie pas loin d’ici.

- Prenez cette petite route de pavé puis vous serez arrivée à votre destination.

- Merci, J’espère vous revoir

- Au revoir, a la prochaine fois si vous revenez.

Devant la boulangerie, je pris mon argent que j’avais garder dans mes poches. Compta mes quelque pièces dans ma main en enfin j’entre dans le magasin.

Une douce odeur de farine viens me chatouiller mes narines.

- Bonjour madame, qu’es ce qui vous ferait plaisir. Dit une petite boulangère. Ne vous inquiétez pas de mon jeune âge, je ne travaille pas vraiment ici. J’aide juste mes parents.

- Alicia !! Je t’ai déjà dit de ne pas faire ça. Dit une jeune femme au cheveux doré comme ses baguettes. Elle n’a seulement 10 ans. Je vous prie de m’excuser pour elle si elle vous a offenser.

- Ne vous inquiéter pas, elle n’a seulement effectué son travail à la perfection. Lui dis je en lui fessant un clin d’œil

La petite Alicia rigole quelque instant plus parti en courant aider son père qui lui cria de l’aide pour je ne sait quel besogne.

Arrivée devant l’auberge, une calèche vient se ranger à coter de moi. Les portes s’ouvrent et une femme sortie.

- Elle me fait penser à quelqu’un. Pense ai-je.

Mais oui !! c’est la même femme que sur le journal. Elle s’appelle comment déjà ? ma... Voilà Margot Quinn.

- Occupez-vous de mes affaires !! cria cette dernière.

Vous pourquoi vous restez là ? en me désignant

- Madame Quinn, c’est ça ? dit je essayant de ne pas m’énerver. Je pense que vous vous tromper de personne. Je ne suis pas l’une de vos domestiques.

- Alors qui êtes-vous ? A voir vos habit, vous n’avez rien à faire ici.

- Je ne vous permets pas de m’insulter. Conclue – je.

Rouge de colère, Margot partit en direction de sa chambre. Juste avant de disparaitre, elle rajoute :

- Vous allez me le payer !!

- Apprenez déjà les bonnes manières, pour commencer ! répliquais – je.

En rentrant dans la pièce qui me sert de chambre, je m’allonge sur mon lit en repensant à mes dernières paroles avec Miss Quinn

- Je n’aurais pas dû lui dire ça !! je me suis un peu emportée.

Rira bien qui rira le dernier

Juste avant le repas, Margot réapparue devant moi.

- Foutus animaux, s’ils ne savent pas courir, c’est mieux de les tuer. Je vais changer ses maudits chevaux !! enrage-t-elle

Aussitôt je m’élance vers les écuries au bout du souffle. J’ouvre la barrière qui s’épare les équidés et la liberté. Je pris un pur-sang ainsi que les autres occupant. Un après un, je l’ai entendit galoper.

Je pris direction du château. Deux heures plus tard je me retrouve devant la porte du village. Je continue à galoper jusqu’à ce qu’un garde m’arrête.

- Hé toi, que vient tu faire ici ? demande alors ce dernier

- Je cherche le prince. Pourriez-vous m’indiquer où le trouver ? questionnais-je

- Je vais le prévenir, pourquoi voulez-vous le voir ?

- Vous n’avez pas besoin de le savoir.

- Alors vous pouvez revenir demain.

Je descends de ma monture

- Vous pouvez me dire où il y a une auberge ?

- Je crois qu’en bas de la rue, il y en a une.

- Merci ! Aurevoir !

Je partis en courant accompagner de mon cheval.

Arrivée devant l’auberge, je relâche mon animal. Il prit route vers le nord.

- Je n’ai pas d’argent pour me payer une chambre. Il faut que je voie le prince. Commençai-je à penser.

Je pris donc la direction du château en étant convaincu que sans mon cheval je n’allais pas être repérer.

Sur la route, plusieurs gardes me passent devant.

Arrivée devants l’immense porte en fer.

Je contourne jusqu’à trouver une petite porte en bois entrouverte cacher avec les buissons et les arbres ainsi que des lierres.

Je pris mon épée, trancha quelques feuilles qui tombèrent au sol.

J’ouvre la porte et entre.

Je me retrouve dans un long couloir. Je fais attention à ne pas refermer la porte et m’aventure dans l’allée.

Au bout d’un moment je parviens à distinguer des torches accrochées en hauteur. Je m’approche d’un des luminaires. Je pris un élan, sauta.

- J’y était presque. Commençais-je à pester.

Je recommence, je repris un plus gros un élan, m’élança et d’un saut prodigieux je pris la torche et retombe sur mes pieds.

- J’ai réussi !!!

- Bravo, tu veux une médaille ? demanda alors quelqu’un derrière moi.

- Hein ? qui est là ? montrez-vous ! Bredouillais-je

- Mademoiselle, que faite vous là ? Vous savez où nous nous trouvons ?

- Montrez-vous ! j’ai une épée.

- Vous me menacer ? rigola t’il. Répondez-moi à mes questions.

- Déjà on est dans un château, et je veux rencontrer le prince pour quelque chose. J’ai répondu à toute vos questions, alors répondez à mes questions.

- J’aime votre courage. Je vous conseille de partir, le jour va se lever. Suggère l’inconnue

- Qui êtes-vous ? réclamais-je

- On se retrouvera, mais pour le moment partiez d’ici.

Après un long moment de solitude, je repars en direction de la porte qui s’était refermée à cause du vent.

En sortant je vis un rassemblement formé près d’une pâtisserie.

Je me précipite pour voir ce qu’il y a de si intéressant. Je vois qu’un homme avec une cape, dire quelque phrase a son coéquipier en uniforme bleu.

Je remarque qu’au centre, ce trouve Luc.

Je ne pris pas la peine de chercher plus loin que déjà je m’élance vers lui.

- Luc ! Je suis ici ! hurlai-je pour me faire entendre.

Le concerner se tourne vers moi. Il me fit signe d’approcher.

Arrivée à coter de lui, il m’emmena à l’écart.

- Je peux savoir pourquoi vous êtes partie comme ça ? En détachant les chevaux ! commença – il

- Demande à Miss je ne sais pas quoi, elle sait ! répliquais-je. Comment t’a fait pour me retrouver ?

- Déjà je vous emmène au château, vous serez en sécurité après je réponds à vos questions. Décide-t-il. Avez- vous mangé ?

- Non, j’ai trop faim et je n’ai pas d’argent sur moi. Je sais on s’arrêter pour manger dans un magasin !! conclue-je.

- Hors de question que je vous emmène au château, les domestiques vous porterons à manger.

Nous nous dirigeons en direction du château

- Tu pense que le prince sera présent ?

- Je ne pense pas, vous savez qu’il est 3h du matin ?

- Effectivement, je pense que le prince ne va pas se réveiller à cette heure. Vous ne m’avez pas répondu à ma question tous à l’heure, comment ta fait pour venir alors que j’ai décroché tous les chevaux sans exception ?

- Quelqu’un est venu me chercher pour m’informer de ta disparition, j’en ai profité pour l’accompagner. Vous savez que pas votre faute, Lucien ira à pied pour nous rejoindre.

- Et grâce a moi, des chevaux ne seront pas morts ! tu savais que Miss truc…

- Miss Margot Quinn ? suggère, Luc

- C’est ça ! elle voulait abattre tous ses chevaux sans exception.

- Ce n’est pas une raison. J’espères vraiment que vous aller vous comporter autrement avec les autres participantes.

- Je verrais bien.

Arrivés devant le château, je constate qu’il y a deux soldats postés devant la porte armés de leur épées.

Un garde vint nous ouvre puis nous fait entrer dans la demeure du prince

Première rencontre

Nous arrivons dans un grand hall. Je voyais Des colonnes majestueuses ornée de motifs bleus et dorés. Le sol de marbre brillait sous les rayons du soleil qui traversaient les fenêtres immenses. Au fond du hall, un immense escalier s’élevait en spirale. Je me sentis soudain très petite par ce lieu qui respirait la puissance et la richesse. Quant à moi je me demandais ce que je faisais là, une simple aubergiste, qui avait osé se présenter comme prétendante du prince.

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