chapitre 04

moi de mon côté qui avait pris mon sac avec des bombes pour me rendre au point d'attaque.au moment de sortir, mon cousin m'avait vu sortir du sous sol et après il pris la décision de descendre au sous-sol pour vérifier ce que je pouvais trafiquer là-bas . il était devant une porte fermée à clé et pensant que sûrement j'avais caché la clé dans la maison, rue précisément dans ma chambre, alors il monte immédiatement dans ma chambre et commença les recherches et après une heure du temps,il n'avait toujours pas trouvé la clé. son téléphone tombe par terre et quand il descendit pour le prendre, il vit une boîte qui n'esita pas àle prendre , et en l'ouvrant, il vit une clé et il se leva et alla immédiatement au sous-sol pour l'essayer a fin de savoir si c'était la bonne clé . sur le point de descendre, les escaliers, il me vit et à la vitesse de l'éclair pour remettre la clé ou elle était et voyant que j'allais l'attraper, il faisa semblant de discuter au téléphone. je rentre dans ma chambre sans preter même attention à lui. le lendemain, j'avais procédé comme la dernière fois pour l'attaque de l'immeuble kristal palace mais à la différence que cette fois-ci, il y avait pas de compte à rebours. la mort de ma mère animait en moi une colère rouge et son hésité, j'appuie sur le détonateur et cette fois l'attaque eu pour cible la résidence du maire de la ville . quelques temps avant l'explosion. après avoir diffusé la nouvelle et l'endroit où je devais conduire ma cible, le maire craignais que sa famille puis être pris pour cible et il les appela pour leur demander de s'éloigner de leur résidence car peut-être la bombe avait été dirigé vers leur résidence. le maire de la ville : non non non non non non non là c'est du sérieux je dois mettre ma famille à l'abri. l'assistante du Maire: qu'est-ce que vous allez faire ? demain : je dois les appeler pour le dire d'évacuer la maison. la femme du maire et son fils qui était en train de regarder la télé. Jusqu'à ce que son téléphone sonne. la femme du maire : mon chéri prends mon téléphone là-bas et viens me donner. le fils du maire : maman c'est où ? la femme du maire : s'est posé là-bas à la table de la salle à manger. le jeune garçon qui couru pour prendre le téléphone et revenue en courant vers sa mère. le fils du maire : là voilà maman. la femme du maire : merci mon chéri. le maire qui était au bout du fil tout paniquer. le maire : allô, allô. la femme du maire qui m'a répondu. la femme du maire : oui allô mon amour . qu'est-ce qu'il y a ? le maire : vous devez sortir de la maison tout de suite. la femme du maire qui était étonné de l'état dans lequel il était. la femme du maire : mais pourquoi chérie qu'y a-t-il pour que tu sois dans cet état. le maire dans tous ses états. le main : ne discute pas , sors de là avec l'enfant, vous êtes peut-être en danger. sa femme : d'accord mon chéri sors tout de suite dehors mon fils. Je te rejoins. son fils : d'accord maman. après que le fils du maire soit sorti à l'extérieur de la maison, malheureusement la femme du maire n'eu pas le temps de sortir de là que la bombe explosa en mettant en mille morceaux le corps entier de cette femme est la maison en entier elle aussi. les policiers ne tarda pas à venir sur place mais malheureusement ils ne trouverent que le jeune garçon en train de pleurer devant la maison en cendre. de mon côté, moi et salif je m'étais dirigé vers la sortie de la maison après que je fit exploser la bombe sous mon sous-sol. Salif profita de ma sortie . il vit tout ce qui me permettait de mener à bien mes attaque . il était vraiment surpris et stupéfait de tout ce que j'avais dans cette chambre et surtout que j'étais le génie derrière tout ces évènements désagréables qui arrivait à toute la population. il prit quelques photos de ce qui était dans la chambre et sortie en courant et arriver au salon, il appela le supérieur de mon oncle qui était son père et comme il s'avait que son père ne le croirait pas à propos de ça car à son avis son père ne le faisait pas confiance. au milieu de l'explosion, mon oncle et son supérieur était en train de superviser les opérations et entendre le témoignage des voisins d'a côté et son téléphone sonna dans sa poche et il prit l'appel. mon cousin en panique au téléphone. Salif : allô, allô. le capitaine de la police au bout du fil. le capitaine de la police : allô c'est qui ? mon cousin. salut : c'est ... c'est moi le fils du policier souleyman chef. le capitaine de la police : c'est toi , qu'est-ce qu'il y a ? salif : je... je c'est où ce trouve le poseur de de bombe. et j'avais oublié de vous dire que le poseur de bombe était mon nom de super méchant bref revenons à notre histoire.

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