Épisode 12. journée ensoleillée

Le matin, Anna et Maria étaient allongé sur le lit de chez eux en se lamentent.

María: tu sais qu'on doit aller au travail,non? lève-toi.

Anna: lève-toi d'abord avant de me parler.

Maria : écoute, il est encore temps pour le dire au revoir, il pars ce matin ?

Anna: Oui, mais ne me fait pas la morale pendant que toi même tu es en déception.

Maria : pour moi c'est autre chose mais... pour toi Anna, c'est encore plus. tu l'aimes n'est-ce pas ? et je sais que pour lui c'est réciproque aussi.

Anna: j'en ai pas vraiment l'impression.

Maria : si tu veux le confirmer tu peux toujours y aller, je couvrirais ta petite absence au bar.

Anna porte ses baskets et cour à toute jambes.

Maria : vas y ! * ☺️

À la gare, Bloeme était venu parlez à Herlof et nikolaas avec anneleen et tante Annika.

Bloeme : Herlof mange bien surtout, fait attention à qui tu côtoie.

Annika : tu es encore plus maman poule que moi.

Anneleen : c'est vrai quand même, mais moi je n'aurai que ce nounours et pas toi Papa.

Nikolaas : je te jure que je ferai vite, et quand je reviendrai je dois goûter à ta tarte.

Anneleen : bien sûr, grand mère va bien m'aider.

Bloeme : quant à toi Nikolaas, reviens nous vite car n'oublie pas qu'on c'est fait une promesse ☺️

Nikolaas : je n'oublierai pour rien au monde tu peux me croire, je serai encore plus rapide qu'un réacteur. 😊

Annika : hé ! ont dirais que quelqu'un arrive.

Herlof : quelqu'un ?! une femme ?

Bloeme : il s'approche..

Selim : c'est moi ! hé ! désolée pour le retard.

Herlof : oh... Selim * déçu* 😟

Selim : qu'es-ce qu'il y'a ? j'ai fais quoi ?

Herlof : rien du tout Selim.

Anneleen : Tonton Selim aurait préféré que ça soit Anna.

Herlof : t'es-toi ! tu dis n'importe quoi, il faut apprendre à ne pas trop parler.

Nikolaas : bon, c'est l'heure. au revoir.

ils entrèrent dans le train, le train voulais démarrer soudainement Anna arriva en courant.

Selim : Anna ?

Anna: il sont où ? il est où ? * essoufflé*

Bloeme : dans le train, il est même sur le point de partir.

Anna: la poisse !

elle courut en se précipitant vers le train.

Selim : qu'es-ce qu'elle fait ?

Annika : comme c'est beau.

Bloeme : tu vois Selim ? c'est comme ça qu'on fait.

Anna suivait le train qui était entrain de démarrer, elle hurlait.

Anna: Herlof! Herlof! regarde c'est Anna !

Olaf ( camarade): hey Herlof, regarde.

Herlof fait sortir sa tête de la fenêtre.

Herlof : Anna?! tu es folle où Quoi ?!

Anna: oui et c'est ta faute ! tu ne sais pas lire entre les lignes ?!

Herlof : j'aimerais bien t'y voir le faire ! tu n'as même pas vu les miennes ! donc tu peux parler !

Anna: quand tu reviendras ! rapporte ma bague !

Herlof : une bague ?! où ? pourquoi ? comment ?!

Anna: ont n'épouse pas une femme sans bague !

Herlof : hein ?! * surpris*

Tout les militaires du train rigola et cri tous ensemble.

les militaires : qu'es-ce que tu attends Herlof ?! tu vas la laisser filer ? c'est le moment ! c'est le moment !

Herlof : je te jure que je te ramènerai une bague ! j'irai le chercher partout pour toi Anna ! je t'aime comme un fou, je vais t'épouser Anna !.

Anna: moi aussi je vais t'épouser !

Anna & Herlof: ont va s'epouser ! je t'aime et je t'attendrai !

Herlof : bisous ! je t'enverrai des lettres je te le promets.

Anna: moi aussi mon amour !!!!!

le train alla si loin et Anna s'arrêta, elle était si heureuse.

Anna: je t'attendrai mon amour. Ahahaha! 😆

elle s'allongea par terre avec une joie immense. Au bar de Scott, un garçon était assis sur la table 6, Maria était allé le servir.

Krelis : merci beaucoup pour le service mademoiselle.

Maria : de rien, c'est mon travail tout de même.

Krelis : vous êtes plutôt originale, des rollers pour travailler c'est difficile.

Maria : pas du tout c'est très facile, je suis un superbe prof pour ça et j'ai déjà entraîner ma petite sœur.

Krelis : c'est vrai ?! alors s'il-vous-plaît, apprenez moi c'est urgent.

Maria : moi ? mais tout affect, attendez-moi demain devant le bar à 16H.

Krelis : je vous remercie, je m'appelle Krelis.

Maria : Maria.

Anna entra soudainement dans le bar en joie.

Anna: bonjour tout le monde ! je suis là

Maria : ce n'est pas trop tôt Anna. bon, je dois te laisser à demain.

Krelis : à demain, merci.

Maria : je connais quelqu'un qui a le sourire jusqu'aux nez.

Anna: ne dit pas n'importe quoi quand même. c'était qui lui ?

Maria : ne dit pas n'importe quoi quand même.

Plus tard, Dirck s'occupait de la cuisine mais il manquez des ingrédients.

Dirck: il manque beaucoup d'ingrédients, c'est pour ce soir mais je préfère qu'on l'achète tout de suite.

Loveyko : je vais l'acheter.

Maria : pas besoin, j'y vais. de toute façon j'avais quelques choses à acheter.

Loveyko : d'accord merci Maria, voici la liste.

Maria : d'accord, à plus tard.

elle s'en alla. Dans la maison du Père de Selim, lui et son fils ne se comprenez pas.

Selim : écoute Papa, j'en ai assez qu'ont continue à ce disputer de la sorte avec toi.

Ahmet : il faut que tu comprenne que le seul responsable de notre dispute c'est toi.

Selim : moi et toujours moi, pourquoi pour une fois tu ne dirai pas “je”? ça ne va pas te tuer si je ne m'abuse.

Ahmet : c'est pour toi que j'ai quitté Istanbul, je suis venu ici après l'Iran pour toi mais tu me mets mal à l'aise.

Selim : ça recommence encore avec toi, tu me rappel à chaque fois la même rengaine.

Ahmet : c'est parceque tu es égoïste!

Selim : je ne veux pas me chamailler aujourd'hui Papa.

Dans le même quartier Maria avait fini d'acheter ces articles puis s'en va, sur le chemin qu'elle avait pris elle entendait des bruits de dispute.

Maria : c'est quoi ça ? il y'a vraiment des gens non civilisé ici, Ah.

La dispute continua jusque dehors, Maria voit que Selim se disputait avec quelqu'un.

Ahmet : je ne veux même plus te voir ici ! je me demande pourquoi tu continues toujours à venir.

Maria : Selim ? un monsieur ? je n'interviendrai pas ce n'est pas mon problème.

Selim : qu'es-ce que tu veux à la fin Papa ?!

Ahmet : tu veux savoir ? ton attention, tu ne prête même pas attention à moi depuis le décès de ta mère !

Selim : Papa arrête.

Maria accourut rapidement et leurs sépare.

Maria : hé !! doucement monsieur !

Selim : Maria ?

Ahmet : qui êtes vous ?

Maria : je suis quelqu'un qui dit que les grandes personnes ne devrait pas hurler autant, c'est mauvais.

Ahmet : vous êtes docteur maintenant ? hein ?

Maria : non, mais assez sage pour le savoir et le dire.

Ahmet : de quoi tu te mêle?

Maria : vous dérangez le voisinage ainsi que les passagers comme moi.

Ahmet : hum ..

***Téléchargez NovelToon pour profiter d'une meilleure expérience de lecture !***