Aujourd'hui je suis allé en cours le cœur lourd, alors quand je l'ai vu j'ai les larmes qui me sont montées tout naturellement. Il était en pleine discussion avec l'une de ses amies, mais aussitôt qu'il ma vu il a affiché se sourire qui me rend habituellement tellement heureux. Mais lorsqu'il s'est approché et qu'il a vu mes larmes, il m'a aussitôt tiré vers lui, et m'a enlacé. Je l'ai agrippé de toutes mes forces et je lui pleurais dessus.
- Hé ; hé Acasse qu'est-ce qu'il y a ?
En même temps qu'il me disait cette phrase, il avait mis sa main sur ma tête, comme un grand frère ; pour une fois, c'était agréablement de ne pas être le plus grand.
- Acac, alors raconte s'il te plaît, je n'aime pas te voir triste.
Il l'a dit avec un regard tellement compatissant, tellement attristé... Il avait presque l'aire plus triste que moi. Alors j'ai commencé à lui parler avec des mots tremblotants... :
- Se matin mon père et ma mère se sont encore disputaient, très violemment ; mon frère n'était vraiment pas d'humeur à être charrié, mais ça je ne le s'avais pas encore, donc il m'a giflé, puis il m'a insulté ; ensuite j'ai eu l'audace de croisé le regard de ma mère tandis qu'elle venait de ce disputait et qu'elle n'avait pas encore bu son café, je me suis fait gifler une deuxième fois ; et pour finir mon père était pressé ce matin ainsi nous devions partir tôt... Mais moi je n'étais pas prêt à partir, alors il m'a giflé et il m'a dit de monter dans la voiture immédiatement...
Conclusion de l'histoire, je me suis pris trois gifles ce matin, je n'ai pas toutes mes affaires, et j'ai pleuré alors maintenant je suis exténué. J'aime ma famille seulement il m'arrive de devoir la supporter tellement fort que j'ai envie de juste partir de chez moi ; de ne pas revenir, de fermer les yeux et de me dire que c'est du passé. Mais après je me rappelle que c'est ma famille.
- Oui je comprends Acasse, ça ne doit pas être amusent dû tout. Si tu veux, on sèche les deux premières heures, en plus le prof a dit que tu avais déjà vingt dans sa matière, alors ?
- D'accord, de toute façon, je n'aurais jamais tenu en classe sans m'effondrer.
En temps normal je ne sèche pas, seulement là, c'était particulier, je n'ai pas mangé de tout le week-end, j'ai apens bu, ce matin je m'en suis prise des vertes et des pas mûres, de plus je suis vraiment exténué, je n'ai pas beaucoup dormi du week-end, mes parents ont crié toutes les nuits que constitue un week-end. Attention pas que je suis mal menée chez moi, seulement je n'aime pas sortir de ma chambre lorsque mes parents se disputent, ainsi je ne mange pas souvent, je bois l'eau qu'il y a dans ma gourde. (J'ai une gourde car il m'arrive de boir la nuit.) En soi, c'est moi qui m'inflige tout ça.
Une fois que nous étions arrivés aux dortoirs, où nous nous étions tous deux inscrits la veille, nous sommes allés dans notre chambre ; nous avions eu la même chambre, j'étais super heureux. Nous nous sommes posés sur l'un des lits du bas. Nous étions côtes à côtes, il a pris ma tête et il l'a posé sur son épaule, il m'a dit :
- Aller dort maintenant.
J'ai commencé par fermé les yeux, puis je me suis réveillé à midi avec Jeremiah coucher sur le lit en train de dormir, et vraisemblablement je m'étais assoupi coucher sur lui. Je me suis levé en essayant d'être discret ; mais j'ai dû faire un geste trop brusque sans m'en rendre compte puisqu'il m'a agrippé le poignet, et qu'il m'a demandé l'heure.
Il me l'a demandé avec cette voie du matin, celle qu'on utilise lorsque nous sommes réveillés, mais en même temps trop endormie. Je lui ai donc répondue qu'il était midi. Il m'a répondue :
- Tu sais... Acasse je crois, que... J'ai un cr...
(pour avoir la fin de la phrase revenez jeudi prochain :0)
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