Mes relations sexuelle
CHAPÎTRE 1: JE SUIS UNE **** COMME MA MÈRE
{ Histoire vraie racontée par une abonnée en ib. Je l'ai modifiée, j'ai ajouté des scènes juste pour vous. }
Je m'appelle Linda, j'ai 30 ans et je suis cadre dans une grande entreprise. Après avoir été mariée à un homme qui ne me comblait pas sexuellement, je vis désormais avec une Dominatrice, lesbienne « Maîtresse S ». C'est l'amant de ma mère qui m'a initié à la soumission. Pendant des années, j'ai eu une double vie. Pour mes collègues ou voisins j'étais une jeune riche habillée un peu sexy et rien de plus, mais j'avais un amant plus âgé que moi, bien monté et dominateur qui m'épanouissait sexuellement et me faisait découvrir à chaque fois des situations inconnues et excitantes.
Revenons quelques années en arrière. À cette époque, j'ai 21 ans, je suis étudiante en école de commerce dans une grande ville de province. Avec mes 1m74, brune, coupe au carré, de jolies formes sans être exagérées et un joli cul comme disent mes copines, pas mal de garçons me tournent autour, mais pour l'instant aucun ne m'a apporté ce que j'attends d'un homme. Je vis la semaine dans un petit studio que m'ont loué mes parents, près de l'école. Parlons en de mes parents. Cadres tous les 2, à la maison c'est ma mère qui dirige, toujours très élégante et un peu sexy, elle fait l'admiration de mon père, qui est un homme assez effacé et consacre tout son temps à son travail.
Nous sommes vendredi midi et exceptionnellement, je n'ai pas cours cet après midi. Je décide de rentrer pour le week-end dans la maison familiale. En arrivant, je suis un peu surprise. Ma mère devrait être au travail mais sa voiture est garée devant le garage et une autre voiture inconnue est garée à côté. Ce doit être une de ses amies qui est venue déjeuner.
Je rentre sans faire de bruit pour ne pas les déranger. Aucun bruit au rez-de-chaussée, ni dans la cuisine, ni dans le salon. Je pose mon sac et je monte à l'étage. Arrivée sur le palier, j'entends une voix d'homme qui n'est pas celle de mon père et des gémissements. Sans faire de bruit je m'approche de la porte entre ouverte de la chambre de mes parents, sans me faire voir. Je reste stupéfaite. Ma mère, nue avec seulement ses bas, son porte jarretelles noir en dentelle et ses hauts talons est à 4 pattes sur le lit conjugal et un homme nu, placé derrière elle la besogne sans ménagement. A chaque va et vient son ventre claque sur les fesses de ma mère. Je découvre que son **** est totalement épilé, montrant en détail sa fente ouverte et congestionnée.
- Alors ma ******, t'aime ça la queue! Ca te fait gémir de te faire baiser par un vrai mâle. C'est pas ton mari qui pourrait te baiser comme ça et te faire jouir. Regarde moi ça, tu es trempée, ça coule le long de tes cuisses. Une bonne ******.
Et l'homme lui claque les fesses sans ménagement non plus. Il s'arrête, se retire, l'attrape par sa natte pour lui présenter sa queue à sucer. Une queue comme je n'ai jamais vu. Ce très bel homme que je suppose Bamileke à cause de son accent a un **** d'au moins 25 centimètres et d'une largeur incroyable.
Je devrais m'en aller, mais je n'y arrive pas. Moi aussi, ma culotte est trempée et je ne peux pas m'empêcher de passer ma main sous ma jupe pour me caresser. J'écarte mon string pour plonger mes doigts dans ma fente et agacer mon ******** qui est déjà sorti. A mon tour j'étouffe un gémissement.
- Suce bien, qu'elle soit bien dure, je vais t'éclater ton petit cul. Il est encore trop serré pour une belle ******. C'est vrai que c'est pas la queue ridicule de ton mari qui aurait pu t'élargir si il avait eu le droit de te prendre par ce côté là.
Effectivement, il présente son gourdin devant le cratère sombre qui s'ouvre petit à petit pour l'engloutir. Ma mère devient folle, c'est elle qui recule pour se faire ******* plus rapidement, tout en criant de plaisir. J'étouffe mes propres gémissements, et de peur d'être découverte, je m'enfuis à reculons sans faire de bruit, J'attrape mon sac et je sors.
J'ai du mal à croire ce que je viens de voir. Je me doutais bien que ma mère toujours aussi sexy avait des aventures, mais pas au point de la voir soumise à un mâle monté comme un âne et si dominateur.
Je reviens une heure plus tard après m'être assurée que la voiture inconnue n'est plus là.
- Coucou, c'est moi. Oui je n'avais pas cours cet après midi et j'ai préféré rentrer plus tôt.
Je ne dis rien de plus. Ma mère est redevenue la dame bon chic bon genre et le week-end se déroule normalement.
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4 épisodes mis à jour
Comments
BENI
Franchement intéressant 😪❤️
2024-04-10
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