chapitre 4- tu est parfaite et c'est tout

Aoi

Je vais faire quoi moi ? Ma mère est juste devant si je sors elle verra forcément Yuna. Qu'est qui est en train de se passer avec là ?

- qu'est ce qu'on fait ?

Elle me lança ces mots sans une seule once d'inquiétude.

- on se rejoint à l'entrée pour payer ?

Ce fut la seule idée qui me traversa l'esprit, mais une main dépassa du rideau, c'était ma mère qui l'ouvrait.

Je pris inconsciemment Yuna par la taille et la poussa de moi pour inversé nos place, elle se retrouve plaqué contre le mur à son tour.

Je referme le rideau qui était à peine ouvert.

- je suis en train de me changer, n'ouvre pas

- d'accord, dans ce cas là, on s'attend à l'accueil

- Ok

Je me tourne vers Yuna, qui est toujours collé contre le mur, au fond de la cabine d'essayage et lâcha un soupir de soulagement. Elle s'approcha de moi et me tire par la taille vers elle pour me plaque contre le mur. Elle plongea ses yeux dans les miens. Je pourrais m'y perdre, je suis captivé par elle, tout m'impressionne et m'intrigues chez elle.

Yuna

Je ne sais pas ce que j'aurais fait si sa mère aurait ouvert.

Je la tire vers moi pour la plaquer contre le mur.

- lâche-moi je dois me changer pour allée payer mes robes

Son ton est différent de tout à l'heure, il n'est plus joueur. Ses yeux, qui brulée d'envie et de désir, ont arrêté de me dévoré du regard.

- N'achètes pas cette robe.

Ces mots sortie de ma bouche, il était directe avec une froideur inexplicable. Son regard est surprit par ma parole et ça se voit.

La voir dans cette robe me fait de l'effet, même trop. Alors je n'imagine pas, elle et tous ces hommes, leurs regards posés sur ce corps, ces hanches, sa petite taille, non ce n'est pas imaginables, c'est impossible.

- Ah... elle me vat pas....mon corp.....il ne vat pas... c'est ça....

- Non. Au contraire elle te va bien, même trop. Ton corps est bien comme il est.

Elle ne dit rien.

- Je veux pas que tu mette ça pour la soirée chez Mathéo, tu n'as pas le choix.

Des pensées de mec posant leurs mains sales sur son corps pur me donnât des frissons dans tout le corps.

Son regard devient froid et distant, elle me prend pas les épaules, et non par la taille, et me pousse d'elle.

- sors de la cabine, il faut que je me change.

J'ai l'impression de ne plus être en fasse de la même personne, elle est différente de tout à l'heure. Son regard montre qu'on ne peut s'approcher d'elle, est devenu inaccessible. Ça ne sert plus rien cherche. Je m'écarte d'elle est la contourne pour sortir comme elle l'a si bien dit.

- ton corps est parfait, tu est parfaite et c'est tout.

Je partie sur ces mots directe est ossé qui l'a choqua.

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