Chapitre 18

Dans la nuit le général décide d'interroger Judy :

- Bonne nuit! Soldat\, on dirait que tu as été mordu\, pas une fois\, deux fois\, mais comment se fait-il que tu ne sois pas encore complètement transformé ? Comment pouvez-vous encore être conscient ?

« Ça ne sert à rien, je ne dirai rien.

— Soldat, si vous avez d'une manière ou d'une autre découvert quelqu'un, ou quelque chose qui peut servir de vaccin, vous aurez besoin de plus, parce qu'apparemment ce n'était pas assez, donc si vous me dites, peut-être que nous pouvons aider à prévenir la mutation, parce qu'un jour vous va se transformer, ce sera plus lent et plus douloureux, car le virus est juste retardé dans votre corps.

« Je ne sais pas de quoi tu parles.

— Soldat du temps, si tu te tournes vers nous, et que tu nous donnes tes complices, et le futur remède que nous pouvons sauver l'humanité, tu ne veux pas de ça.

« Je sais que tu mens.

- Pourquoi mentirais-je? Plus que quiconque\, je veux trouver le remède.

— Ça ne sert à rien, il vaut mieux me tuer, car je ne dirai rien, et si je change, dès que j'en aurai l'occasion, je te tuerai personnellement.

— Soldat des heures, tu me menaces ? Tu penses vraiment que tu es en mesure de me menacer ? Je peux le savoir, par d'autres moyens, c'est simple, j'examinerai tout votre escadron, je sais que le curé est parmi eux, et ceux qui ne rentrent pas, j'exterminerai un par un.

— J'ai déjà dit que je ne savais rien, dès que j'ai été mordu, je me suis menotté.

— Alors tu essaies de me convaincre que tu as découvert le remède contre le virus, seul, sans l'aide de personne ?

- C'est vrai\, je ne sais même pas si j'ai vraiment trouvé le remède.

Le général fait signe à un soldat, qui part et revient avec un homme, misérablement vêtu :

— Tu vois cet homme, on l'a trouvé dans son laboratoire, il a été mordu et on soupçonne que c'était un zombie, il ne se souvient de rien des 3 dernières années, maintenant tu vas ouvrir ton bec ?

« Merde, ça a marché ?! dit Judy avec enthousiasme.

- Oh! Alors tu sais vraiment quelque chose\, tu vas tout dire\, ou je dois te sceller pour toujours. dit le général en pointant une arme sur la tempe de Judy.

"Je te l'ai dit, je ne sais rien."

— Tu t'es livré soldat, quand tu es surpris, ne me mens pas, ne me force pas à exterminer tout ton escadron, donne-moi, tes complices et le curé.

— Général, si vous voulez vraiment le remède, vous ne pouvez pas me tuer, car vous pensiez que si, au lieu de me transformer, vous parveniez à me guérir, je pourrais développer le vaccin, par mon sang, et celui de cet homme.

— Soldat, tu m'as dit ce que je voulais, donc c'est vraiment possible de développer le vaccin par le sang d'une personne ex-infectée, on n'a plus besoin de toi, c'est trop risqué de te garder en vie.

Il tire sur Judy dans la tête :

« Nettoyez ce gâchis de soldat.

Il prend l'homme en haillons, qui était confus et effrayé, par le bras et le tend à un autre soldat, en donnant l'ordre suivant :

« Amenez cet homme à l'élite, et dites-lui cet homme, s'il a le remède possible dans le sang, ils sauront quoi faire.

- Oui Monsieur. dit le soldat en ramassant et en emmenant l'homme avec lui.

Le général se dit :

— Il n'est pas possible que le capitaine Levi ne sache rien, je vais l'interroger.

Il se rend dans la cellule de Levi avec deux gardes et le trouve allongé sur le lit de la cellule :

- Bonne nuit! Capitaine\, êtes-vous à l'aise ?

"Je n'ai jamais été aussi à l'aise", répond Levi sarcastiquement.

"D'accord, mais maintenant nous allons parler." - dit le général, qui n'attendait pas une autre réponse, de Levi, il le connaissait pour ses actes héroïques avant la pandémie de zombies, il voulait le démoraliser, car les soldats du gratte-ciel étaient trop fidèles à ce capitaine, et il avait peur d'un jour essayer de le renverser par une mutinerie contre lui.

Le général fait signe aux gardes, qui ouvrent la cellule de Levi et l'emmènent dans la salle de torture, d'être interrogé, ils lui attachent les jambes et les bras pour qu'il ne puisse pas réagir, puis le bourreau déchire son uniforme et jette un seau d'eau :

« Tu m'as amené ici pour me donner un bain ? Super, j'en avais vraiment besoin. _ dit Levi d'un ton moqueur.

— Capitaine heures, je sais à quel point vous pouvez être résistant, mais nous verrons combien de temps durera votre résistance.

« Général, est-ce vraiment nécessaire ? demande l'un des soldats qui l'accompagnent.

— Le temps s'est tu — dit le général en donnant un coup de poing au soldat dans l'estomac, il tombe à genoux de douleur.

« Général, si vous continuez ainsi, vous allez retourner vos hommes contre vous. dit Levi en souriant.

"Nous verrons combien de temps tu garderas ce sourire." - il fait signe au bourreau qui donne un bâton, sur le dos de Levi.

Levi gémit de douleur, mais parvient à dire :

« Vous m'avez amené ici pour un bain et un massage.

— Des heures, je suis content que ça te plaise. - le général fait un autre signe et le bourreau donne un autre coup dans le dos de Levi.

Qui gémit à nouveau, mais ne retire pas le regard froid :

— Voyons combien de temps tu peux tenir Levi, car même le soldat le plus courageux a sa limite, ainsi que ta petite amie Judy, alors va me dire qui sont tes complices.

"Je ne sais pas de quoi vous parlez, monsieur."

Le bourreau donne, un autre coup dans le dos :

— Capitaine Levi, je sais que vous êtes dur, je vous jure que voir cela ne me fait aucun plaisir… — dit le Général, se délectant de la douleur qu'il causait à Levi.

— Je sais que vous vous amusez Général, mais je ne sais rien… Ça ne sert à rien.

Le général devient alors nerveux et frappe Levi, le laissant avec un œil au beurre noir et une coupure au sourcil à cause de la bague que le général portait à la main, puis bien sûr le général voit qu'il s'est aussi blessé à la main, parce qu'il était Il n'avait pas l'habitude de s'emporter et de frapper quelqu'un au visage comme ça, mais il voulait se débarrasser de cette expression sur le visage de Levi.

— Et donc Levi, tu vas continuer à résister, dis-moi où est le remède contre ce virus ?

"Y a-t-il un remède général?" dit Levi, l'air surpris.

Le général fait un signe, Levi reçoit un autre choc dans le dos :

« Bien sûr que oui, et tu me caches.

— Général, vous êtes fou, je ne sais rien — dit froidement Levi.

Le bourreau donne un autre choc, et Levi résiste :

« J'ai toute la nuit, mais je pense que la Bêta doit profiter de son petit ami, j'espère qu'elle pourra le supporter. dit le général en taquinant Levi.

Lévi réagit :

— Le temps, toi… Je vais te tuer quand je sortirai d'ici.

Le bourreau choque à nouveau Levi :

"Capitaine Levi, si je dis ce que je veux, vous pouvez y aller avec votre... Attendez ?" Vous vous intéressez, même à ce survivant... Je le vois dans vos yeux. - dit le général tenant le visage de Levi et souriant sarcastiquement, quand il voit les yeux de Levi enragés, le général fait signe au soldat. — Radio Captain Beta, et lui demander d'amener la fille avec qui il est, on fera parler Captain Levi, qui sait si au lieu de lui faire du mal, je fais du mal à son petit ami.

« Attendez, je vais vous dire ce que vous voulez, mais ne lui faites pas de mal. dit soudainement Levi, ayant l'air d'avoir abandonné.

"Génial, nous avons trouvé votre talon d'Achille, alors ouvrez la bouche."

« Moi, je suis le remède.

- Quoi?!

« Oui, je suis le remède.

« Ne sois pas idiot, tu ne peux pas être le remède.

"Êtes-vous sûr que vous n'avez pas remarqué mon bras, quand vous avez déchiré ma chemise, j'ai une morsure de zombie dessus, et cela fait quelques jours, voyez-vous des signes de changement?"

Le général remarque le bras de Levi, et il avait vraiment une cicatrice de morsure, le général est abasourdi.

— Génial, mais je ne veux pas de toi, j'ai besoin de savoir où est la source du remède, car je sais que c'est le voyageur temporel.

- Voyageur du temps? Je ne sais pas de quoi tu parles\, tu es fou.

- Ne sait pas? Vous avez trouvé quelque chose d'intéressant dans la zone J\, vous pensiez qu'il se cacherait longtemps ? Les enfants ne restent pas tranquilles\, j'ai envoyé des soldats pour vérifier les zones sans zombies\, quand j'ai vu qu'un de mes soldats était parti\, et nous avons trouvé un garçon et vous ne pouvez pas imaginer ce qu'une mère fait pour éviter la mort de son enfants\, la femme me dit dit que son mari lui a donné quelque chose\, que Robert avait donné à son mari\, je veux savoir où c'est.

— Général, vous devenez fou, le voyage dans le temps n'existe pas.

« Où est la fille parce que la bêta ne m'a pas encore amené.

"Monsieur, je pensais...

« Tu n'es pas payé pour réfléchir, va lui demander de m'amener la fille. dit le général tout écumant.

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