Chapitre 9

-Victoria ?

-Victoria !!

-Tu m'entends, ça va ?! Est ce que tu m'entends ?

-Hum quoi ? Où suis-je, je- maman? Maman c'est toi ?

-Oui. Oui tu es à la maison tu as réussi raconte qu'a tu fais ?

-Ah euh ...

-Oh désolé je ne voulais pas te prendre de cours, je vais t'aider à te relever. Tu m'as fait peur quand tu es arrivée tu as fait un fracas dans toute la maison! Tu vas bien, as-tu mal quelque part ?

-Merci maman, attend quel jour on est ?

-Tu es partie depuis deux jours.

-Deux...? Deux jours ?!

-Oui le temps que tu passes là-bas et le même qu'ici.

-D'accord alors qu'a tu dis aux garçons pour excuser mon manque de présence ?

-Je leurs est dit que tu as fait une chute à cheval durant ta promenade et que en allant te retrouver je t'ai trouver à terre une cheville foulée et inconsciente alors je l'ai emmener chez le docteur Franklin dans la ville voisine pour te faire soigner puis je suis rentrée à la maison je ne leurs est pas dit quand tu rentrerais en revanche Henry à insister pour aller te voir mais je l'en ai dissuadé. Cela n'a pas était facile il faudra que tu boites un certain temps.

-Daccord j'aviserais. Alors, nous sommes le 31 août. Je suis parti le 29 août en moins d'une semaine j'ai voyagée 2 fois. Une fois 12 heures le 6 mai 1912 puis 2 jours. Il me semble que nous étions le 3 mars 1913 jusqu'au 4 mars.

-C'est exact il va falloir réguler et espacer tes voyages afin que cela n'éveille pas trop de questions auprès de ton père et Henry car ils sont déjà secoués par tes deux disparitions soudaines. Maintenant rentrons, il est bientôt 19h.

Après être rentré je fis mine de boiter et d'avoir l'air épuisée. (je l'étais en faite vraiment ce qui fût facile) Je répondis à quelques questions posées par mon mari puis partit me coucher seule bien évidemment.

Un mois durant je fis mine de boiter légèrement de me plaindre de douleur inexistante ce qui donna une impression de réel auprès de ma famille. Ma mère me félicita pour mon jeu d'acteur. Nous préparions minutieusement la date et l'excuse du prochain voyage pour que cela paraisse le plus naturel possible. Ma mère écrivit une fausse lettre au nom de sa sœur et la mise à la poste pour qu'on la reçoive comme une vraie. La lettre nous invite ma mère et moi à venir dans le sud-est de la France chez ma tante Marie et son époux Jean. En Rhône Alpes. Bien évidement ma mère accepta sa propre invitation qui était fausse nous logerons dans la maison dans la forêt près du lac comme à notre habitude ma mère envoya cette fois ci deux lettre une à sa sœur pour lu dire de mentir si un jour on venait à lui poser des questions. Elle aussi était au courant pour le don car étant l'ainé elle s'était préparée à l'avoir mais une autre voyageuse et née, c'était ma mère et c'est à elle que le destin à choisi de le transmettre. La deuxième quant à elle était destinée aux hommes de la maison elle était écrite soi-disant par Marie et expliquait que tout aller bien que le séjour se passer à merveille et que nous nous plaisions en France. Tout ça n'était qu'une couverture. Une fois les lettres poster nous partîmes avec nos valises en taxi directions l'aéroport. Au quart du chemin, nous fimes signe au chauffeur de faire demi-tour pour rejoindre la forêt. Il fit demi-tour sans poser de questions. Une fois arrivée nous le payons grassement et nous rejoignons l'emblématique rocher pour faire apparaitre la maison ou nous allions loger deux semaine environs. Les 3 premiers jours nous fimes quelque recherche et discussions des voyages de ma mère, nous prîmes du temps pour nous reposer avant mon prochain voyage. Je ne sais jamais combien de temps je vais y passer et désormais que le test et passer mes dates sont directement inscrites dans l'espace-temps je n'ai plus qu'à toucher la pierre avec la conviction de translater.

~Jour 4 du séjour~

5 octobre 1750

Je viens de me réveiller sous le plus beau des paysages d'automne toutes les feuilles rouquines qui tournois sans cesse dans la légère brise amener des montagnes, qui caresse ce tapis de couleur morte et ce lac paisible qui dort.

Aujourd'hui c'est le jour J. Le 3eme voyage montre le bout de son nez alors je me prépare pour translater.a mère m'embrassa et je partie après de bref au revoir.

J'atterris chez Marylin dans la chambre ou je dormais en 1913 je fus surprise de constater qu'elle est poussiéreuse et encombrer par des débris de toutes sortes. Le toit laisser apparaître quelques rayons du jour et le sol paraissez vouloir s'écrouler sous mes pieds. Mais que s'est-il passé ici ? L'état de la maison était le même que dans ma chambre tout semblait dépérir. Je réalisa alors le pire, Marylin nous avez quittez cela n'en faisais plus aucun doute. Je sortis à l'extérieure.

J'aperçue au loin une femme demandant au passant quelque chose elle pleurait et supplier les personnes. Elle vu que je la regarder, elle se figa puis me fit signe de la rejoindre. Je partis dans sa direction peut être pourrais-je l'aider. Elle avait les yeux rouges cernés par la fatigue, elle était également très maigre, ses cheveux noirs étaient emmêlés et sa robe tacher de boue. Une fois arriver a sa hauteur elle entama la conversation.

-Je m'appelle Anne... Murmura t'elle d'une voix tremblante et casser.

-Enchantée Anne moi je me nomme Victoria.

Un silence se fit, après quelque minute je le rompis.

-J'ai vu que vous aviez l'air d'avoir besoin d'aide alors je suis venue puis-je vous aidez en quoi que ce soit ?

-Avez-vous des renseignements sur les bateaux partis ravitailler l'entente ?

(Mais de quoi parle t'elle ?)

-Non, ie suis navré je ne sais rien. Répondit-je

-Que faisiez-vous dehors, seule. Les rues ne sont plus sûres. Me dit-elle en regardant autour d'elle.

-Ils vont peut-être arriver...

(je pense qu'elle a vraiment besoin d'aide)

-Eh bien, je recherchais mon mari. Soupirai-je faussement

-Oh navrée pour vous je ne sais point s'il reste de l'espoir. Me dit-elle affectueusement

-Ce n'est rien dites-moi cette bataille a commencé quand ?

-J'étais au sud il y a peu pour voir de la famille car ma mère avait de gros problèmes de santé j'y suis restée environ deux ans. Maintenant que j'ai accompagné ma mère dans son repos je suis revenue. En partant j'ai laissé mon mari ici. C'est donc pour cela que je suis revenue, pour le chercher.

-Vous en avez là un parcours bien mouvementé. Mais malheureusement ce n'est pas une simple bataille ma chère, c'est la guerre. Il s'avère que cela a commencé en 1914 après que le neveu de de l'empereur de Serbie a été assassiné. Cela à déclencher une guerre entre l'Autriche et la Serbie mais les Russes étant associé à la Serbie sont venue les aider pareillement pour les Autrichiens et les Allemands petit à petit la guerre c'est rependu partout. L'Amérique était neutre au départ seulement elle a envoyé des munitions. habits. nourritures ... Aux pays de l'entente qui sont la France, l'Italie, l'Empire britannique, l'Empire russe. Alors les allemands on essayer d'intercepter les navires marchands ce qui a créé des tensions alors l'Amérique c'est allié à l'entente et notre état à déclaré la guerre.

-La guerre mon dieu, quel jours sommes-nous ?

-Nous sommes le vendredi 7 janvier 1916.

(Ils s'en ai passé des choses)

-Qui est président maintenant ?

-Woodrow Wilson a été réélu.

-Bien c'est déjà ça.

-Dites-moi, connaissez-vous le congrès union pour womans suffrage ?

-Oui mais désormais il ne s'appelle plus comme cela désormais c'est le National Woman's party.

-Parfait alors j'irais là-bas dès que possible.

-Les rues ne sont plus sûre nous ne savons pas quand les allemands arriveront s'ils arrivent un jour.

-Qu'importe guerre ou non je me bats pour le droit des femmes et cela n'a pas de prix !

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