Chapitre 8

Ahh n-non....arrête..

Récapitulatif: comment je m'étais retrouvé dans cette situation faisons un retour à quelques heures plus tôt.....

~𝐐𝐮𝐞𝐥𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐡𝐞𝐮𝐫𝐞𝐬 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐭𝐨̂𝐭~

En l'entendant murmuré de sa voix grave et sexy , et sentir ainsi . Son souffle, chaud sur ma clavicule, m'envoyait des décharges électriques directement dans mon bas ventre et , faisait pulser mon érection. En me rendant encore plus humide .

Cet homme, a un tel contrôle sur mes émotions et mon corps que ça en devient déroutant. Il a le pouvoir de me brisé et me réparer, ce que je me refuse d'admettre, mais lui, il fait tout son possible pour me le faire savoir, et me l'ancrer dans la mémoire.

Il me fait ouvertement, savoir que je lui appartient dès le moment où j'ai accepté cet accord de devenir homme de ménage. Qui paraît sur tout les coups simple, mais qui cachait quelque chose, de bien plus noir et lugubre ...

*𝑬𝒕 𝒋𝒆 𝒏𝒆 𝒑𝒆𝒖𝒙 𝒚 𝒆́𝒄𝒉𝒂𝒑𝒑𝒆𝒓*

Je n'avais plus aucun contrôle sur ma personne. Tout était contrôlé et dirigé par lui, même les choses les plus transparents.

Alors, me voilà maintenant debout, haletant, tremblant de désir et me faisant complètement bouffé le cou.

Je lâche un petit couinement de douleur lorsqu'il me mordit la peau sensible du cou. (sale cannibale), je me retrouvais bien vite plaqué sur mon lit, il me regarda un moment puis descendit mon short quand vit celui-ci complètement trempé il me sourit d'un sourire carnassier à faire pâlir un mort.

Mais trop tard ou pas assez rapide pour le voir venir, mais c'était bien vrai et déjà fait. Je venais de me faire pénétrer sans préparation… la douleur était tellement forte que ma voix s'échoue dans ma gorge, j'avais l'impression d'être déchiré en deux, je fermai les yeux en quête d'oublier la douleur fulgurante dans la partie inférieure de mon corps.

Mais lui continuait de me pilonner sauvagement sans retenu et telle la bête qu'il est, à un moment donner il me retourna pour me prendre en position levrette.

Je pus apercevoir, un liquide rouge tâcher les draps, je savais que je saignais c'était une évidence. La douleur était à vif dans tous mes membres, mais je ne m'évanouissais pas. Comme pour me rappeler en ce moment et à partir d'aujourd'hui je devais accepter tout, à tout prix.

Mais au prix de quoi ?.

Mais je pouvais m'empêcher de hurler j'avais appris à ne jamais abandonné, mais parfois abandonné est peut être la meilleure solution, vous trouvez pas ?

_- ahh n-non je t'enprie ar -arrête

_- J'aime te voir pleuré sous moi. Quand je te baise comme ça, te voir supplié et gémir, hm, il grogne de plaisir, ton cul est si serré.

Oui la meilleure chose était d'abandonner car à chaque fois que je le suppliait ses coups de rein devenait encore plus brutal. Le pire c'est que je savais que sa jouissance n'était pas pour maintenant, qu'il allait continuer à me prendre bestialement, jusqu'à ce qu'il se vide dans son fidèle vide couille.

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