prisonnière de mon destin

Cela faisait une semaine que je me trouvais dans cette maison. Je n'étudiais plus, j'en étais interdit. Je vivais, prisonnière de ce charmant homme. La cage avait été enlever.

Un jour, je me décidai à briser le silence dans laquelle on vivait :

-tu as une petite amie ?

-Non

-une famille alors ?

-Non

-des animaux de compagnie ?

-j'ai l'air d'en avoir ?

Je l'agaçai, je le voyais bien. Ne pas réussir à briser cette distance connaissance me tuer, non, ce n'était pas une relation connaissance, c'était une relation scientifique cobaye, j'étais dans chacun des cas que je voyais, la fille qui meurt.

Je devais à tout pris m'échapper de cette relation sans queue ni tête, ou du moins la faire évoluer.

C'était le soir, l'heure d'aller se coucher. J'avais pris mes habitudes et je me mis au lit. Je m'endormis et me laissa tomber dans les bras du seigneur des rêves.

Nous étions dans un labyrinthe, lui et moi nous courrions pour échapper à quelques choses, d'un coup, nous fîmes attraper, la créature le broya. Je hurlais.

D'un coup,, on me secoua pour me réveiller, j'entendais cette voix que j'aimais tant , celle de ma mère, me dire de me réveiller. Je me réveillai d'un coup, Carlisle était assis, sur le lit avec un verre d'eau à la main.

-Ça, ça va ?

-Oui, j'ai fait un cauchemar

-Tu veux dormir avec moi ?

Je répondis oui, il me prit dans ces bras et me coucha dans son lit puis il se coucha à son tour. Toute la nuit, je restai collé à lui. Vers 1 heure du matin, il se mit sur le côté et m'enlaça. La chaleur de sa peau était si agréable...

Je me levai avant lui. Je m'habille et pris les clés de sa maison avec la liste de courses précise qu'il avait fait et l'argent. Depuis quelque temps, il l'a donné à ces amis pour pouvoir me surveiller.

Je fis les courses en suivant la liste, mais avant de rentrer(car oui je pouvais m'échapper, mais je ne le fairais pas), je demandai à Amandine de me ramener mon opaline. Elle ne mit que 5 secondes à le faire puis je rentrai reposa les clés à leur place et mis les courses sur la table.

Il était midi. Je fis à manger, rangea les courses et mis la table. Puis je réveillai Carlisle. Il se réveilla et vérifia ce qu'il portait. Je lui demandai gentillement de s'habiller et de venir à table pour manger. Il arriva dans sa tenue de travaille. Je lui expliquai ce que j'avais fait ce matin et il m'écoutait.

Je sentais qu'hier soir, on avait dépassé un statut de notre relation, il me dit qu'il m'emmènera et que si les patiens me demande qui je suis, il fallait que je mens et que ce soit crédible...

Je savais déjà exactement ce que je dirais, j'avais eu raison de demander à Amandine de m'apporter mon opaline qui se trouvait sur une bague...

je sentait très fort qu'il me maudirait à la fin de la journée.

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