Épisode 4

Dans la cuisine de la villa des Williams, les domestiques et la gouvernante, ainsi que le chef, organisaient tout pour le dîner, car l'alpha Gael ne serait pas là, seulement son fils et sa belle-fille.

Mais personne n'aimait la femme, et comme si elle avait été appelée par leurs pensées, la femme est apparue à la porte de la cuisine.

"Domestiques, changement de plans, vous ferez les plats que je dis pour ce dîner," dit la femme, mais alors qu'elle commençait à parler, le chef l'arrêta.

"Un moment, Mme Williams," dit la jeune fille. "Nous avons des ordres stricts de faire ce qu'Alpha Gael nous demande."

La femme s'approcha du chef, mais elle ne recula pas. "Mais M. Gael n'est pas là, donc vous devez obéir à mes ordres."

"Notre patron est M. Gael, juste parce que vous avez épousé le jeune Lujan ne veut pas dire que vous pouvez nous donner des ordres. Vous n'êtes pas la maîtresse de maison pour essayer de donner des ordres ici," dit la femme en la regardant défiant.

"Insolente ! Comment osez-vous me parler ainsi ?" dit-elle en colère, levant sa main droite pour frapper son visage, mais elle fut stoppée par la gouvernante, qui la regardait autoritairement.

"Si vous étiez intelligente, vous ne toucheriez pas un des employés importants d'Alpha Gael. Vous êtes une nouvelle venue et la femme de Lujan, mais souvenez-vous, si mon patron voit quelque chose qu'il n'aime pas chez vous, il vous jettera d'ici rapidement. De plus, le nouveau maître de maison va bientôt arriver, alors gardez vos commentaires et votre désir de commander pour vous-même, car ce n'est pas votre maison," dit la gouvernante. Avec cela, elle lâcha la main de la femme, et tous les employés retournèrent à leurs tâches respectives.

L'oméga en colère quitta la cuisine et trouva son mari, qui lui prit la taille et la rapprocha de lui. "Mon amour, pourquoi tant de colère ?"

L'oméga sourit et caressa sa joue. "Rien d'important, j'ai juste parlé à mes parents," dit la femme.

Mais en réalité, ces parents n'existaient pas ; elle ne savait même pas qui l'avait mise au monde.

"Est-ce qu'ils te dérangent encore en disant que tu n'aurais pas dû m'épouser pour l'intérêt de leur entreprise ?" L'oméga hocha la tête les yeux larmoyants. "Je n'arrive pas à croire qu'ils veuillent te faire autant de mal ! Nous nous aimons ! Pourquoi ne comprennent-ils pas ?" Il la serra dans ses bras, et elle se mit à sangloter. "Ne t'en fais pas, mon amour, tout ira bien. Pourquoi ne me les présentes-tu pas ? Peut-être que je pourrais les convaincre."

À cela, l'oméga le prit par les joues et le regarda désespérément. "Non, mon amour, ils peuvent te faire du mal. Je ne veux rien de mal t'arrive. Ils ne peuvent pas accepter qu'après que mon mari m'ait quittée pour une autre, je me marie pour les embarrasser encore plus," dit la femme, et l'alpha la serra contre lui.

"Ne t'en fais pas, mon amour, je ne te quitterai jamais. Tu es la plus belle chose qui me soit jamais arrivée," dit l'alpha, frottant son dos alors que la femme souriait contre son torse.

Elle avait réussi à devenir propriétaire de cette vieille maison de l'idiot et avait tout pris à lui. Qu'est-ce qui l'empêchait de se débarrasser de Lujan et de Gael et de posséder tout ?

Facile, tous les deux étaient en vie.

"Tous les deux tomberont devant moi, et je prendrai tout," se dit la femme.

Mais ce qu'elle ne savait pas, c'est qu'à environ 100 mètres de là, un oméga laissait un homme plus âgé embrasser son corps tandis qu'il se tortillait de plaisir sous lui, ne le quittant pas des yeux.

"Il est déjà tombé pour moi ; maintenant, il me suffit d'entrer dans sa maison et de faire tomber Tania devant tout le monde," dit-elle dans ses pensées avec un sourire mauvais. "Elle tombera, mais toi, Gael Williams, tu tomberas complètement devant moi, et je t'aurai totalement, pour ensuite te contrôler à ma guise. Si cette s**pe a pu le faire, pourquoi pas moi ?"

"Qu'est-ce qui te fait sourire autant, bébé ?" dit l'alpha, en embrassant ses lèvres tout en saisissant ses fesses.

"Tu le fais si bien, tu m'enchantes, je veux que tu me b**ses à nouveau, que tu me pousses jusqu'à ce que demain je sois aphone à force de crier. Ah !" l'oméga gémit confortablement tandis qu'il ressentait une forte claque.

"Tu es une si belle et effrontée petite chose," dit l'alpha, en lui mordant la lèvre inférieure.

"Mais, Alpha, tu me fais penser le contraire. Tu ne veux pas baiser à nouveau? Je veux une autre manche," dit l'omega, tirant ses lèvres vers sa bouche pour les lécher.

D'un instant à l'autre, l'alpha abaissa une de ses mains vers son membre et le guida vers l'entrée de l'omega pour commencer à pousser fort—Ah~!Oh oui~!Oui, exactement comme ça!—gémit l'omega sentant les poussées rugueuses, les claques luisantes données par l'alpha allaient le faire jouir au moment même où ils commencèrent.

Sans aucun doute, cet alpha était doué.

L'alpha se retira de lui et le retourna, le laissant face contre terre et le poussant rudement—Comme ça, omega? Tu veux que je te baise jusqu'à ce que tu ne sentes plus tes jambes? Jusqu'à ce que ta bouche sale ne produise aucun son? Jusqu'à ce que tes fesses soient tout violettes et que ton sexe ne soit plus sensible? C'est ce que tu veux? Être baisé contre les carreaux de la salle de bain?—dit-il à l'omega à l'oreille tout en le baisant rapidement et maintenant sa main sur son cou.

O-oui—dit l'omega d'une voix brisée alors que la grande main de l'alpha serrait fermement son cou.

Alors, on va le faire dans toutes les pièces de cette maison jusqu'à ce que tu ne puisses même pas ouvrir tes paupières demain—dit l'alpha.

Ahhh, cette nuit allait être bien longue.

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Après une longue sieste, M. Hanseok sortit de sa chambre avec son fauteuil roulant et ne vit nulle part son fils—Chéri?—dit-il au silence de leur appartement.

Il se dirigea vers la cuisine, espérant le trouver là-bas, mais ce qu'il trouva fut une note sur la table à manger. Il la prit et soupira en lisant ce qu'elle disait.

"Je suis allé à l'anniversaire de mes tante et oncle, je ne rentrerai pas avant demain, je t'ai laissé de la nourriture dans le micro-ondes, je t'aime papa" disait simplement la note.

Zut! Je sais pertinemment que tu n'es pas allé à l'anniversaire juste pour voir tes tante et oncle! Fils, qu'est-ce que tu prévois?—dit-il à lui-même, se frottant les tempes.

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