Chapitre 4: Cauchemar, elle est partie pour toujours. En avril 2022.

La mère des enfants ayant été mis au courant de la situation, et qu'il ne lui restait que 2h pour maintenir sa conscience éveiller avant qu'elle ne meure d'un dysfonctionnement général de ses organes et que son cœur en souffrance ne lâche prise totalement, elle accueillit sa famille et ses enfants avec son plus beau sourire, prête à profiter de ses derniers instants auprès de ceux qu'elle aimait de tout son cœur.

Les enfants de chaque côté de son lit lui tenant chacune une main, son mari se tenant juste derrière elle a droite, sa mère ELVI et les frères et sœur de VAIREA a gauche. 

Le sourire aux lèvres, VAIREA demanda à voir d'abord ses frères et sœur avec sa mère, les enfants et son mari sortir donc de la chambre et patienta à la porte.

- Et bien ? Mes frères et ma sœur, avez-vous quelque chose à me dire ? Dit gentiment VAIREA.

Queen les larmes aux yeux, ayant du mal à accepter que sa sœur allait la quitter comme ça, se jeta au coin du lit et pleura tous sont souls.

- Ma sœur, je t'aime, pardon de t'avoir fait du mal pendant mes instants de caprice, murmura-t-elle.

Ses frères n'étant pourtant pas démonstratif se mirent tous deux a pleuré, embrassant le front aimer de leur sœur à qui tous deux lui avait mené la vie dure. Ils s'excusèrent ne pas lui avoir montré autant d'amour qu'elle est put leur donner en sans condition.

- Mes très chers frères et sœur ne vous inquiétez pas pour cela, je ne vous en ai jamais voulu, ce sont ces moments dure passé avec vous qui m'en aider à me forger tel que je suis actuellement. Ne vous reprochaient rien, je vous demande simplement de vous aimer malgré les disputes, retrouver vous toujours entre vous, faite à chaque instant la paix, l'ont ne peut jamais savoir quand est ce que la mort va frapper à notre porte. Ne regrettez jamais rien et vivait pleinement vos instants.

20 minutes passèrent ainsi, ces frères et sœur sortir en larme pour laisser un moment leur mère avec leur sœur,

- Maman tu le sais, dit-elle les larmes coulant le long de ses joues, sniff sniff je n'ai plus beaucoup de temps et le reste de mon temps je souhaiterais le passé avec mon mari et mes enfants, mais avant que je parte, je souhaiterais que vous soyez aussi tous présents dans la chambre afin que je fasse mes adieux à vous tous. Vient maman approche-toi, que je puisse profiter un maximum de ta présence.

Sa mère se rapprocha le plus possible de sa fille, ne pouvons pas s'empêcher de pleurer à l'approche de la mort imminente de sa fille. Elle lui prit tendrement le visage et la serra doucement contre son cœur, ne pouvons contenir le trop-plein d'émotion, les larmes de sa mère coulure le long de ses joues, chaque pensée de sa fille, bébé puis petit enfant, adolescente, jeune femme et femme d'effilèrent dans son esprit telle une cascade dans le flot puissant ravagèrent son cœur.

Dans la tête de sa mère : mon Dieu sniff sniff, ma fille, mon bébé, mon rayon de soleil, ma lumière, ma joie, comment est ce possible. Ce n'est pas vrai, je suis juste en train de faire un cauchemar.

- Mère ? Je dois t'avouer une chose, tu ne nous écoutes jamais donc essaie de mieux comprendre tes enfants qui resteront, je suis certaine que ça leur fera le plus grand bien, ton attitude vis-à-vis de nous est normale tu es notre mère, je tenais à ce que tu le saches malgré tout j'ai été heureuse d'avoir passé ma vie à tes côtés maman et malgré toutes les difficultés rencontrés, tu m'as bien élevé avec pépé et mémé, dit VAIREA avec douleurs sachant que son heure était de plus en plus proche de la fin.

- D'accord ma chérie je ferai de mon mieux pour les écouter et les comprendre, dit sa mère le cœur très lourd.

La tête poser contre la poitrine de sa mère la tristesse l'envahie,

- maman je suis désoler de ne pas pouvoir rester plus longtemps, je n'ai pas été très obéissante mais je ne le regrette pas les fessers que tu me donnait en fait de moi une fonceuse, une battante qui na peur de rien. Je t'aime tellement maman, je voudrais que tu lègue 30% de mes parts de terre a mon mari et tous le reste a mes enfants. Fait le s'il te plait maman fait un testament j'en ai écrit un également je voudrais que tu appel notre notaire afin qu'il signe ce testament toi maman et mes frères aussi devaient le signer.

- D'accord ma chérie, dit la mère d'une voix étouffer, je vais te laisser avec ton mari et tes enfants, je vais appeler le notaire de venir. Pour établir ton testament.

Sa mère sortie en trainant des pieds, une fois la porte franchi, elle se tourna vers les chaises et prevint sont gendre qu'ils pouvaient entré.

Opeta ne se fit pas prier et entra avec les 2 petits dans les bras.

Dès qu'ils entrairent les enfants réclamèrent leur mère et descendit des bras de leur père pour se précipiter près du lit de leur maman.

Opeta qui n'était au courant de rien se rapprocha de sa femme se pencha pour l'embrasser, le sourire au lèvre elle le lui accorda. il s'installa sur une chaise qu'il rapprocha près de VAIREA.

Tendrement il prit sa main et la regarda droit dans les yeux.

- Ma chérie, est-ce que tu vas mieux ? Ou tu as mal quelque part ?

Le regard profondément ancré à celui de son époux, la voix charger de lourd chagrin et de douleur, elle lui dit dans un murmure avec difficulté :

- Chéri, pardonne-moi, je ne pourrai pas continuer mon chemin à tes côtés je suis condamné, il ne me restait que 2h à vivre et maintenant il ne m'en reste que 1h10 à vivre. De nouvelle larme coulure sur ces joues, elle essaya de se contenir, mais n'y parvint pas.

Opeta qui cependant ecoutait attentivement sa femme, ne put cacher la souffrance que ces mots lui infligé, le coeur gonflé a l'éttouffer il serra sont épouse contre sont coeur et d'une voix brisé souffa a son oreille:

- Ce n'est pas ta faute bébé, c'est la faute de ce gars qui ai parti en délit de fuite, je le lui ferai payer tous le mal qu'il ta fait.

- Chéri prend soin de nos enfants en mon abscence nous nous reverrons j'en suis certaine.

- Papa maman, avança KAÏ, resterons nous toujours ensemble?

- Papa papa mama mama nia nia neu ieulolo, bouhhh!!! s'exclama FREÏ avec joie.

Avec amour afin que tous soit proche de sa femme il pris ses enfants et les mits sur le lit d'hôpital. Les entourons avec amour ils se collèrent tous a VAIREA.

Une larme fondit sur sa joue droite opprimer par l'idée de devoir les quittées, se retenons de fondre en larmes. VAIREA échangea plusieurs fois des baisser tendre avec sont époux des mots doux et apaisant. Malgré tout les éfforts d'OPETA pour se calmer il n'y arriva pas.

40 minutes s'écoulèrent ainsi

Quelqu'un toqua a la porte. C'était la mère de VAIREA qui entra suivit de ses frères et soeur, une fois le mot entré prononcer.

Elle était accompagner d'une femme et d'un homme, une notaire et un avocat, comme promit étant donner que la mère avait déja donner les directives a ces 2 personnes.

Ils sortirent donc les documents de leur attaché case ainsi que des stylos et ne perdirent pas de temps en explication.

Les documents firent le tour de la pièce, dans chaque main, pour lequel chaque personne en possession des documents était obliger d'apposer leur signature.

10 minute s'écoulèrent puis 5 VAIREA reussit a apposer la dernière signature sur le dernier document 5 minute plus tard tout était terminer.

Il ne restait que 10 minute. Tous le monde prirent des photos, qui seront a jamais graver dans leur coeur 4minute restons chacun entoura la petite famille de VAIREA et OPETA touchons chacun d'une main la peau de leur tendre soeur fille mère de ces enfants et épouse d'OPETA.

L'avocat et la notaire s'éclipsèrent discrètement, les laissons seuls.

VAIREA sentit tous ces organes s'arrêter et poussa son dernier souffle dans les bras de ses enfants de sont mari, de sa mère frère et soeur.

C'est ainsi que VAIREA quitta ce monde dans les bras de sa famille tendrement aimer.

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