F*ck chp.13

Les gardes sont au seuil de la porte, ils me prennent par les épaules. Je me débats farouchement mais c'est inutile contre eux.

Ils me font quitter le sol prêt à m'éloigner de mon oncle.

- Attendez.

Mon ongle s'approche près de moi. Il me fixe dans les yeux. Un verre d'alcool à la main.

- Tu as raison. J'ai fais cette épreuve pour te le rappeler, mais tu as aussi tort dans le sens où j'avais. J'ai fait cette épreuve pour te prouver que tu n'es rien et que je peux te détruire à tout moment tu es si sensible avec ton passé avec ton père.

- Je t'interdis de parler de lui ! Tu es aussi pourri que lui ! Je veux les documents dans son bureau, je sais que vous faisiez à faire sur les deux tu te venger je sais pas pourquoi mais je le découvrirai je sais que c'est toi qui est derrière tout ça qui est Ariana grande regarde la tête de mes parents tu as brisé mon avenir non je l'aimais pas mon père au final j'avais encore fraternel pour lui.

Je me débats avec une rage que je ne me connais pas, et mon oncle non plus apparemment. Je le vis surpris mais de quoi au final ? Que j'ai découvert les papiers ou que j'ose lui tenir tête.

- je te réduirai toi, la GameHouse en cendre !

Je sens une vive douleur sur ma joue. Mon oncle m'avait frappé, mais mon regards ne baissa pas.

Mon oncle me fait dos.

- Nous verrons qui va mourir en premier. Désormais, tu n'es plus de la famille, ta mort m'importe peu. Qu'on le ramène dans sa chambre.

- Bien monsieur.

Dit l'un des gardes avant de m'emmener dans ma chambre.

Il me dépose dans celle-ci avant de m'enfermer à double tour. Je n'ose plus répliquer. Mes forces m'abandonne soudainement, toute ma rage ressort en larme. Mon corps couché contre le sol froid de cette chambre qui me semble être devenu une prison.

Mes pleures s'arrête peu après la tombée de la nuit. Je vais alors faire une douche afin de me changer un peu les idées, mais en voulant sortir de la salle de bain je senti une présence. Je regarde alors autour de moi si quelque chose peut me servir d'armes.

J'ouvre la porte alors rapidement la porte près à attaquer.

- Une brosse à dent sérieusement Henry ?

Je vois alors Éric allonger sur le lit un sandwich à la main un air amusé sur le visage.

Je pose la brosse à dent sur la table de nuit. Puis m'assoie sur le lit en prenant le deuxième sandwich qui était à ses côtés.

- eh, qui t'a dis que c'était pour toi ? Dit-il amusé.

- Tu vous quelqu'un d'autre ici ? De plus j'ai faim.

Les yeux regardant le plafond, je me demande comment cela ce fait que l'atmosphère soit aussi détendu malgré ce qui est arrivé la dernière fois.

- J'ai entendu ton petit paragraphe de rebelle tout à l'heure dans le bureau de ton oncle. Tu m'amuse de plus en plus tu sais.

- Je l'a pas fais pour toi, mais content de t'avoir diverti. Mais pourquoi tu es là ?

- J'en sais trop rien non plus, je le suis juste dis que tu aurais potentiellement faim.

- Dit, tu veux coucher avec moi ?

Éric manque de s'étouffer en mangeant son sandwich.

- Je te savais direct mais pas à ce point.

Je tourne mon regards vers lui. Nos regards se croissent.

- Répond.

- Si tu as besoin d'affection cette nuit pas de soucis, tant que tu me poignarde pas avec ta brosse à dent.

Je m'approche de lui, me met à sa hauteur, m'approche de ses lèvres, pose délicatement mes lèvres sur les siennes.

Il passe sa main derrière ma nuque me poussant un peu plus vers lui. Je me met alors a califourchon sur lui, descendant mes lèvres à son cou, mes mains sous son t-shirt.

Son torce est chaud, mais je peux sentir des petites bosses. Sans doute des blessures...

Je sens sa respiration augmenter légèrement.

Je decends un peu plus, vers son bouton de pantalon. Je m'apprête à le défaire quand je reprend mon sandwich, prends un croc dedans avant de descendre de lui ainsi que du lit.

Puis je me penche vers son oreille.

- Le fruit est assez mûre maintenant non ?

Un sourire triomphant apparaît sur mon visage.

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