une désillusion chocolatée

Harry venais de remonter dans sa chambre, sa partie de quidditch avec Ron c’était bien passée, bien que le fait que Ginny l’ai fixé presque tous le jeu l'ai grandement énervé.

Une bonne douche plus tard Harry pris sa baguette et lança un appel. N'oubliant pas de lancé un sors d’insonorisation. Il n'avait même pas besoin de regarder le numéro qu’il composait, le connaissant par cœur depuis le temps qu'il le composait chaque soir.

- Allô ?

- C'est moi mon cœur.

- Oh mon amour si tu savais a quel point tu me manque. Je me langui de toi.

- Si tu savais comme moi aussi, ton corps me manque, ton cœur me manque, tout chez toi me manque.

- Mmmmh je veux te voir mon amour. Y a tellement longtemps que l’on ne sait pas vu, senti, touché ou embrassé.

- Nos peau à peau sensuelle, nos main baladeuse, nos langue se rencontrant dans un délicieux balais.

- Mes lèvres dérivant dans ton cou y laissant un magnifique suçon. Ma main descendant toujours plus bas sur ton si merveilleux corps musclé.

- Si tu savais comme j’ai envie de toi en se moment même.

- Ça peut s’arranger, tu ne m’a pas dis qu'il y avait une cheminée dans ta chambre ?

- Hummm si va y je t’attends.

Le jeune homme brun se sentait un peu a l’étroit dans son jeans mais il avait tellement hâte que son amoureux arrive alors il refusait de se soulager seul. Il repensais à comment tout cela avait démarré, comment leur histoire avait démarré. Comment les disputes et les bagarres c’était peu à peu transformé en quelque chose de plus intime, les bagarres était moins violente mais plus calme presque tendre, les disputes moins virulente les insultes devenant presque des civilités. Et puis il y avait eu ce pacte avec les Serpentard, une sorte de pacte de nos agression, ils avaient donc décidé de devenir ami et de fils en aiguille l'amitié est devenue un peu plus charnelle.

Il fut interrompu dans ses pensées par le bruit d’une cheminée et une tornade brune lui foncé dessus et fondre sur ses lèvres. Un baiser féroce et passionné auquel il répondit avec ferveur. Les deux hommes ne se séparèrent qu'une fois à bout de souffle.

- Ça fait tellement de bien de sentir tes lèvres sur les miennes.

- Je t’aime comme un fou t’imagines pas.

Le baiser repris mais plus doux, plus tendre mais tout aussi amoureux que le premier. Les mains se mirent également en action, fourrageant les cheveux pour l'un, se glissant sous la chemise pour l'autre. Harry se laissa tomber sur son lit emportant son homme avec lui, le serrant de toute ses forces contre son corps. T-shirt et chemise finirent vite au sol.

- Tu me fais tellement envie Harry. Ça fait si longtemps qu’on ne sait pas vu.

- Ne perdons pas plus de temps alors

Harry avait dis cette phrase avec tellement de sensualité dans la voix qu'il n'y résista pas et lui arracha son jeans plus qu'il ne lui enleva. Harry en fît de même. Ils se retrouvèrent en sous-vêtements plus vite qu'il ne le faut pour le dire, sous vêtements qui eux aussi se retrouvèrent très vite au sol avec le reste.

Leurs deux corps nu se rencontraient, se frottaient, se collaient. Leurs mains caressaient le corps de l’autre les promenant dans les cheveux, sur les épaules, le dos, le torse, passant sur les abdos bien dessiné, descendant sur les hanches, avant de venir prendre le sexe de l'autre en main. Un doux mouvement de vas et viens s'entama. L'excitation qui était déjà très haute monta encore d’un cran. Tout en se caressant ils s'embrassaient fougueusement. Toute la frustration qu’ils ressentaient, la frustration de pas c’être vu depuis si longtemps, de ne pas avoir pu s'embrasser et se toucher. Les mouvements d’abord calme ne le restèrent pas longtemps, les caresses s'intensifièrent, se firent plus brusque et c’est finalement dans la main de l'autre qu'ils jouirent accompagné d'un long gémissement de plaisir.

Les deux garçons n’étaient encore jamais été plus loin que la masturbation mutuelle, mais là ils sentaient que c’était le bon moment un moment qui seraient leurs premières fois à tous les deux, et le merveilleux c’est qu'ils allaient découvrir ça ensemble, avec tous l’amour qu’ils éprouvent l'un pour l’autre.

Plus amoureusement que jamais les deux garçons reprirent leurs échanges de baiser et de caresses. Un peu timidement Harry viens titiller l’entrée de son futur amant, électrisé par toute ces sensations, son petit ami se cambra en laissant échapper un long gémissement extatique. Harry prépara avec soin son amour y allant doucement ne voulant pas lui faire mal, un doigt à la fois écartant les chaires essayant de procurer le plus de plaisir possible a son chéri.

Chéri qui après 3 doigts et quelques coups dans la prostate n'en pouvait plus il voulait plus, se languissant de la présence d’Harry en lui.

- Harry… prend moi… je…ahhh.. je ne veux faire plus qu'un avec toi.

La voix était hachée entrecoupée de gémissements rauque. Cambré essayant d'avoir plus en s’empalant lui-même sur les doigts du brun. Cette vision était diablement sexy et excitante pour le jeune homme, qui sans attendre retira ses doigts, provoquant une plainte à son compagnon. D’un mouvement de bassin efficace Harry inversa les positions se positionnant devant l'entrée de son amant. Il entra doucement ne voulant pas lui faire mal mais son visage se tordait sous la douleur.

- Désolée mon amour j’arrête si tu as trop mal.

- Ne t'arrête pas ça va aller laisse moi juste le temps de m’habituer mon cœur.

Harry lui laissa tout le temps qu'il lui fallait et ne commença ses vas et viens que lorsque son compagnon donna un premier coup de bassin.

Les allées et venues d'abord timide, commençaient à d’intensifier, leurs peau se rencontraient dans un claquement excitant a leur oreilles. Soudain un cri de fit entendre, Harry venais de trouver sa prostate et tapait dedans a chaque fois. Voyant son amant au bord de la jouissance, le petit brun empoigna son sexe et le masturba au même rythme que ses hanches. N'en pouvant plus les deux jouir ensemble criant le prénom de l’autre.

Le héro du monde sorcier s’écroula sur son petit ami qui referma ses bras autour de lui. Chacun reprenaient leurs respiration profitant de se moment de bien être post- coïtale. Harry se retira et viens se blottir contre l'homme de sa vie.

- Je t’aime mon ange.

- Moi aussi je t’aime mon cœur.

Ils étaient presque entrain de s’endormir quand le bruit d'une porte les sortis de leur torpeur.

- Harry t'a raté le dîner, du coup je t’ai ramener une mousse au chocolat blanc.

Et en disant cela Ginny qui n'avait pas encore regarder dans la se renversa la mousse sur elle.

- Oh ! Que je suis maladroite et si tu m'aidait a me nettoyer ?

Elle regarda enfin dans la pièce et ouvrir des yeux aussi grand que des soucoupes laissant tomber le bol qu'elle tenait encore en main.

- Désolée Ginny mais je préfère le chocolat noir.

Et sans un regard ou un mot de plus, Harry se remit a câliner son amoureux. Ginny sorti de la pièce effaré.

- Je crois que tu l’a choqué mon cœur.

- Je m’en moque je n'ai dis que la vérité, je préfère le chocolat noir. Un chocolat craquant comme toi, tu es mon morceau de chocolat. Je t’aime Blaise.

- Je t’aime aussi Harry.

Et c’est sur ces déclarations que les deux jeunes hommes s'endormir paisiblement dans les bras l'un de l’autre.

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