le pédophile et sa proie

Un jour pendant les cours de français, alors que le professeur se poumonait à essayer de faire comprendre les cours, ceux-ci trouvaient plutôt lieu de rigoler en lançant des blagues très sarcastiques .on peut dire qu'ils avaient complétement brûler l'espoir que l'on pouvait encore avoir d'eux non seulement à cause de leurs notes déplorables mais aussi leurs complètements déviants. L'enseignant des lettres outré, pris ses affaires et sorti en jureant de ne jamais plus mettre les pieds dans cette ferme d'ânes. Après quelques instants de calme, trecy, pâle depuis un bon moment se mit à pleurer, des larmes chaudes et salées à n'en point douter c'était des vraies. C'est alors que Colette inquiète lui demandait ce qui se passe. La capricieuse répondit rien comme d'habitude. Avec insistance, elle parvint à la faire parler.

- je t'ai toujours connu sous le mode de joie donc si je vois sur ton visage des larmes ce que  sérieusement quelque chose ne va pas . Je me suis toujours confiée à toi j'attends de toi aujourd'hui la même chose.

- c'est.. c'est ... C'est très compliqué je ne peux pas t'expliquer.

- j'ai connu des situations bien pire que tu ne traversera sûrement jamais et tu me dis que je ne peux pas comprendre !

- bon! Tu vois quand je me rendais souvent dans le bureau de Mr Brink et qu'après je te disais que je l'aidait à ranger les documents.

- oui !oui ! Vas y accouche

- en fait (dans un océan de larmes) il abusait de moi.

-  Quoi ? Abomination ! Mais c'est très grave tes parents sont au courant ?

- Non ils ne le savent pas encore je sais pas comment faire s'il te plaît aide moi.

- commence d'abord par mettre au courant tes parents.

       Vinciane qui depuis le temps n'ouvrit pas la bouche trouvait maintenant à dire.

- depuis combien de temps est ce qu'il fait ça ?

- Novembre. Répondit trecy dont la voix tremblait.

- Et c'est seulement maintenant que tu trouves à nous dire à mon  avis il n'a jamais abusé de toi tu voulais tout ce qui se passait

- Non ! Non! Je n'aurai jamais voulu quelque chose comme ça.

- Vinciane ton avis ne nous importe pas et toi trecy rentre de ce pas le dire à ton père,les parents sont les meilleurs confidents.

         Elle était rentré et avait entretenu avec son père une longue conversation,son père décontenancé ne trouvais rien à dire à se sujet. Très tôt le matin,il eut demandé à trecy de se rendre à l'école et qu'il arriverait plus tard. A son arrivée, elle fut directement appelé par ce pédophile monstrueux. Une fois arrivé dans son bureau,il claqua la porte et voulu continuer son travail de tous les jours, mais étrangement celle ci résistait jusqu'à ce qu'il lui colle une belle gifle sur la joue pour ensuite glisser ses doigts sur son chemisier pour la déshabiller,qu'il envoya ses mains épaisses dans sa jupe pour la caresser et après silence de cimétière puis on entendit une douce voix excitante. Elle sortit de là en transpirant et en pleurant,lui en se ventilant. Et c'est à ce moment précis que le père de trecy ensemble avec deux agents de police, suivi du principal, les attrappèrent en fin d'action. Le principal dépassé de ce qui c'était laissé dire gifla de force ce violeur. Tout le collège sortit ce jour là , la nouvelle c'était déjà rependu.

- vous êtes renvoyer espèce de violeur ! Cria le celui ci avec les larmes aux yeux.

       Tout le collège sautait de joie bénissant ainsi la cuisson du règne de cet affreux, dansant,sautant,hurlant de joie.

Le père de trecy donna alors l'ordre aux policiers de menotter ce dernier pour ensuite l'emprisonner pour qu'il réponde de ses actes. Mais quelque chose, malgré l'arrestation du monstre, rongeait l'ensemble des professeurs de ce collège qui bien qu'étant contre les pratiques observés par ce dernier remettait en question le prétexte mis en exergue par cette jeune fille comme quoi si depuis longtemps elle le laisse faire sans résister et trahir c'est uniquement parceque son père lors de la signature du contrat avait donné l'ordre de faire d'elle ce que l'on veut. Ceux-ci ne croyaient pas un seul mot de ce racontage car pour eux  logiquement même un élève en classe de cinquième peut faire la différence. Il soulève donc dans cette idéologie qu'elle était consentante dès le début c'est à dire en novembre jusqu'à janvier et après satisfaction c'est lassé et a voulu se libérer, seulement l'homme animal devant une proie bien ferme ne s'accomplit pas. Après quelques interrogations au commissariat de police cet affaire ira donc au tribunal où sera jugé le méchant conformément à la justice en vigueur dans cette nation qu'on nomme Cameroun. Mais alors va t-il plaider coupable lors de ce procès ? où dénoncera t-il autres choses ?

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