Ma jolie poupée

À mon réveil, j'ai découvert dans le grenier, une si jolie poupée qui fait environ ma taille.

Elle a des cheveux brun et lisse, une peau d'un blanc pure que l'on pourrait la croire malade , elle me regardait de ses yeux noir ébène, puis, me demanda de joué avec elle. Choqué, je ne parlais pas, elle me dévisageait, quand elle a fini part ouvrir la bouche pour dire "je vais te trouver un nom" j'eus des frissons qui me parcouru ma peau.

Bizarrement, je n'arrive pas à parler, ma langue est comme figé puis j'essaye de bouger mes bras, mais impossible, aucune partie de mon corps ne daigne bouger.

Mon battement de cœur, je ne le sens pas.

Qu'est-ce donc cette poupée maléfique, pensais-je d'abords, puis, quelle me donne un nom, peut être que je pourrais de nouveau bougé, puisque c'est ce qu'elle veut.

Puis, la poupée luit donna un nom et celui-ci est "Roseline".

Le plus bizarre dans cette histoire, est que j'ai beau cherché mon nom, le seul qui me vient en tête est Roseline, j ai l'impression de m'être toujours appelée comme ça.

Mon corps ne se débloque toujours pas, dois-je jouer avec elle malgré cette peur, mais aussi cette curiosité mystérieuse que j'ai.

Comparer au mien, les bras de cette poupée bougeaient et les jambes aussi d'ailleurs, alors pourquoi moi non, puis, elle me prend comme une personne légère, je n'étais portant pas légère, comment fait-elle pour me porter.

Elle descend les escaliers un par un, puis tourne à droite, dans la pièce se trouve un lit, elle me dépose dessus et commence a fouillé dans un placard, elle me dit qu'elle cherche pour moi des habits.

Enfaîte, c'est comme cela qu'une amitié se forma entre moi la muée et handicapé et elle la poupée maléfique.

On pourrait me prendre pour une idiote, mais j'ai très bien compris que j'étais la poupée, mais je préfère pensé autrement, car j'ai peur de moi-même.

La fillette m'a adoptée, comme sa sœur, elle me parle et semble me comprendre, et des fois même, elle me répond. Ses parents pensent qu'elle est folle, elle doit tellement se faire rejeter, je la plains.

Si je pouvais tirer les cheveux des parents pour leur faire compr.... bref, je pense qu'il serait mieux de lui faire des câlins.

Ma sœur m'a emmenée, dans la cuisine pour que je dîne avec elle et les parents ont commencé à s'énerver, car j'étais de trop, ils ont fait pleurer ma sœur j'ai vu un couteau, j'ai eu envie de le prendre et de le rendre immaculé de san... oh je divague, j'étais énervé contre les parents pour avoir fait pleurer, donc je leur ai coupé les cheveux.

L'autre jour, ses parents, on ramenait un prêtre pour m'exterminer et je l'ai tué... bien sûr le prêtre pas les parents enfin j'aurais .....non ma sœur pourrais être triste.

Tant qu'elle ne me demande pas je n'y toucherais pas, mais les chiens meurs toujours de toute façon.

Le saviez-vous, elle me la demander, ma sœur m'a demandé, elle m'a demandé de les tuer, ses parents, ma joie, je la respire. Je prends le couteau et je l'ai decou....pe, tellement de satisfaction ma sœur est enfin libre et je suis ravie pour elle, je la suivrais partout où elle va et la protègerais.

À MA Façon!!!

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