Chapitre 2: Rencontre inattendue

PDV: Athéna

Après le départ de Livaï, je rentre chez moi.

Lorsque je passe la porte la réalité me frappe en pleine face, le silence se silence qui est resté coller à moi depuis ma plus jeune enfance. Les souvenirs remontent et je ne peux m'empêcher de verser quelques larmes.

Flashback :

Ce jour là je venais de fêter mes 5 ans j'étais très jeune à l'époque mes je me souviens très comme si c'était passé hier.

Je venais de me réveiller car j'avais entendu des cris qui provenaient du ré-de-chausser, je me levais de mon lit et descendit les escaliers. Lorsque j'entendis un coup de feu, je me stoppais, j'étais comme paralysé. Je ne sais comment mais je réussis à faire avancer mon corps jusqu'en bas, se que je vis me terrifia. Mes parents étaient au sol agonisant devant mes yeux sans que je puisse faire quoique se soit. La seul chose que j'ai pu faire à se moment était de crier pour sortir ma rage.

-PAPAAAAAA, MAMANNNNN!

C'est la seul chose que je me souvienne avant de m'évanouir à cause de l'émotion.

C'est se jour que je compris que la vie n'était pas rose mais que c'était un véritable enfer. Dans se monde les forts dictent les lois et ou les faibles n'ont pas leur place.

Fin du flashback

Après avoir essuyé mes larmes, je pris un bonne douche et m'habille d'un short et d'un débardeur.

Devant le miroir, je regarde mon reflet, je me dégoûte. Comment je peux vivre avec mon passer alors je prends mon amie depuis 2 ans ma lame. Celle qui me permet de me sentir mieux dans se monde, je commence à tracer le premier trais sur mes anciennes cicatrices de mes bras sa me fait mal mais je me sans tellement mieux. Une fois finis je nettoie tous se massacre, désinfecter mes plaies, je déscends manger et va dormir ensuite. Quand je ferme mes yeux le visage de Livaï m'apparaît, je ne peux m'empêcher de sourire et c'est comme ça que je m'endors.

Le lendemain, je me réveille à 6h30. Je me prépare, je mis un t-shirt a longue manche rouge, un jean noir et une queue de cheval tressée

mange c'est à 7h10 que je sors de chez moi et me dirige vers mon lycée qui est à 15 minute de chez moi.

*Éclipse du trajet*

A l'entrée, mes amis m'attendaient je m'avance vers eux et les salua.

-Salut les gars, vous allez bien.

Eren, Armin, Mikassa : Salut Athéna, sava et toi

-Sava! Leur dis-je avec un sourire.

Mikassa : On n'est dans la même classe cette année.

-Génial!

Eren: Ouais, tu pourras m'aider pour les devoirs.

-Si tu veux.

Armin: Nous devrions allez en cour sa va sonner.

Au même moment là sonnerie retentit et nous nous dirigeons vers notre salle de cour. A quelque mettre de la salle de classe, je LE VOIS. Mon regard croisa le sien et je ne pus m'empêcher de rougir. Lorsque je suis prêt de lui je lui dis:

Toi/Livaï : VOUS/TOI!

Je ne rêve pas, il est bien là devant moi je n'eus pas le temps de réfléchir plus que sa, qu'il m'interompit.

Livaï : On parlera plus tard, entre dans la salle Athéna.

Je fais se qu'il me demande et part m'asseoir près de Mikassa.

Mikassa : Sava, pourquoi tu t'es arrêté à l'entrée ?

-Se n'es rien, ne t'inquiète pas. Lui dis-je.

Livaï entra dans la salle est se présente :

Livaï: Taisez-vous les gamins tch. Je me présente je m'appelle Ackermann et je serai votre prof principal et de maths cette année. Maintenant que c'est fait vais faire l'appel, lever la main quand je vous appelle:

Ackermann Mikassa, Alert Armin, Bott Marco, Braun Reiner, Braus Sasha, Ymir, Hoover Bertolt, Jäger Eren, Kirschtein Jean, Leonhart Annie, Mess Athéna.

Il resta plus longtemps à me regardé que les autres. Ces yeux métalliques sont magnifiques mais pourquoi je pense sa, il détourne le regard est poursuit.

Livaï : Reiss Historia, Springer Conny.

Une fois finis, il nous explique ses règles, donne nos emplois du temps.

*Éclipse de 2heure*

Livaï : Au revoir les gamins, on se voit demain matin, n'oubliez pas se que je vous ai dis et Athéna reste instant.

Eren: Tu s'es pourquoi il veut que tu reste.

-Non

Armin: On se voit en français.

- D'accord a toute.

J'attends que tous le monde sort et me dirige vers le bureau de Livaï.

-Oui, Monsieur Ackermann.

Livaï : Ne m'appelle pas comme ça et tutoie moi quand on est que tous les deux d'accord, sa me dérange.

- D'accord Livaï. Lui dis-je avec un sourire.