Chapitre 1

« Le monde est sombre, il faut s’adapter et prendre ce qu’il nous donne. »

Ma main glisse le long de son torse jusqu’à remonter au niveau de ça veines jugulaire, une envie de lui tordre le cou me prend, notre proximité me dérange, son toucher me dégoûte, ces lèvres effleurent les miennes je tressaillit. je serre les poing essayant de me forcer à ne rien faire ce n’était pas le moment, j'y suis presque. Ma mission a presque atteint son but, je ne dois montrer aucun signe de faiblesse. Je ne cesse de me répéter la victoire au peuple, la victoire au peuple, cette phrase résonne dans ma tête comme une enclos, j’aime sa, ça m'aide à être plus forte, son regard va de mes yeux à mes lèvres, je sais à quoi il s’attend, je sais exactement ce qu’il veut, il veut que je fasse le premier pas, lui montrer qu’il a raison de me faire confiance, aucun erreur ne doit être faite, à la moindre négligence tu ouvriras une porte à ton ennemi, sans qu’il y n’ait demandé d’accès, lui donner une chance de t'écrabouiller comme une vulgaire vermines sans pitié, je me lance, ma main atterri dans ces cheveux, puis mes lèvres sur les siennes venant faire disparaître la petite espace qu'il y avait entre nous, tandis que la victoire sonne encore dans ma tête.

La lumière du jour vient s’abattre sur mon visage, les bras de Ivanka me maintenaient prisonnière, je le repousse puis sort rapidement du lit. la grande cours était vide, lui qui était hier d'une ambiance assez festive se retrouvait sans vie, je vagabonde dans le palais orné d'or de toute part, je respirais l'air frais du matin, je devais à tout pris me familiariser avec le lieu, je longeait le couloir avant d’atteindre le portail, une servante Soft me fit une révérence, pendant quelque seconde j’avais oublier mon rôle ici, j’hallucine encore je suis devenu une noble en quelque seconde je me demande dans quel état d’esprit se trouve à présent la véritable princesse, mais est-elle encore vivante, ou est elle torturé, je ne saurai dire des plans de Zach il est toujours cacher, il ne révèle rien, il ne laisse rien se voir dans son visage. je dois trouver l’espion c’est la deuxième étape du plan, le déménagement soudain du prince Ivanka me mettait dans l’embarras, selon zach l’espion se trouve au palais royal, mais le prince a trouver la merveilleuse idée d’emménager dans l'une de ces résidences, je devais trouver une excuse pour me rendre au palais au plus vite que possible, zach n'aime les retard surtout quand il s’agit d’une mission compromettante, je m’éloigne du portail et retourne dans la chambre nuptiale avant le réveil de Ivanka.

Quand je suis rentrée dans la chambre, il était assis au côté de deux servante Ser et Soft leur front était tatoué d'un croix montrant leur appartenance au peuple, la première avait l'air d’ avoir 13 ans, ça doit être une nouvelle, ces mains tremblaient, elle arrivait à peine à tenir l’épingle à cheveux en or dans ces mains, elle était rousse, dans ces yeux vert brillant ce lisait la peur, quand à l’autre elle était beaucoup plus âgé, je l’avais rencontré hier soir près de la petite fontaine dans la grande cours, son regard ne me disait rien qui aille, elle n'y était pas une Soft elle, le piercing au niveau de ça lèvre montrait qu'elle appartient au clan des Seku c’est un tribu qui vivait en communauté, vers le Nord ils ont été réduit en esclavage après qu'ils aient combattu pour le roi qui leur avait promis liberté, ils vivent coupé du monde, leur emplacement exact est inconnu, il y a quelques années de cela le roi avait ordonné leur en emprisonnement à tous, mais ils faudrait connaître leur repère, les seul Seku qui sont capturés par les chasseurs sont ceux qui se sont éloignés du tribu, j’ai entendu une fois qu’ils avaient apporté de main un poison leur permettant d’oublié l’endroit où était placé la tribu, d’autre disent que c’est un poison leur permettant de mourir sans connaître la moindre douleur, comme un endormissement total du corps, je me demande ce qu’elle a ressenti au moment ou elle a été force de quitter sa tribu ca famille, ces amis, son humanité et être transformé en Chien oui par ce que c’est ça la vrai définition de leur situation de notre situation, je me force à sourire puis me rend a la rencontre de Ivanka, il me sourit à son tour, il tapote sa cuisse de m’asseoir déssus, comme le petit chaton que j’étais, je fis ce qu’il me demande, je me blottit contre son torse, une forte odeur de musc émanait dans ces habits, la servante Seku brosse ces cheveux châtain, le soleil faisait ressortir ces reflets blond, ces mains ce joint au miens, je souris, ça me dégoûte, tout ça me dégoûte, j’ai la nausée.

- J’aime ton odeur dit-il, elle est apaisante.

- Merci.

- J’espère que vous avez passé une excellente nuit ? dit-il plein de sous entendu.

Oh dieux, je vais vomir, je fis un signe de tête, faisant semblant d’être gêné, les Serv sont connus pour être pudique, c’est dans leur tradition, le roi à trouver la bonne idée après avoir massacré des vies innocentes, des millier soldats, d’unir les deux pays, quoi de mieux qu'un mariage pour cela, zach avait rit au nez quand il avait entendu cela, ça joie se manifestait au fond de ces yeux, tout se déroulait comme prévu. ces yeux vairons me manque, son indifférence face aux choses autrefois qui avait le don de m’énerver, me manque, je me souviens encore quand il m’avait recueilli chez lui, c’était un soir en hiver, il faisait froid à fondre les Pierres, je me tenais devant le feu que j’avais allumés, en piquant ce matin la même a un vieux monsieur qui c’était arrêté pour manger dans la petit auberge d'à côté, je me souviens aussi que la dame avait l’habitude de m’offrir le reste de ces clients, pour me faire dégager, car elle disait que j’étais sale, et que ça lui faisait fuir les client, ce soir là même près du feu, il homme d'un vingtaine d’années, au cheveux blond, à l'allure d'un dieu, il sentait bon, il était beau ce jour là, il avait sourit ce jour là, il m’avait tendu la main, dont je me suis rapidement saisi, je ne veux plus la lâcher à présent. un soldat fût son apparition dans la pièce pendant que mon esprit divaguait, il me fixa un bref instant, je rougis embarrassé, son regard en disait long sur ces pensées, soudain je me rappelle la scène au moment ou on avait attaqué la calèche de la princesse, je me souviens de son visage, il était là lui aussi, connaissait il la princesse des serv ? ou m'avait il vu entre dans la calèche, si c'était cela je devais à tout pris le tuer, personne ne devrait au courant du plan, il tenait une lettre entre les mains.

- Il vient du palais, votre altesse, il lui tend la lettre puis continua, les recherche se poursuivent sur l’attaque de la calèche de la princesse.

- Il y a du nouveau ? dit- il d'un ton calme.

- Non votre altesse.

- Débrouillez vous pour trouver l’identité du coupable avant le solstice d’été, et redoubler la torture. Toujours un ton calme.

- Oui votre altesse, il sort de la chambre sur ceux pas.

- Apportez moi mon repas dit il au servantes qui se précipita en direction de la sortie.

- Qui était-ce ? dis-je

- C’est mon éclaireur, il se charge de la mission de retrouver les coupables.

- Je pensais que c’était de simple bandit dis-je essayant d'avoir une intonation d'une voix qui se disait ignorante de cette affaire.

- C’est bien plus que ça ma chérie.

Sa main caresse mes cheveux, comme un petit chaton, les servante rentrés dans la chambre avec un plateau remplit nourriture, cela pouvait nourrir une famille entière pendant une semaine, la plupart des gens du peuple ne mangeaient pas à leur faim ou ne mangent pas tout simplement, à l'âge de 7 ans quand je rôdait encore dans les marchés de Rov, quand je faisais encore la Manche dans la rue, quand le seul truc qui me faisait tenir debout était l'odeur du pains, je laissais envahir l’odeur du délicieux pains, juste ça seulement l'odeur, on lui servi un peu de riz puis des légumes farcis, puis le morceau de poulet que la jeune servante Soft avait eu la délicatesse de le couper en petite morceaux, Ivanka l’observe faire avec ennui, son attention était encore focalisée sur la senteur de mes cheveux pendant que la salive coulait dans ma bouche à cause de la fin.

- Mange le ordonne t-il à la servante.

- Oui votre altesse.

Elle se saisit d'une cuillère, puis mange un morceau, puis regarde Ivanka avec un sourire d'un peu reconnaissante, il lui sourit.

- Tu aimes ? demande Ivanka en se penchant légèrement sur elle.

Elle fait un oui timide.

- Alors crève dit-t-il avec le même sourire.

Je fronce légèrement les sourcils avant de me rendre compte que son visage avait complètement changer, du sang ressortais de sa bouche, elle me fixa avec les gros yeux d’incompréhension, puis elle s’écroula par terre, j’émis un petit cris de surprise, un frisson me traverse le long de ma colonne vertébrale, je me sens pas bien je veux vomir.

- Débarrassez-moi ça tout de suite, dit-il.

Son regard monstrueux était encore sur son visage, il l'as tué, il l'a vraiment fait, la Seku fut une révérence avec le regard indifférent.

- C’est a ton tour de faire ta toilette chaton, je te laisse me dit il d'un murmure.

Il l’a vraiment tué, je ne sais pas pourquoi j’avais l’impression que ce plateau était une avertissement de qui je ne sais pas.

trois mois avant l’entrée au palais.

Les rues était blindé de monde, les enfants couraient pieds nu, les marchands étalent leurs produits, un brouhaha résonnait de partout, l’odeur des épices de tout genre y était, c’est le jour du marché, c’est le seul jour où il est permis de circuler en tout impunité dans la ville, je déambulait dans les marchés de Rov au côté de Zach et Jenny une petite blonde d'à peine 16 ans au yeux vert, elle avait un sourire scintillant, des yeux brillants, mais les galères de la vie avait décimée tout son corps laissant des cicatrices, Zach l’avait trouvé chez rose la diseuse de bonne aventure celle-ci disait l'avoir aperçue près de l'entrée de la capitol, elle avait pris en son aise, lui évitant une vie de catin auprès des hommes riche de la capitol c'était connue ils aiment les jeunes filles innocentes, sentir leur regards effrayés leur faisait du bien, les marchands d’Esclaves cherchaient des jeunes filles d'une âge assez moyen, nous arrêtons près de l'allée, un homme s’approche, un homme bossu il marchait à l'aide d'une canne dans sa main, un sourire narquois était planté sur son visage tout de suite ma main s’abat tout doucement sur mon arme, l'homme marche jusqu’à nous il relève un peu la tête puis nous scrute des yeux, son regard s’attarde sur le miens avant de regarder zach avec un petit sourire.

- Elle fera l’affaire dit le bossu à mon intention.

- Ce n’est pas ce qui était prévu par Omus. Réponds zach avec le plus grand des calme.

Je fronce les sourcils il parle de moi la ?

- Ne t’en fait pas leïla, ce n’est pas de toi qu'on parle.

Zach avait le don de lire dans les pensées, il passait le plus clair de son temps à fouiller dans ma tête, il savait très bien que je n’aimais pas ça, je déteste ça, je le foudroie d'un regard menaçant.

- Si c’est bien de toi qu'on parle mais ce petit connard ne veut pas écouter ce que les adultes lui disent, renchérit le bossu.

- Et qu’est ce que vous mijotez tous les deux dis -je

- - rien te concernant.

- - c’est pas ce que j’ai entendu dis moi ce que vous foutez tout les deux putain.

- Ton langage jeune fille une princesse ne parle pas ainsi veux tu, répliqua le bossu

- Une prin…quoi ? zach t'as intérêt à m'expliquer ce qui ce passe ici avant que je t’enfonce cette balle dans la tête, et je ne rigole absolument pas. Tu veux me vendre au bordel c’est ça ?

- Non pas du tout, rentrons au bar Stan je t’expliquerai plus tard.

Salle immense étais remplie d’ivrogne et deux joueur de poker, les cartes et les billets étais posé sur la table, tout le monde misait ce qu'il avait de précieux, des jeunes filles faignant innocentes accoster au bras de quelque clients qui avaient ramené pognon, les filles du Stan savaient quand un client étais assez riche, elles savaient comment le dépouiller mais en lui donnant qu’à même l’envie de revenir c’étais le Stan, cette endroit était une vieille propriété de l’ancienne ville, une jeune femme issu de milieux aristocratiques avait voulu développer un commerce elle rassemblait des jeunes Esclaves Sev leur destinant avenir de catin mais très vite les habitants de Rov lui on rendu une petite visite la nuit d’est son arrivée, c’est vrai que ça faisait plaisir de menace une femme issu de milieux riche, on l’avait attaqué plusieurs fois de suite après sont arrivés. issa à eu la merveilleuse idée de finir le travail le troisième jour de ca venue une bal dans la tête c’est ce que zach lui avais dis de viser la tête bien au centre, des le lendemain de ça mort des bruits avait commencé à courir dans les rues de la ville de Rov, la pauvre jeune est morte en étant devenue complètement folle, les morts vivants lui avaient hanté l’esprit jusqu’à ce qu'elle s’abandonne au suicide, il fallait avoir un cœur dure pour s’occuper des Esclaves quand on s’occupait des Esclaves c’est comme si vous aviez passez un pacte avec le diable en personne vous devez y tenir jusqu’à a la fin, issa étais assis de l’autre coté près de l'entre, il n’aimait pas ce mélange, surtout l’odeur de l’alcool et de nombreux gens qui y étaient, on l’entend très rarement, ça discrétion et son manque d’intérêt face au groupe, m'a étonné la première fois qu'on s’est rencontrés, c’était il y a de cela 5 ans, il jouait encore avec son pistolet le faisant tourner entre ces mains, il avait la carrure d'un homme non issu de Rov, zach avait raconté un jour qu'il venait de la ville son père étais un homme qui était au chevet du roi ca mère quand elle étais une des nombreuses maîtresses de son père, le discours de zach c’était arrêté la, il ne donnait pas d'infos stupide, il étais du genre a te donner ce qu’il te fallait le reste il le garde pour lui, il dis souvent qu'il voulait retourner dans la Capitol, il disait que ça vie faisait partie de ces gens là, les bourgeois, il est né dans ce milieu ca venu ici dans cette pourriture où plutôt bene a ordures ca dépend de comment il se sens mais c'étais une erreur, le verre d’alcool étais posé devant moi, je le bu d'un trait pendant que mon regard suivais celui de issa sortant.

- C’est la fin y est presque dit Zach à côté de moi.

Ces yeux lançaient des éclairs un sourire en coin était braqué sur son visage, c’est bon j’ai compris, c’est à mon tour de jouer, c’est bien pour cela que je suis à ces côtés depuis si longtemps, il avait dit que j’étais là dernière pion qu'il devait absolument place pour gagner ce jeux, je n’avais jamais eu peur de ce qu'il réservait, je sais juste que j’ai des chances de mourir comme j’ai des chances de vivre, les deux me mettait bien égale, cette vie n’a aucune valeur d’être vécu.

- Je refuse dis-je en me levant de la chaise.

Je ne sais pas ce qui m’a pris de dire ça, j’attendais depuis déjà un moment cette nouvelle, est ce que c’est la peur ?

- Hanissa est vivante dit- il alors que je m’apprête à partir.

Soudain je le saisis par le col essayant de le dominer de toute mes forces, son regard était rempli d’amusement et de menace, j’étais la seule personne du groupe à lui tenir tête.

- Mec vois tu là j'hésite entre te flanquer ce poing dans la figure ou t’arracher les couilles.

- Toi-même tu sais que je mens pas Leïla, tu ressens encore sa présence, la lampe est toujours allumée elle ne s'est pas éteint .

- La ferme, je crie un peu plus fort.

Tout s'était arrêté leur regards était braqué sur moi, je soupire, puis me remis à chuchoter.

- Elle est morte d’accord! je ne veux plus entendre parler.

- Sacré femme celle la, je sens qu'on va bien s’entendre tout les deux dit le bossu en faisant un clin d’œil.

- La ferme toi aussi dis-je.

- J’aime les tigresses de ton genre ma belle, c’est bien continue comme ça.

- Qui a invité celui-là ? je demande en lui pointant du doigt.

- Leïla tu sais très bien comment je suis je ne reviens jamais sur une proposition, je ne voulais pas te ramener là-bas, mais je sais que c’est ce que tu veux.

- Ecoute le ma belle.

- La dernière personne qui l’a écouté n’est plus jamais revenue.

- Je te dis qu'elle est encore vivante.

- Et même qu’est-ce qui me garantit que je le serai, hein zach ta putain de confiance ?

- C’est pas grave comme je l’ai déjà dit zach ne revient jamais sur ces propositions, Jenny tu prend ça place comme je l’avais prévu dit -il en regardant le bossu d’un accusateur puis il reprit. demain tu passe chez rohen pour refaire ton visage.

Il sorti furtivement, son regard ne signifiait rien de bon, je sentais le regard de jenny sur moi la peur se lisait dans son visage elle n'est pas du tout prête, je sors rapidement retrouvé zach dehors, sa silhouette se dessinait à peine dans la rue, il avait l’habitude de se faufiler dans la foule, il se sentait plus en sécurité, je le suis discrètement escaladant les toits des maisons en ruines, hanissa était encore vivante ? cette question me trotte dans la tête, chaque matin quand le soleil se lève à peine, la lampe s’allume discrètement, elle faisait disparaître la grosse boule au ventre que j’avais le soir, zach c’était arrêté près d'une maison, un homme l’attendait devant l’entrée, soudain je senti une main se poser sur mon épaule je sursaute avant dégainé le sabre, je recula avant d’apercevoir issa agacée par mon geste.

- Désolé je pensais pas que c’est toi.

- Si tu avais surveillé un peu plus tes arrières cela n’arriverait pas, ça fait déjà trente minutes que je te suis.

- Qu’est-ce que tu veux.

- Laisse moi y aller ta place dit calmement.

- Quoi ?

- Dans la Capitol c’est bien là-bas que zach te dis d’accomplir ta mission non ?

- Si tu avais écouté jusqu’à la fin t’aurais su que finalement ce n’est plus moi qui doit le faire, maintenant excuse moi j’ai d’autre chat a fouetté, donc arrête de me suivre sinon la prochaine fois je te trancherai vraiment la gorge soit en sure.

- Tu as peur n'est ce pas ? dit il en me stoppant.

A vrai dire peut-être, je ne sais pas, je soupire fit l’indifférence.

- Cette fille va se faire tuer à l’instant où elle va mettre les pieds hors de Rov, tu es sûre que tu veux la laisser là place et la chance que tu as toujours attendu non rectification nous avons attendu depuis si longtemps, arrête un peu de faire ta victime, nous tous on a perdu un proche, et toi tu as une chance de la retrouver mais tu préfères te lamenter sur ton propre sort, je te pensais plus intelligente que cela.

- Je te préfère quand tu as fait l’indifférent.

- Laisse tomber je m'en vais.

Je me remis à marcher sautant sur les toits, jusqu’à atterrie devant la maison des veuves, je contourne l’arbre près de l’entré faisant attention à ne pas me faire remarquer, je retire mon pantalon avant d’enfiler ma longue robe que j’avais cacher ce matin, je me rhabille avant de rentrer dans la maison en étant une autre personne.