Allongée à la confusion de mon lit, deux place d'un blanc étincelant, et de mon tapis, aux longs poils immaculés.

Mes deux écouteurs ancraient dans mes oreilles. Une complainte affligeante, résonne au creux de mon ouïe.

Un conte se déroulait devant mes yeux rougis par le chagrin. Un prince, une princesse, une fin heureuse.

Une histoire sans souffrance.

Pourtant la vie est remplie de larmes.

Des perles aussi transperçante qu'une lame.

Je repasse en boucle ma journée, actuelle, cherchant le moindre faux-pas.

Néanmoins, je suis coupé en plein dans mon songe par la sonnerie d'un nouveau message.

Ce courriel contenait quatre petit mot de ma mère. Cette dernière me demandant si j'étais bien rentré. Auquel je ne pris que quelques secondes pour répondre par affirmation.

Je me relève, dégouté en voyant mon reflet dans le miroir.

Moche, fus le premier mot qui me viens à l'esprit. Une brunette, aux yeux verts/marrons, avec un poids insupportable pour son faible corps, se trouver devant moi.

Qui pourrait aimé un corps comme celui-ci ? Personne.

Je suis une lycéenne, une étudiante parmie d'autres mais ma seule différence qui pourrait mettre fatale. Jamais une rose est venu embrasser ma chair.

Avec nonchalance j'ouvre ma porte pour pouvoir me diriger vers la cuisine aux couleurs rétro. Dans celle-ci je récupère seulement une petite bouteille de thé glacé. Suivie par mon chat aux poils crème, je m'étale de tout mon long sur le canapé d'angle, blanc. Je saisis la télécommande, grise, par laquelle j'affiche un film digne des pires romances. Progressivement ma vision s'éteint pour laisser place à mon imagination.

Ma créativité me mena dans un champ jaunâtre. Je me redresse avec attention. La vue était magnifique, diverse couleurs était étalé sur des arbres, des fleurs, des maisons, un lac. Un château aux airs chaleureux, trônait à la sortie des établissements.

Ce n'était pas la première fois que je rêvais de cette endroit mais cette fois je pouvais bouger à ma guise.

Étonné et méfiante j'avance vers l'entré du village.

Des enfants aux habits délavé y joué. Ils se couraient après en rigolant.

Plus je dépasse les maisons, d'avantage le sentiment de bien-être se répandait dans mes veines.

Une fois devant le château je pus admiré ses finitions de toutes beautés. On pouvait y apprécier les grandios jardins aux milles couleurs.

Sur les façades du château y règnent quelques traces de verdures.

Je fus sortie de ma rêverie par une voix grave et puissante.

- Vous vous êtes perdu ?

Je me tourne vers la personne n'ayant parler. Un homme de grande taille, d'âgé d'environ dix-huit ans, aux cheveux blonds bouclés, yeux marrons. Son regard était si profond.

- Madame ?

Je n'avais pas rêvé ce bonhomme venait de m'adresser la parole, ses lèvres avaient bougés. Ce n'est inimaginable dans un rêve. Je n'avais même pas remarqué que je fixais ses charnues rosées. Gêné, je détourne le regard.

- Tu n'est pas obligé de me vouvoyer, je suis sur que tu as approximativement mon âge. Et pour répondre à ta question je visite.

- Je vois. Aurais-tu besoin d'un guide ?

Ces mots était accompagné d'un regard plus que charmeur ajoutant un sourire captivant.

- Je ne pense pas merci.

Après ces quelques mots, je décide de rebrousser chemin. Je ne sais pourquoi mais son regard aguicheur m'avait énervé.

Cependant quand je fus au porte du village ma tête se mit à tourner violemment. Ma vue est devenue trouble.

Je papillonne des cils en espérant retrouver la vision. Une fois mon esprit redevenu lucide et que l'image qui se trouvait devant moi ne s'entremêlé plus, je pus constater que je me trouvais dans mon salon.

Je ferme à nouveau les yeux me remémorant ce qui venait de ce passé.

Je sursaute en entendant la porte s'ouvrit. Ma mère pénétra dans le salon d'un pas inerte, elle déposa avec négligence son sac. Elle était de taille majestueuse, les yeux verts, les cheveux ébène. Son visage est marqué par la fatigue mais également le temps qui passe. Toujours tiré à quatre épingles pour cause elle est avocate. Elle termine constamment tard, des dossiers incessant à traiter.

- Maman comment c'est passé ta journée ?

- Plutôt bien et toi ?

- Elle c'est passé.

- Très bien ma chérie. Je vais me reposé ne tarde pas trop.

-Ne t'inquiète pas.

- Oh, crois moi Amy, je ne m'inquiète pas.

Elle accentue d'un ton amusé mon prénom, comme à son habitude, ma mère avait toujours apprécié la prononciation de mon nom qui ressemble pour sûr à "Ami".

Elle tourne les talons laissant derrière elle une odeur de framboise et de cannelle. J'ai toujours aimé cette senteur, me rappelant à chaque fois l'innocence et la bondé de l'enfant que j'étais au paravant.

Avec douceur, je saisis mon smartphone, que j'avais laissé dans ma poche un peu plus tôt, pour remarquer qu'il est déjà vingt-deux heures. Je me lève afin de retourner dans ma chambre. Une fois dans celle-ci j'attaque mes minces devoirs.

Puis, cette tâche accomplie, je bondis sur mon lit qui réagit à mon saut. Je m'allonge avec inélégance.

Les ténèbres ne mis pas longtemps à me récupérer.