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Mon Ombre Et Moi

prologue dix ans plus tôt

une famille est censé être des personnes avec lesquelles tu te sens bien au chaud ou les enfants se développe en toute sécurité jusqu'à l'âge adulte.

Pas une prison sécurisé qui vous flanque cher de poule.

-Ce n'est pas une prison! Protesta ma mère lorsque mon père aborda la question pendant une dispute.

-Pourquoi ne veux-tu pas laisser notre petit Lucas aller à la plage aujourd'hui ? rétorqua mon père au plus haut point de sa colère

-le problème n'est pas qu'il y ailles mais qu'il y ailles avec toi

-je fais de mon mieux pour m'occuper correctement de lui.

je ne te demande pas la lune mais c'est le mans de me laisser venir à la plage demain avec moi.

CE N'EST PAS SI COMPLIQUÉ QUAND MÊME.

Maman m'avait rien à répondre.

Elle ignorer pourquoi leur relation a commencé à se détériorer en 15 ans de mariage.

Elle ignorer pourquoi l'homme quel avait épouser n'ai pas devenu moins négligeant pendant ces 5 dernières années.

Maman est convaincu qu'il n'arriverait pas à s'occuper de moi.

Le cœur lourd elle fini par accepté en lui faisant promettre de me ramener en un seul morceau.

Le dîner ce parlera sans encombres.

Le matin on se prépare pour aller à la plage tous ensemble.

Avec ma mère pour la rassurer et pour avoir plein de souvenirs on est tous les trois.

une fois la plage ramasse des coquillages de différentes formes et de différentes de couleurs pour les montrer à mes parents.

ensuite vint le moment de la photo.

alors comment père s'apprête à la prendre.

-mais papa il faut que tu sois aussi dessus.

mon père m'a regardé d'un air étonné.

-papa demande à la dame derrière si elle peut nous prendre ensemble.

ce s'entent visé elle rigole gêné.

puis papa les demandes de prendre la photo à sa place.

le soleil tape fort sur ma peau même avec la crème solaire ça me brûle.

à courant d'air viens rafraîchir mais coups de soleil.

en quelques heures j'étais aussi qu'un steak saignant.

maman sort la pellicule de l'appareil photo pour la formater.

ensuite on part acheter une glace.

papa voulait essayer de glace à Larissa.

mais maman me pris une glace française chocolat, vanille.

puis vint l'heure de partir.

sur le chemin du retour au joue à compter les voitures.

mon père pris les voitures rose, ma mère les violettes et moi les rouges.

j'étais a ma 35e voiture quand soudain une voiture noir fit une queue de poisson à mon père.

ce qui le déconsantra quelques secondes, pas assez pour qu'il aille dans le précipice mais assez pour qu'il aille de l'autre côté de la route.

Papa réussit à piller mais se retrouve sur le chemin du citerne à essence

celle-ci Pilar également mais trop tard.

il nous percuta de plein fouet.

La voiture sur tourne.

le pare-brise et les vitres se brise en un milliers de petits bouts, les flammes s'élève tu capot.

la citerne ce renverse et l'essence quel contenait viens s'etaller sur la route jusqu'à la voiture pour finir par se mélanger au flamme.

en quelques instants tout s'enflamme et la citerne explose.

quelques jours plus tard je me suis réveillé à l'hôpital.

le jour de l'accident j'étais le seul survivant .

mes parents et le conducteur de la citerne avez Périent dans les flammes .

le seul souvenirs que j'ai deux et la photo est la maison .

quand je me suis levé à bandage etait posé sur ma tête et Mes yeux.

j'ai dûs rester deux semaines avec les bandages, quand un jour ou finit par me les retirer.

une fois les bandage enlever je ne voyais pas la différence . je ne voyais pas du tout.

La seul chose que j'arrivais à distinguer été mon nombre qui me regardé en me souriant.

quand on me posa la question si j'arrivait avoir quelque chose, je ne savais pas si je devais le dire ou non.

mais finalement je décide de me taire car on m'aurait pris pour un fou.

6 mois plus tard j'ai pu quitter l'hôpital.

ma tante est venu me chercher pour m'emmener habitez avec elle.

elle vivait seul je pensais que ça lui ferait plaisir d'avoir de la compagnie mais une fois sur place à me laisse seul dans l'entrée pour aller s'installer devant la télé.

aveuglé j'ai du me prendre au moins 12 fois les murs.

je ne connaissais rien de cette maison .

j'aurais pu confondre la salle de bain avec la cuisine.

bref j'ai du me débrouiller pour savoir où était passé quoi .

d'autrefois quand je veux trouver vraiment rien mon ombre venez m'aider où m'empêcher de me blesser avec des objets tranchant .

au fil du temps j'ai fini par lui trouver un nom .

je l'ai baptiser "BM" et nous ce n'est pas comme la gâterie "BM" et l'abréviation de " Black mater " qui signifie matière noire. sa lui va plutôt bien.

on était devenu inséparables même si de base on aurait pas pu se séparer.

il me faisait la lecture, jouait avec moi.

mon ombre pouvait se matérialiser en n'importe quoi il pouvez même sortir du sol et faire en sorte que je puisse le toucher.

le temps passe et la rentrée approche.

à l'école j'entre dans la classe pour me présenter.

ce n'est qu'a ce moment que j'ai du me rendre compte de mon apparence.

J'était brûlée au troisième degré sur le côté gauche de ma tête , mais je veux n'avais pas repoussé, on aurait droite était à moitié arracher et pour couronner le tout mais pupilles qui auparavant été d'un noir corbeau été devenu blanc neige.

Mais camarades me traiter de monstre, m'insulter me fuyez.

Où début ça me blesser mais au fur et à mesure je me suis habitué.

De plus mon ombre été avec moi il était ma lumière.

c'est drôle de dire ça comme ça mais c'est la réalité.

comme il avait déjà mangé décidé de lui donner un prénom, le prénom "Lumine".

comme le héros d'un dessin animé que je regardais quand j'étais plus petit.

je travaillais s'arrache pied.

comme ma maternelle n'avais pas le matériel pour aveugle mon ombre à du me faire réciter ma leçon.

bien que je sois aveugle avec j'étais le meilleur de ma classe .

j'arrive en deuxième position après le petit génie de l'école.

les maîtres les maîtresses se demander comment j'arriver a avoir de telles résultats sans pouvoir voir ma leçon.

je finis par passer de la seconde à la première place.

les injures de mes camarades on commencer à augmenter.

il disait des trucs comme : il devrait retourner à l'hôpital psychiatrique, retourne dans ton pays, on ne veut pas d'un monstre comme toi dans notre école, tu devrais juste mourir.

je me prêter plus attention ça passait comme une mauvaise note en musique.

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