Je me réveille difficilement ce matin, je dois aller travailler mais j'ai tellement pas envie.

Vous vous demandez comment c'est possible qu'à 17 ans je travaille déjà, c'est simple je suis comment dire sans me vanter, une putain d'intello, j'ai eu mon bac à 15 ans et demi.

J'ai saute beaucoup de classe et depuis la mort de mes parents l'année dernière je travaille dans un café comme serveuse. C'est pas ouf mais c'est pour avoir des économies pour plus tard et payer mes études supérieures.

Je souffle et pars me doucher dans la salle de bain. Je sors 10 minutes plus tard et me regarde dans le miroir.

Mes cheveux châtains clair sont ma plus grandes préférences sur tout mon corps. Mes yeux sont bleu océan et j'ai un corps normal sans trop de formes mais je suis pas plate non plus.

Je m'habille d'une robe bleu marine et sort de mon petit appartement. Je marche dans la rue et je me sens observer. Sa fait déjà plusieurs jours, que je sens que l'on m'observe mais après ce n'est que des suspicion. J'arrive au café, il est 8h10.

Merde je suis en retard encore une fois !

-Mia, sa fait déjà 3 fois que tu es en retard, je ne peux pas continuer à ce que sa arrive ! Me dit mon patron énervé.

-Je suis désoler, j'ai pas vu l'heure ! Dis je en le suppliant.

-Tu finis ta journée et tes virer, je n'es pas le choix Mia désolé, dit mon patron.

-Quoi !? Non s'il vous plaît vous ne pouvez pas me faire sa ! J'ai toujours fais des heures supplémentaires pour rattraper mes retards, vous avez toujours accepté, je ne comprends pas ! Dis je indigné.

-Je ne peux plus accepter Mia, je suis vraiment désolé, dit le patron. Je soupire. J'ai vraiment de la malchance en ce moment.

\~Ellipse de la journée \~

Je finis de nettoyer la table et prend mes affaires pour partir.

-Je suis désoler Mia, dit le patron un peu tristement.

-Ce n'est pas grave, c'est la vie, dis je d'un ton froid. Je sors rapidement et j'aurais du prendre un manteau car on se les gèle. Je marche rapidement quand je sens qu'on m'observe encore une fois, en plus maintenant il fait nuit et c'est grâce flippant.

Soudain je sens qu'on me tire et je commence à me débattre, j'essaie de crier mais cette personne plaque sa main sur ma bouche. Il me pousse violemment pour me faire monter dans une petite camionnette. Je me retourne vers mon kidnappeur et lui met un coup dans les parties intimes.

Il lâche un cri de douleur, je le laisse et commence à courir dans les sombres ruelles. Je me retrouve plaquer contre le mur. J'essaie de me débattre une nouvelle fois mais cette personne me tient beaucoup plus fort que la première. Il me ramène à la camionnette, l'homme que j'ai frappé était la. L'homme qui me tient me fait monter dans la camionnette et fais de même suivis de celui que j'ai frapper.

Je me dégage de lui et me met à l'opposé des deux. Je respire difficilement. J'ai peur. Peur de ce qu'il pourrait me faire.

-Tu sais que tu m'a manqué de respect en me frappant, dit l'homme. Il est brun, au yeux vert, j'aurais tenté quelques chose si il ne m'avait pas kidnapper.

-Tu n'a pas à m'embarquer dans ta camionnette aussi mais pourtant tu la fais donc ferme la deux minutes, dis je d'un ton froid. Je vois qu'il commence à s'énerver.

-Arrête de me parler sur ce ton salope ! Me dit-il en me giflant. Je serre les poings.

-Ne me reparle plus comme sa connard ! Dis je en lui crachant sur le visage.

Il me prend par le cou et me serre. J'étouffe.

-Va falloir a t'apprendre le respect à toi ! Tu va m'appeler maître par commencer et obéir à tous mes ordres, dit l'homme en errant un peu plus. Je commence réellement à étouffer.

-La..Lâchez moi ! J'étouffe, dis je a bout de souffle. Je commence à fermer mes yeux petit à petit, mais d'un coup je sens qu'il me lâche et je m'écroule sur le sol. Je prends de grandes inspirations.

-Laisse la John, tu ferras ce que tu veut d'elle l'as bas, dit le deuxième homme. Donc mon kidnappeur s'appelle John intéressant à savoir. Je commence à m'endormir mais fut vite réveiller par mon bourreau John.

-On est arrivé, me dit-il d'une voix menaçante. Il me pousse et me fait sortir. J'examine les lieux et voit qu'ont est dans une belle maison blanche. Il me fait rentrer et on monte les escaliers et arrive devant une porte. Il me fait entrer et c'est une chambre. Elle est magnifique en tout cas.

-C'est la où on dormira, dit John froidement.

-Heu..."on" c'est à dire, dis je.

-Nous deux, c'est notre chambre, sa te pose un problème ? Dit John en s'avançant dangereusement.

-Oui sa me pose un problème ! Je veux pas dormir avec toi ! Dis je en reculant.

-Ta pas le choix de toute façon ! Je te rappelle que tu dois me respecter ! Me dit John en s'avançant encore plus près de moi. Je recule jusqu'à heurter le rebord du lit.

-Oui...dis je apeuré.

-Oui quoi ? Dit-il en se collant à moi.

-Oui maître, dis je en baissant les yeux. J'ai honte de moi.

-Je préfère sa, maintenant je vais t'expliquer les règles, dit mon bourreau en s'écartant de moi. Il s'asseoit sur le lit et m'invite à faire de même. Je m'assoie mais à l'opposé de lui ce qui ne lui plaît pas et me ramène près de lui.

-Règle n°1 : tu me dois respect et m'appeler maître.

Règle n°2 : si tu essaie de t'enfuir ou me désobéir, tu recevras une punition.

Règle n°3 :tu m'appartient que ce soit ton esprit que ton corps.

Règle n°4 : tu ne parles à personne à part si je te le demande.

Voilà pour l'instant sa ira on verra au fur et à mesure, dit John souriant.

Il a vraiment un problème celui là ! Il croit que je vais lui obéir et puis quoi encore...

To be continued

Il a vraiment un problème celui là ! Il croit que je vais lui obéir et puis quoi encore...

-Quand tu dis que je t'appartient esprit comme mon corps tu entends quoi dans cette phrase, dis je un peu terrifiée.

-Je peux te faire ce que je veux, ton corps est à moi, je peux te faire sa par exemple, dit John et sans que je comprenne, il m'embrasse. J'essaie de le repousser mais il se met à sur moi et met une de ses mains à ma nuque et la serre doucement. Il passe sa deuxième main sous mon tee-shirt et la remonte jusqu'à ma poitrine. Je me débats mais ses peine perdu car il est beaucoup plus fort que moi. Je sens son érection à ma cuisse et mes larmes commence à couler toute seul. Il enlève ses lèvres des miennes.

-Tu n'a pas à pleurer, ce n'est qu'un baiser, mais je pourrai très vote passer à plus, si tu me met hors de moi, j'ai juste une question à laquelle tu dois répondre, est-tu vierge Mia ?

Je veux pas lui répondre qui sait ce qu'il me fera quand il saura.

-Sa ne te regarde pas, dis je d'une petite voix.

-De 1 tu me tutoie, de 2 tu ne m'appelle pas maître et pour finir tu ne répond pas à ma question, tu veux vraiment recevoir une punition j'ai l'impression, dit John menaçant.

-Je suis vierge et je compte bien le rester, connard, dis je en murmurant sur le dernier mot pour ne pas qu'il m'entende.

-C'est intéressant de savoir que tu es vierge mais je dois quand même te punir pour m'avoir tutoyer, de ne pas m'avoir appelé maître et sache que j'ai entendu ton connard à voix basse, dit John en me prenant par le bras et me fais sortir de la chambre.

-Non ! Lâche moi ! Dis je en me débattant.

Il ne dis rien et m'emmène au sous sol. Il ouvre une porte et me fais entrer dedans. Elle était composé d'un lit simple et de grandes chaînes accroché au mur. J'ai peur, peur de ce qu'il va me faire.

Il m'accroche au chaînes, mais j'essaie de me débattre mais il me gifle violemment. Maintenant que je suis accroché il sort un fouet et je commence à avoir peur.

-Je vais te donner 15 coups de fouets, si tu crie une seule fois j'en rajoute 5, compris ? Dit John.

-Oui, dis je terrifié.

-Oui quoi ? Dit John énervé.

-Oui maître, dis je doucement. Le premier coup atterrit sur mon ventre, je ne pus m'empêcher de lâcher un cri de douleur.

-À ce que je vois tu en veux 5 de plus, dit John. Je le vois sourire sadiquement. Comment peut on faire sa ? C'est inhumain. Il me donne les autres coups et je ne protester même pas ou ne crier plus, j'avais tellement mal, que je le laisse faire. J'ai les yeux fermé et je n'es même plus la force de les rouvrir. Je sens qu'il me détache et me prend dans ses bras pour me porter. Je me tiens a lui même si je ne veux pas. Il me pose sur un lit moelleux et je m'endors rapidement.

\~Le lendemain matin \~

J'ouvre les yeux petits à petits. Je me retrouve dans la chambre que l'on partage moi et mon bourreau. J'essaie de bouger mais je ressens une énorme douleur au ventre. Je lâche un petit gémissement de douleur. Je me rallonge sur le lit. J'entend une porte s'ouvrir et je découvre John vêtus uniquement une serviette. C'est cheveux sont encore mouillé et sa le rend extrêmement sexy avec ses ados.

Putain qu'es ce que je raconte moi !

Je détourne les yeux et je l'entend rire.

-Bien dormi ? Dit John.

-J'aurais mieux dormis si j'aurais été chez moi, dis je d'un ton froid.

-Arrête de me parler sur ce ton, je te le déconseille vivement, dit John énervé.

-Je parle comme je le veux, la liberté d'expression tu connais ? Dis je en me tournant vers lui moi aussi énervé.

-Fais pas ta rebelle comme sa ! Tu veux que je refasse comme hier peut être ? Dit John énervé.

-Beh vas ys de toute façon quoi que je fasse, tu chercheras un moyen pour me faire du mal, dis je. J'essaie de me relever mais je ressens encore une douleur à mon ventre. Je serre les dents et me recouche.

-Soulève ton tee-shirt, dit John neutre.

-Pour faire quoi ? Dis je prise d'une soudaine peur.

-Te mettre de la crème pour apaiser la douleur, dit John. Je ne dis rien et le soulève juste assez sans l'enlever et me mettre en soutien-gorge devant lui. Il met de la crème sur ses doigt et les pose sur mon ventre. Je pousse un cri de douleur, sa fait mal putain ! Il lève les yeux vers moi.

-Sa te fait mal ? Dit John d'une voix que je pourrai qualifier de gentille.

Lui gentils ? Impossible.

-Oui sa me fait mal, en même temps avec ce que tu m'as fait, c'est logique, dis je en le fixant moi aussi mais avec un regard dur et froid. Il soupire.

-Tu ne m'as pas laissé le choix aussi ! Si tu m'énerve comme tu l'as fait hier, sa m'énerve encore plus, dit John.

-Hm..., maintenant j'ai compris qu'il fallait pas que je te contredise, dis je. Je vais essayer de faire la gentille petite soumise, le temps que je trouve un plan pour sortir d'ici.

-J'espère car sa ne me fait pas plus plaisir de te faire du mal Mia, j'aimerai qu'ont soit clair sur sa, dit John en caressant ma joue. Je me retiens de lui cracher à la gueule et de lui dire que même si on lui dit quelques chose qui ne lui plaît pas, il n'est pas obliger de me frapper.

-D'accord, dis je simplement.

-Bon j'ai du travail aujourd'hui, donc tu restes sage et je te ferais rien, dit John. Je hoche la tête et le vois s'approcher de moi. Je ferme les yeux sachant qu'il va m'embrasser, faut que je le lui rendes sinon il va s'énerver. Il pose ses lèvres sur les miennes et m'embrasse tendrement. Je le laisse faire, je ne prends pas part mais ne le repousse pas non plus....

Bon j'ai du travail aujourd'hui, donc tu restes sage et je te ferais rien, dit John. Je hoche la tête et le vois s'approcher de moi. Je ferme les yeux sachant qu'il va m'embrasser, faut que je le lui rendes sinon il va s'énerver. Il pose ses lèvres sur les miennes et m'embrasse tendrement. Je le laisse faire, je ne prends pas part mais ne le repousse pas non plus. Il se sépare de moi et sort de la chambre. Je me lève doucement, la crème me fais du bien donc sa va un peu mieux. Je vais à la salle de bain et prend une douche. Je sors vêtu uniquement d'une serviette et je sursaute en voyant John dans la chambre. Il est pas sensé être en train de travailler lui ! Je resserre ma serviette pour qu'elle ne tombe et voit qu'il me regarde en mordant sa lèvre inférieure.

-Qu'es ce que tu fais ? Tu dois pas être au travail ? Dis je avec une voix un peu plus aigus.

-Si si mais j'ai oublier un document et je venais le chercher mais je pense que je vais rester la, surtout si je vois une femme aussi belle devant moi, dit John d'une voix sensuelle. Il commence à s'approcher de moi dangereusement. Je recule et je percute le mur de derrière. Je commence à paniquer intérieurement.

-Tu sais que tes sexy dans cette serviette ? Si sa ne tenais qu'à moi, je te prendrais sur ce mur et te ferais crier mon nom pendant ton orgasme, dit John en murmurant dans mon oreille. Je frissonne plus de dégoût qu'autres choses.

-Vous...vous m'avez dit que si je restais sage, vous ne me ferez rien, dis je terrifiée.

-Tu as raison, mais je comptais rien te faire Mia à part si tu es d'accord, dit John avec un sourire pervers. Je secoue la tête de droite à gauche pour dire non.

-Tu as raison, vaux mieux garder ta virginité pour notre futur nuit de noces, dit John en s'écartant.

Pardon j'ai bien entendu la ! C'est mort jamais je ne me marierai avec lui.

-Je...non je veux pas me marier avec vous, dis je d'une petite voix.

-Et pourquoi ? Je ne veux que ton bonheur tu sais ! Dit John gentiment.

Attend ! Attend ! Attend ! Lui gentils, c'est carrément impossible, c'est hilarant.

-Alors pourquoi tu me frappes et que tu m'as kidnapper, dis je lentement.

-Tu m'as énervé aussi, et parce que je veux que tu sois miennes voilà la raison de ton kidnapping, dit John sur le même ton que moi.

Pour une fois que l'on ne crie pas ni rien, sa fait du bien.

-Tu pouvais pas faire comme tout le monde, m'inviter au restaurant, je sais pas moi, tout aurait été beaucoup plus simple, dis je d'une voix lassée.

-Non car je n'aurais pas eu ce que je voulais, tu aurais pu ne pas vouloir te mettre avec moi, pas vouloir te marier avec moi, me rejetter et sa m'aurai énervé, dit John en commençant à s'énerver. J'aime pas quand il s'énerve, il faut peur.

-Je suis pas prête à me marier de toute façon, je suis trop jeune, dis je en mentant. Il balance son poings à quelque centimètres de mon visage. Je fus pris d'un sursaut de peur.

-Tu vois ! C'est pour sa que la seule solution était de te kidnapper pour pouvoir se marier ! Sa m'énerve quand tu me dis que t'es pas prête ! Ta 17 ans bordel, ta totalement l'âge de te marier ! Dit John en criant.

-Arrête de crier s'il te plaît, tu me fais peur, et puis je peux me marier à mes 18 ans, c'est la loi au cas où que tu le savais pas, dis je doucement.

-Tu es née quand ? C'est quand ton anniversaire Mia et me mens pas! Dit John énervé.

J'ai envie de lui mentir, mais si il apprend que je lui mens je vais m'en prendre pleins la gueule.

-Je...suis...née le 10 janvier, dis je en baissant la tête.

-C'est dans 2 mois, j'ai 2 mois pour préparer notre mariage et te convaincre que je serai un bon mari pour toi, et que je saurais te rendre heureuse, tu verras, dit John en se calmant et caressant ma joue. Je ne peux pas, je peux pas me marier avec lui, qui c'est ce qu'il me ferait si je fais un trucs qui lui plaît pas, il me frappera ? me violera ? Je ne pourrais supporter sa. Va falloir que je m'évade avant notre mariage.

-Ho tu m'écoutes Mia ? Dit John en passant ses mains devant mes yeux.

-Heu...non désolé j'étais perdu dans mes pensées, dis je en lui faisant un sourire timide qui est faux pourvu qu'il y croit. Il me rend mon sourire.

-T'inquiète pas, et je m'excuse pour hier, je me suis emporté, dit John en baissant les yeux. Aurait-il du regret pour ce qu'il m'a fait ? ou es ce un piège pour me conquérir et me mettre dans son lit ? Je hoche la tête et ne dis rien.

-Es ce que je peux t'embrasser ? Dit John en me fixant et en se mordant la lèvres inférieur.

Si je dis non il risque de s'énerver et je dois le laisser baisser la garde pour m'échapper. Va falloir que je le laisse m'embrasser rien que sa, sa me répugne. Je hoche la tête et il sourit. Il pose ses lèvres sur les miennes et commence à m'embrasser tendrement. J'avoue il embrasse plutôt bien pour un psychopathe ! Je met mes mains autour de son cou et il me colle au mur. Je sens son entre jambes se durcirent, et je ferme les yeux, sa me dégoute maintenant et moi qui commencait à apprécier sa je me sens sale. Il m'embrasse de plus en plus sauvage et commence à passer sa main sous ma serviette. Je veux bien le laisser m'embrasser mais j'ai pas dit oui pour qu'il me touche.

-Arrête...s'il te plaît, dis je entre deux de ses baisers. Il se détache et froncé les sourcils.

-Qu'es ce qu'il y a ? Dit John en fronçant les sourcils.

-Je veux pas qu'ont aille plus loin pour l'instant, et puis t'es collègues de travail doivent t'attendre, dis je pour pas qu'il s'énerve...