(Z)15 ans et Bechacha 16 ans ,histoire d’amour impossible
Il est trop beau Bechacha c’est une D Wanda pauvre C
Ça Spoil la fin
J’espère que ça vous plaira,je fais ça avec tout mon cœur et merci au gens qui liront mon roman de Merdeuh bisous à bientôt pour le prochain chapitre
Un vendredi pluvieux, les élèves restaient tous sous le préau. Le bruit de la pluie résonnait comme un tambour.
Bechabecha s’approcha de (Z), qui observait les gouttes tomber.
— (Z), dit-il soudain, pourquoi tu me regardes toujours comme ça ?
Elle sentit son visage s’embraser. Son pied tapa frénétiquement contre le sol, impossible à contrôler.
— Je… je ne sais pas de quoi tu parles, balbutia-t-elle.
Il sourit, pencha un peu la tête.
— Tu sais, ça ne me dérange pas. En fait… ça me fait plaisir.
(Z) leva les yeux, surprise.
— P-plaisir ?
— Oui. Parce que moi aussi, je t’observe. Même si… je ne suis pas toujours sérieux avec les filles, avoua-t-il en riant légèrement.
Ces mots frappèrent (Z) comme un coup. Il reconnaissait être un charo, et pourtant, dans son regard, elle crut voir une sincérité qu’il ne montrait pas aux autres.
Les jours suivants furent difficiles. (Z)réfléchissait sans cesse. Elle ne voulait pas blesser son copain, mais elle ne pouvait pas non plus ignorer ce qu’elle ressentait pour Bechabecha.
Finalement, un soir, elle prit une décision. Elle mit fin doucement à sa relation, expliquant qu’elle ne se sentait plus bien dans cette histoire. Elle ne parla pas de Bechabecha.mais elle a énormément souffert à cause de son choix
Quelques jours plus tard, à la sortie du collège, Bechabecha l’attendait près du portail.
— (Z), tu veux qu’on rentre ensemble ? demanda-t-il.
Elle resta un instant immobile, puis hocha la tête. Son sourire illumina son visage, et son pied commença à taper encore une fois, trahissant sa joie immense.
Bechabecha la regarda en riant :
— Décidément, ton pied et toi, vous êtes inséparables.
(Z) rit aussi, et ils partirent côte à côte.
Un mercredi, (Z) prit son courage à deux mains. Elle demanda à Bechabecha de rester quelques minutes après les cours. Le soleil se couchait et la cour se vidait peu à peu.
Les mains tremblantes, elle murmura :
— Bechabecha… je… je crois que je t’aime.
Son pied tapait frénétiquement contre le sol. Elle n’osait pas le regarder.
Un silence s’installa. Puis il posa une main légère sur son épaule.
— Tu es courageuse de me dire ça, (Z)Et… moi aussi, je ressens quelque chose pour toi.
Ce fut comme une explosion dans son cœur. Elle rentra ce soir-là avec le sentiment d’avoir trouvé enfin sa vérité.
Pendant une semaine, tout sembla parfait. Ils se parlaient davantage, riaient ensemble, et(Z) avait enfin rompu avec son copain. Bechabecha la faisait sentir unique, spéciale, différente des autres filles qui l’entouraient.
Un vendredi pluvieux, sous le préau, il lui dit :
— Tu sais, ton sourire et ton pied qui tape… c’est devenu ma musique préférée.
(Z), rougissante. Elle croyait vraiment que leur histoire commençait.
Mais une semaine plus tard, tout s’effondra.
C’est Adriana, son amie, qui lui laissa échapper la vérité sans le vouloir : Bechabecha avait été vu en train d’embrasser une autre fille. Pas n’importe qui : la sœur d’Adriana.
(Z)sentit son cœur se briser en mille morceaux. Elle n’y croyait pas, pas lui, pas après ce qu’il lui avait dit.
Le lendemain, elle alla le confronter, la voix tremblante, le regard plein de larmes.
— Bechabecha… dis-moi que ce n’est pas vrai. Dis-moi que tu ne m’as pas trompée avec elle.
Bechabecha resta silencieux un instant, puis baissa les yeux.
— Je ne vais pas te mentir, (Z). Oui… c’est vrai.
Elle sentit le sol s’écrouler sous ses pieds
...Makila ohhh c’est chaud ...
Les larmes roulaient sur les joues de (Z)Elle ne savait plus si son pied tapait de rage ou de douleur.
— Pourquoi ? demanda-t-elle d’une voix brisée.
— Je suis comme ça… Je plais à plusieurs filles, et parfois je me perds moi-même. Mais… ça ne veut pas dire que je ne tiens pas à toi, murmura-t-il.
(Z)secoua la tête, le cœur en miettes.
— Alors c’est fini, Bechabecha. On ne pourra jamais être heureux ensemble.
Il ne tenta pas de la retenir. Il savait qu’elle avait raison.
Avant de partir, il dit seulement :
— Après tout… c’est un amour impossible
(Z) tourna les talons, les larmes brouillant sa vue. Elle avait aimé trop fort, trop vite, et lui… il avait détruit leur histoire naissante.
Mais au fond d’elle, elle savait qu’elle ne l’oublierait jamais. 🌧️
(Z) était assise près du rebord, le visage blême, les yeux vides comme si l’espoir s’était dissipé. Ses mains, froides et immobiles, tenaient encore le pull qu’elle avait porté toute la journée. Elle avait l’air d’avoir abandonné le monde en silence : plus de larmes, seulement une fatigue si profonde qu’elle semblait irréversible. Ses pensées tournoyaient sans repos — le visage de Bechabecha revenait, les mots qu’il avait prononcés, la trahison qui lui avait lacéré le cœur. Chaque souvenir l’écrasait un peu plus, jusqu’à ce que toute couleur s’éteigne autour d’elle.
Elle regarda la ville par la fenêtre, comme si elle cherchait une réponse dans les lumières dispersées. La pluie avait laissé des traces sur le rebord ; l’air humide sentait la terre et quelque chose d’indistinct — un mélange d’odeurs qui lui rappelait les jours plus simples. Zéro colère véritable maintenant, seulement un vide résigné qui englobait tout. Elle savait qu’elle ne retrouverait pas la même insouciance. Elle s’était convaincue, en silence, qu’il n’y avait plus d’issue qui vaille la peine.
Au-dehors, la porte d’entrée craqua. La mère de (Z) rentra, la fatigue de la journée encore collée aux épaules. Elle entra dans la maison en appelant doucement : « (Z)? » Pas de réponse. Elle gravit les marches à petits pas, s’attendant à trouver sa fille plongée dans un de ses dessins ou riant devant une vidéo. La chambre, cependant, lui apparut immobile, trop parfaite, étrangement prête pour une absence.
Puis elle vit la lettre, posée seule sur la table, la feuille blanche Sa main trembla en la prenant. Les mots sur la page n’avaient pas besoin d’être ici pour être compris : la mine humble et ferme, l’écriture serrée, les lignes pressées… elle devina sans tout lire que c’était l’adieu de sa fille. Un cri monta de sa gorge, étouffé, puis éclata en sanglots.
La nouvelle se répandit vite, d’abord dans la rue, puis dans les couloirs de l’école. Quand Bechabecha l’apprit, il resta muet un long moment. Ses yeux s’embuaient malgré lui. Personne n’aurait su dire si c’était de la douleur, de la culpabilité ou quelque chose de plus complexe. Puis, lentement, ses lèvres se courbèrent et laissa apparaître un sourire , de regret ou amer ? Nous ne le saurons jamais.
« C’était… un amour impossible » dit-il d’une voix tremblante
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