Mon nom à été choisie par ma mère, de ce que je sais ma mère l'a fréquenté quand elle était au lycée et à l'annonce de mon arrivée, il aurait nié être mon géniteur, et elle due se débrouiller par elle-même pour s'occuper de moi.

J'ai longtemps été baladé d'une maison à l'autre, et à chaque fois dans des environnements.... très différents.

J'étais seule la plupart du temps et lorsque j'ai enfin mis avec des enfants de mon âge, je ne comprenais pas le comportement de la plupart. Mes cousines me poussait vers les garçons, et qu'est-ce qu'il peuvent être c** quand ils n'ont que cette idée en tête.

Ma mère voyant mon corps changer à mon adolescence, se mis à me traiter de tout les noms, a ce plaindre du poids que j'étais pour elle, et que je devrais lui apporter de l'argent au lieu de passer mon temps à rester à la maison, bien que je passais mon temps à tout faire à la maison pour l'aider.

Un jour ma colère fut tellement grande que je lui répondu enfin, lui disant que si je savais qui était mon père j'irais vivre avec elle.

Ce jours là ,je reçu une gifle. Qu'importe. ça ne changeait rien des corrections qu'elle me donnait tout le temps pour passer ses nerfs.

Depuis ce jour, je fis moins attention à ce qui ce passais à la maison pour me concentrer sur un moyen de partir de là.

Un après-midi en rentrant je vu plein de monde à la maison que l'on me présenta comme de la famille. Après les avoir salués, je suis rentrée dans ma chambre et lorsque ma mère fut parti de la maison, ils firent éruption dans ma chambre et m'ont violé chacun leur tour.

Au retour de ma mère, je lui fis part de la situation, mais elle me traita de prostitué et Jetta la faute sur moi. D'après elle, j'étais une menteuse et je voulais gâcher ses relations dans '' sa famille ''.

'' Des relations '' , c'est plutôt parceque il lui tendait un billet de temps en temps.

Se voyant impunis, ils recommencèrent. Donnant chaque fois plus d'argent à ma mère.

Quand je fus enceinte, j'ai attribué ma grossesse à un gars que je fréquentai au Lycée qui rompue avec moi et me donna de quoi me débarrasser de cet enfant. Ce que je fis.

J'ai alors utiliser mes charmes et envoûté un homme qui me prit chez lui, me faisant échapper à la torture que je subissait chez ma mère.

Leur jouet sexuel ayant disparu, ma mère reçu de moins en moins d'argent, puis plus rien. Et devinez quoi. Elle vint un jour, me voir pour revenir à la maison, soit disant je manquais à tout le monde et que mes tortionnaires voulais me remettre de l'argent pour m'aider.

....'' De l'argent "

Je lui ai menti ouvertement lui disant que je viendrai. J'ai ensuite voler tout ce que j'ai pu et suis allée m'installer dans une chambre à louer où je me suis mise au commerce.

C'est en vendant mes produits que je l'ai rencontré. Après tant d'années, il était en face de moi achetant plus que nécessaire juste pour m'aider à m'en sortir. Ce n'est que longtemps après que je su.

'' Mon Père ''

j'ai toujours eu le nom de mon père d'aussi loin que peuvent remonter mes souvenirs. Le premier que j'ai eu remonte à mes 4 ans, j'étais dans une énorme couche, une coiffe de chef indien sur la tête et de la peinture sur le corps. Je ne reconnaissait aucune personne autour de moi et ça n'a duré que quelques instants.

le souvenir, celui dans lequel l'on est en pleine possession de ces moyens. juste un, puis je fut pleinement conscient de moi et des autres. mais je me demande toujours si je suis qui je suis, enfin....

j'ai grandi dans une famille monoparentales, ou ma mère n'a eu de cesse de me chanter les vertus de mon père bien qu'il se soit séparé et ont chacun refait leur vie avec chacun un autre partenaire. Et mon père, quand à lui fut plongée dans un mutisme sans fin sûrement dû à mon absence de questions sur le sujet.

'' Les relations ''

J'ai passé toute ma jeunesse à étudier les comportements, me basant sur des supposés expériences et toutes les suppositions hypothétiques, de schéma de comportement, des personnes du sexe opposé comme du même sexe que le mien.

Il m'est arrivé de plaire, a des hommes comme à des femmes et mes années d'observation m'ont enseigné ceci: '' Aime, qui veut ''. Même si j'aime plus que tout, je ne peux obligé la réciprocité de cet amour.

je t'aime, tu ne m'aime pas, je souffre.

tu m'aimes, je ne t'aime pas, tu souffre.

je ne t'aime pas, tu ne m'aime pas, on souffre d'aimer d'autres si il ne nous aime pas en retour.

et les exemples sont légion.

si l'on est attristé de la peine provoquer a une personne qui nous aime, mais que l'on aime pas en retour, et que l'on se décide de l'aimer. Ce choix nous est préjudiciable le jour où l'on ne défend pas bec et ongles cet amour, vu que l'on ne l'aime pas tout court mais que c'est une décision qui implique un sacrifice. Celui de s'obliger, et donc de ne pas aimer en le voulant de tout son cœur, son âme, son cœur, et son esprit, comme l'on a pour habitude de le dire. Ce qui a pour conséquence d'attrister la personne soit disant aimer par la réponse donnée.

J'ai aimé celle qui ne m'aimait pas, j'ai aimé celle qui m'aimait, j'ai aimé celle qui faisait semblant de m'aimer ,et même celle qui faisait semblant de ne pas m'aimer, avec juste en tête une idée fixe être en couple.

C'est en fonçant vers cet objectif avec tout ce que cela implique, non pour prouver quoi que ce soit, ou pour essayer de réussir ou ces parents ont échouées ou réussis , que je l'ai rencontré

Cette fille