Ça faisait des jours que l’ambiance paisible de la maison avait changée. Mes parents m’interdisaient de jouer dehors, vérifiait mes aller et venus, guetter ce qui se passaient dehors depuis le confort de la maison. Il n’allait même plus au travail. Bien qu’encore très jeune du haut de mes huit ans, je sentais que quelque chose de louche se peaufinait à l’horizon.
Léna - Mama, je peux aller jouer dehors?
Mère de Léna - Je t’ai déjà dit non plusieurs fois Léna.
Léna - Mais pourquoi ?
Père de Léna - Écoute ta mère Léna. C’est dangereux.
Léna - D’accord papa.
Mais un jours , le calme apparant qui régnait encore chuta brutalement.
C’était une nuit orageuse. Mes parents étaient assis sur le divan, discutant d’affaires visiblement personnelle tandis que moi je jouait à même le sol. La porte craqua, laissant apparaître un homme à l’aura glacé accompagné de plusieurs hommes tout aussi froid.
Le visage de mes parents se décomposa sur place. Et je savais à l’intérieur de moi que cet homme n’était pas là pour une visite de courtoisie.
Mère de Léna - Pitié ne nous faites pas de mal.
Père de Léna - Je vous en supplie. Nous saurons nous racheté.
Cet homme portait un masque qui dissimulait son visage mais visiblement, mes parents ne le connaissais que trop bien.
... - Sanchez qu’on ne joue pas avec el Toretto.
Mère de Léna - Pitié, nous ne savions pas
Père de Léna - Laissez au moins ma femme et ma fillle tranquille. Pour l’amour de Dieu.
... - monsieur le gouverneur. Sachez que cette fois si Dieu ne vous sauvera pas.
Léna - Laissez mes parents tranquilles * pleure *
... - c’est une fille bien charmante que vous avez là.
Mère de Léna - Non* pleure *
Père de Léna - S’il vous plaît.
D’un coup sec , l’homme tira sur mon père. Je vis le corps de mon père fléchir devant moi. Il était mort sur le coup et c’est là que j’ai pris conscience de la gravité de la situation. Ma vie insouciante et heureuse était sur le point de changer du tout au tout. Si d’aventure je restais d’ailleurs en vie.
Mère de Léna - Non. Mon mari. Cédric. Réveil toi ne me fait pas ça. * pleure *
Léna - PAPAAAAAAZ * pleure *
Un autre coup de feu strident trancha l’air autour de nous. Cette fois , c’était ma mère qui venait de me quitté.
Léna - Papa, maman. * pleure *
L’homme s’approcha de moi et posa son arme sur ma tête. Mes mots me restèrent en travers de la gorge. Je n’avais même pas assez de force pour crier ou pleurer. Je saisi que cette fois, c’était la fin de la famille Lorents.
... - tss.
Léna - Vous ne me tuez pas? * pleure *
... - Tu es trop insignifiante. Je ne le ferai pas.
L’homme se retourna et parti en compagnie de ses homme de main. Mon bonheur venait de s’effacer. Et la seule chose que je savais de l’homme qui m’avait conduit à ma perte c’était sa voix et deux mots : el torretto. Je ne voulais qu’une chose à présent, devenu le pire cauchemard de cet homme masqué quel qu’en soit le prix.
Pendant que je pleurais avec les corps de mes parents devant moi, une femme pénétra dans la pièce. Elle était grande et belle. Elle avait à peu près la trentaine. Elle regarda les corps sans vie de mes parents, ferma les yeux un instant comme pour leur dire adieu et posa son regard sur moi.
Diana - Bonsoir Léna. A partir de maintenant, je vais bien m’occuper de toi. J’étais l’amie et associée de tes parents.
Léna - Tu es ma nouvelle maman ?
Diana - Non. Je suis ton mentor et celle qui forgera ton corps et ton âme. Tu veux te venger?
Léna - Oui.
Diana - Tu le feras. Appelle moi diana
Léna - Diana.
12 ans étaient passés en 2 jours. Ma blessure ne guérissait pas. Je venais de finir 5 ans d’université à 20 ans. J’étais riche , belle et aimée. Mais je ressentais toujours le vide qu’avait laissé mes parents. Les deux mots EL TORETTO résonnaient en boucle dans ma tête et cette voix...cette voix glacée hantait mes rêves et je savais que tant que je n’aurai pas ma vengeance , je ne trouverai pas la paix. J’ai tout fait pour devenir la plus jeune genie que le monde ait jamais connu en 12 ans. J’ ai fait des recherche sur ma famille et j’ai découvert que tout ce que je croyais sur mes parents étaient faux. J’ai découvert qu’ils avaient un lien trop étroit pour être insignifiant avec el toretto. J’ai découvert que j’ai été trompée par ma famille, mais ma soif se vengeance n’en faiblissait pas moins.
C’était le soir, vers 18 heures. Je faisais mon footing quotidien quand soudain, j’ai remarqué la présence de cinq hommes qui me suivaient.
Léna - * se tourne * qui êtes vous?
Inconnu - salut. Tu peux m’appeler Bradley. Je suis...
Léna - Arrête ton charme. Qu’est ce que tu me veux.
Bradley - tu ferais mieux de me parler sur un autre ton poupée. Si non je te tue.
Léna - si tu voulais le faire , tu aurais déjà essayé. Sans succès.
Bradley - ... attrapez la
Tous ces hommes baraqués se précipitèrent vers moi. Mais je les vainquit sans trop d’effort. Les laissant sanguinolents tandis que ce.... Bradley gardait son sourire en coin
Léna - Quelle perte de temps ! Dégagez.
Bradley - tu respecte ta réputation Léna lorrents
Léna - Tu...tu me connais?
Bradley - on se verras plus tard Léna. Mais un petit conseil...à force de volé trop près du soleil, il finira par te brûler les ailes et t’envoyer plonger dans l’océan.
Léna - Qu’est ce que tu...
Bradley - a plus dans l’bus.
Sans dire mot, cet homme masqué mais aux yeux saisissants partit au volant d’une moto.
Léna - A plus dans l’bus? Qui dit encore ça ? Bradley...
Mon footing avait été interrompu, je décida de rentrer chez moi. Cette rencontre fortuite me fît le rentre compte d’une chose qui me fît l’effet d’un coup de point en plein visage. Je n’étais pas aussi discrète que je le pensa et j’étais surveillée. Le nom d’el toretto me revînt en plein visage et je savais que cette fois , les choses serieuse commençaient enfin.
Léna - Bradley. Crois moi la prochaine fois qu’on se verra, tu deviendras ma proie.
Je rentrais à la maison. Quand je vis diana assise sur la terrasse de sa chambre. Elle me fît donc signe de monter.
Léna - Bonsoir diana
Diana - bonsoir ma puce * sourire tendre * je me fais vielle. J’ai déjà 48 ans.
Léna - a ce propos dia. J’aimerais bien avoir mon propre appartement.
Diana - mon bb veut déjà m’abandonner
Léna - mais non dia. J’ai juste besoin de liberté. Tu sais bien que je t’aime beaucoup
Diana - alors d’accord. Tu vas me manquer * pleure *
Léna - Je viendrai te voir tous les week-ends pendant deux ans dia. * la prend dans ses bras
Diana - marché conclus * rit
Léna - petite escrot * rit à son tour en resserrant son emprise
Diana - tu vas me manquer ma Léna.
Léna - * sourit * toi aussi dia
Maintenant que j’avais une direction, j’allais la prendre jusqu’au bout. Même si elle menait à la mort. Et dia ne devait pas être impliquée car maintenant, j’allais y aller par tous les moyens.
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