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Mlle Le Jouet

enfermés

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Chapitre 01 — Cadeau d’anniversaire

Je croyais qu’on m’adoptait.

La voiture noire avait des vitres teintées, un chauffeur qui ne parlait pas, et une odeur trop propre pour être honnête. J’ai serré le sac que je portais contre moi — il ne contenait que deux robes, une brosse à dents et un carnet que personne n’a jamais lu.

Quand les grilles du manoir se sont ouvertes, j’ai su que j’étais entrée dans un autre monde.

Des statues d’anges sans yeux. Des fleurs trop bien taillées. Une demeure gigantesque, aux fenêtres hautes comme une cathédrale, et une porte qui semblait m’avaler.

— Mademoiselle vous attend, annonça le majordome sans même me regarder.

"Mademoiselle". On aurait dit le nom d’un fantôme.

Il me guida à travers des couloirs silencieux. Des tableaux me suivaient du regard. Des tapis mangeaient le bruit de mes pas. Puis il s’arrêta devant une porte en bois laqué.

Il frappa doucement. Une voix d’enfant répondit aussitôt :

— Fais-la entrer. Toute seule.

La porte s’ouvrit dans un grincement presque théâtral.

Et je la vis.

Assise sur un trône miniature, en robe crème et rubans de soie, Maelys Belladone me fixait avec l’intensité d’une reine capricieuse.

Elle avait les cheveux d’un blond trop clair, presque argenté. Des boucles parfaitement dessinées encadraient un visage de poupée de porcelaine. Mais ses yeux… ses yeux n’étaient pas ceux d’une enfant. Ils étaient calmes, froids, calculateurs.

Elle sourit. Doucement. Lentement.

— Bonjour, Joujou.

Je n’ai pas répondu. Je ne savais pas encore si elle plaisantait.

— Tu es mon cadeau, dit-elle avec douceur. Mon cadeau d’anniversaire. J’ai demandé quelque chose de spécial cette année. Quelque chose de vivant. Quelque chose que je peux habiller, promener, punir et féliciter.

Elle se leva, pieds nus sur le tapis, et s’approcha de moi sans hésitation.

Je n’ai pas bougé.

Elle leva la main… et toucha mes cheveux comme on touche une peluche.

— Tu es jolie, murmura-t-elle. Je suis très contente de toi.

Je me suis raidie. J’avais envie de reculer, mais mes jambes refusaient de m’obéir.

— À partir d’aujourd’hui, tu dors dans ma chambre. Tu m’appartiens. Tu dois toujours sourire devant moi. Tu dois me dire merci, même si je te fais pleurer. Tu dois obéir. Et si tu es sage… je serai gentille.

Elle se hissa sur la pointe des pieds, s’approcha de mon oreille, et souffla :

— Tu veux vivre ici, n’est-ce pas ?

Sa voix était trop calme. Trop posée pour une fillette.

Je me suis demandé, l’espace d’un instant, si elle jouait à un rôle. Si c’était un jeu de riche.

Puis j’ai vu la chaîne dorée qu’elle tenait derrière elle. Elle l’agita comme une laisse.

— Si tu veux, je peux te montrer comment font mes anciens jouets. Certains étaient très dociles. Les autres… moins.

Je me suis forcée à sourire.

Un sourire froid. Vide.

— Merci, maîtresse

Elle éclata de rire. Un rire cristallin. Sincère.

— Tu es parfaite, Joujou.

Et à cet instant précis, j’ai compris : je n’étais pas adoptée.

J’étais enfermée .

Et dans cette maison, la reine n’avait que neuf ans.et cela était un honneur je vais pouvoir me rendre utile

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a elle

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Scène dans la douche

La douche était froide. Eliane s'était laissée guider dans la salle de bain immense, toute en marbre, où chaque détail semblait soigneusement pensé pour imposer le luxe. Les miroirs étaient si grands qu'elle se sentait petite, presque invisible. Maelys l’avait suivie, silencieuse, ses yeux fixés sur elle, comme si chaque geste de sa part était examiné.

— Tu dois prendre un bain, Joujou, avait dit Maelys avec un sourire glacial, ses mains petites et froides fermement posées sur les bords de la baignoire.

Eliane s’était figée un instant, mais Maelys ne lui laissa aucune marge de manœuvre.

— J’ai préparé de l’eau chaude. Je vais m’assurer que tu sois propre.

Tout avait l'air si… normal. Mais quelque chose dans l'air semblait étrange, étouffant. Eliane, naïve, ne comprenait pas vraiment pourquoi Maelys semblait si… maître de la situation. Elle se déshabilla lentement, les yeux baissés, suivant l'instruction sans poser de questions. Elle n’avait jamais été si proche de quelqu’un, surtout pas d’un enfant. Mais ce geste, cette présence, la faisait se sentir… acceptée.

Elle entra dans la baignoire, l’eau chaude la caressant. Elle ferma les yeux un instant, sentant la chaleur l’envahir. Maelys s’était installée juste à côté, son regard fixé sur Eliane, comme si elle l’observait sous un microscope.

— Je vais te laver, dit Maelys d'une voix douce, presque chantonnante. C'est ce que font les maîtresses, n'est-ce pas ?

Eliane acquiesça, ne se rendant pas compte de la portée de ce qu'elle venait de dire. Tout ça lui semblait naturel, normal. Maelys saisit une éponge et la trempa dans l’eau chaude avant de la frotter doucement sur les bras d'Eliane.

— Tu dois toujours être propre pour moi, Joujou. Quand tu es propre, tu es belle. Et je veux que tu sois toujours belle.

elle laissa tomber l'éponge entra dans le bain tout habillé, et pris c'est deux doigts l'enfonçant brutalement dans la chatte d'Éliane,

-- mai...tresse , moins...fort s'il vous… plaît

Le corps d'Éliane devient rouge pendant que, le regard de sa maîtresse lui se pervertie adorant le spectacle que son nouveau jouet lui offrait,

Les va-et-vient brutal continuèrent

--- maîtresse.... S'il vous plaît.... je ferai ....tout mais arrêtée

elle finit par s'arrêter, repris l'éponge sortie du bain continua à la lavée en la caressant alors qu'elle reprenait son souffle.

— Tu n'as rien à craindre, Joujou. Je serai toujours là pour m'occuper de toi et n'oublie pas ta promesse demain dans ma chambre après le petit déjeuner

Eliane ne se rendait pas compte que les mots de Maelys ne signalaient pas de l'amour ou de l’affection. C'était du contrôle. Mais elle n'avait pas encore la capacité de comprendre cette différence mais une chose était sur son corps n'était plus a elle mais maintenant a son adorable maîtresse.

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Scène – La chambre d’Éliane et le petit déjeuner

La chambre qu’on lui avait donnée ressemblait à celle d’une princesse oubliée.

De hauts rideaux en velours rose pâle encadraient des fenêtres si grandes qu’on y voyait presque tout le domaine. Le lit, immense, était recouvert de coussins brodés, de draps en satin ivoire, et d’une couverture si douce qu’elle avait hésité à s’y allonger la première fois. Un chandelier de cristal suspendu au plafond jetait mille éclats sur les murs blancs nacrés, et une coiffeuse ancienne l’attendait, soigneusement rangée, comme si quelqu’un connaissait déjà toutes ses préférences.

Sur le sol, les tapis étaient si épais que ses pas n’émettaient aucun son.

Quand elle s’était levée ce matin-là, une gouvernante silencieuse lui avait servi un petit déjeuner sur un plateau d’argent. Des viennoiseries encore tièdes, du pain aux raisins dorés, des fruits frais coupés en fines tranches, du jus d’orange dans un verre en cristal, et même un petit pot de confiture à la rose.

Tout était délicat. Précieux. Parfait.

Éliane avait mangé lentement, en silence, émerveillée par chaque bouchée. Ce n’était pas un repas. C’était un rêve.

Et dès qu’elle eut fini, elle s’était levée sans un mot, comme on lui avait appris. Elle savait ce qu’il fallait faire. Elle devait aller la voir. Sa maîtresse l’attendait.

Très bien ! Voici la scène où Éliane entre dans la chambre de Maëlys, avec peu de description et plus de dialogue, dans une ambiance toujours étrange et marquée par leur dynamique maître/jouet.

 

Scène – Dans la chambre de Maëlys

Éliane poussa doucement la porte. Elle n’avait pas eu besoin de frapper. On lui avait dit que Maîtresse n’aimait pas attendre.

— Tu es en retard, déclara Maëlys sans même tourner la tête.

Elle était assise sur le rebord de son lit, en train de brosser les cheveux d’une poupée à la robe noire.

— Je suis désolée, Maîtresse, murmura Éliane, baissant les yeux.

— Tu as mangé ?

— Oui, Maîtresse. C’était… délicieux.

— Tant mieux. Un jouet affamé, c’est moche.

Éliane hocha la tête, sans répondre. Maëlys posa sa brosse et la regarda enfin, les jambes croisées, le menton légèrement levé.

— Tu t’es brossé les cheveux ? Tu es censée être jolie. Pour moi.

— Oui, Maîtresse. Et j’ai mis la robe que vous m’avez laissée hier.

— Celle en dentelle blanche ?

— Oui.

Un petit silence s’installa.

Maëlys claqua des doigts.

— Approche.

Éliane obéit aussitôt. Quand elle fut assez proche, Maëlys tendit la main et attrapa un pli sur sa robe.

— y a quelque chose pour toi sur le lit .

C'était de la lingerie très sexy le genre que portait pour ressembler à une servante hot pour sa première nuit de noces

— Merci maîtresse, mais c'est pourquoi ?

Elle l'attacha avec des chaînes au mur de son lit, Éliane n'avait bien sûr aucun sous-vêtements elle lui mit a l'intérieur un vibromasseur

— garde le a l'intérieur

Elle sourit, un sourire doux mais plein d’ombres.

— Tu es mignonne, aujourd’hui.

Éliane rougit.

— Merci, Maîtresse…

— Dis-le encore.

— Merci, Maîtresse.

— Encore.

— Merci, Maîtresse…

Maëlys rit légèrement, satisfaite.

— Tu vois ? Quand tu fais ce que je dis, tout est simple. Je vais te dire ton emploi du temps, garde ce vibromasseur à l'intérieur de toi sinon.....

Éliane obéit. Son cœur battait plus vite, mais elle n’en montrait rien.

C’était la règle numéro un : toujours sourire. Toujours obéir.

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