Un soir, après une dispute violente avec Inès et Léa,ou c'était elle la dominante ,elle les avait physiquement et mentale a ses coups, douloureuse et cruelle, rapide mais encré et la marque était la sur le corps, la joue,et dans le cœur, les larmes tomberez, mais le silence règne tout dans la cuisine autour de la table.Claire hurle ce qu’elle a toujours gardé au fond d’elle :
« Toute ma vie, j’ai vécu pour les autres ! Pour mes parents, pour cet homme, pour vous ! Et qu’est-ce que j’ai eu en retour ? Rien ! RIEN ! J’aurais dû être égoïste dès le départ ! »
Un silence lourd tombe dans la pièce. Léa tremble, incapable de parler,mais la rage était belle et bien là . Inès baisse les yeux, ce pas la première fois, qu'elles subirent le comportement de leur mère, mais qu'elle pouvait bien faire ? fuir ? Mais pour aller où ? Elle n'avait personne d'autre qu'elle, cette famille était composée que de trois personnes et pour la quittée, il fallait mourir pour y arriver, parce que la mère n'acceptera jamais qu'elle l'a quitté, puisqu'elle avait tout sacrifiée pour elles.
C’est à ce moment que Claire réalise : ce qu’elle reproche à ses filles, c’est surtout de l’avoir empêchée de vivre pour elle-même. Mais c’était son choix, sa soumission, ses chaînes. Elle comprend qu’elle les a toujours utilisées comme excuses pour sa propre peur d’exister.