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LAÏLA

...

Dans le confort de ce château fier et immuable qui se tenait autres fois resplendissant au sein des autres royaumes, LAÏLA Rossé , princesse du royaume de rossé, s’était une fois de plus enfermée dans la bibliothèque royale pour s’adonner à la seule chose qui la définissait vraiment, la lecture.

Un dîné avec des convives le matin, un salon de thé à midi, et un cours de bonne manière le soir. Quoi de mieux qu’un peu de lecture pour oublier la dureté de cette journée.

LAÏLA : je suis épuisée, il y’a vraiment que Victor Hugo pour me faire retrouver le sourire.

Après cette pensée nostalgique, elle se replongea pleinement dans son livre avant de se faire interrompre quel heures plus tard par son père qui recueillait sa présence.

Le roi de rossé: LAÏLA, tu dois trouver un marin. Le royaume s’en va de mal en pire. Le duché milanaire menace le trône.

LAÏLA : je le sais père. J’y travaille arduement.

Le roi de rossé: je l’espère bien. J’ai ouïe dire que tu avais encore refusé un prétendant.

LAÏLA : je tâcherai de trouver le bon.

Le roi de rossé: LAÏLA...

LAÏLA : oui père

Le roi de rossé: tu sais bien que je fais ça pour ton bien.

LAÏLA : je le sais.

Après cette entrevue avec son père , LAÏLA se dirigea la boule au ventre vers le confort de sa chambre.

Elle se sentait mal. Elle se sentait abusée, et elle l’était. Elle était dévastée par cette conformité à laquelle elle devait se tenir. Pour elle, dire ce qu’elle voulait et qui elle était était perçu comme une rébellion. Elle devait en durer tout ça , pour le bien de ce royaume auquel elle ne voyait pas un si grand attachement. << je dois le faire. C’est mon devoir et ma seule utilité >> se disait elle.

Pendant qu’elle pensait ainsi, elle ne puis plus se retenue et des larmes commencèrent à perler sur son visage. Venant humidifier les traits délicats de cette princesse brisée.

LAÏLA : pourquoi ? Pourquoi moi? Pourquoi dois je sourire alors que je veux pleurer ? Pourquoi dois je me marier alors que je veux écrire ? Pourquoi dois je me conformer aux règles insondables de cette société aristocratique ? Pourquoi dois je porter le poids de la négligence des autres? Est ce ma fautes si je suis née noble?

C’est dans ces paroles qu’elle se fît bercée par la douce mélodie de ses cris. C’était trop à supporter pour une seule personne. Pourra t’elle jamais être celle qu’elle voudrait tant être ? Pourra t’elle être un jour maître de ses choix? Le sait on jamais.

Le matin, comme à son habitude, elle se leva de son lit les yeux larmoyants. Cette vie lui avait après l’art de la pleurnicherie. Les autres pensaient qu’elle vivait une vie ´´ de rêves ´´. Mais après tout. Elle est la belle LAÏLA rossé. Qui pourrait comprendre cette princesse tourmentée?

Des l’aube, sa dame de compagnie vint la réveiller pour commencer cette journée. Bien que pour LAÏLA , chaque journée se ressemblaient. A tel point d’ailleurs que quelques idées suicidaires lui effleuraient souvent l’esprit sans jamais prendre forme.

Mais d’après les dires de sa dame, aujourd’hui est une journée particulière. Elle doit se préparer pour un bal auquel le duc milanaire signera présence. Et comme on le s’y attendait, elle devra user de ses charmes pour dire de lui son fiancé.

Le bal de séduction

Je me réveille le lendemain de cette journée de cours intensifs de séduction, me préparant à affronter les épines de la réalité stridente de la conformité de ce mon aristocratique que je connais à peine.

Ce qui pour d’autres est le rêve d’une vie, est pour moi un perpétuel combat où je lutte pour chasse ce qui fait vraiment à l’intérieur de moi ce que je suis.

Je me prépare avec l’aide de mes nombreuse servantes qui me parent des atouts les plus beaux. Au bras de mon père le rois, j’arrive à ce bal tant attendu où la crème de la crème de l’aristocratie est présente.

Duc plus petit baron au plus grand duc , ils sont tous là, arborant des masques dévoilant les sourires les plus flatteurs pour dissimuler leur fourberie et leur sournoiserie, cherchant le moindre faux pas pour en discréditer bon nombre.

Lorsque nous entrons , tous ces léches accourent presque aussitôt pour saluer le rois et sa magnifique princesse , dissimulant avec difficulté leur envie de le voir abdiquer ou même être tué. Mais mon père, plus hypocrite que tous, répond bien à leurs jeux. Un tous dans tous les sens du terme.

Pas important 1 : mes hommages votre altesse royale et sa princesse

LAÏLA : bonsoir compte.

Le roi de rossé : bonsoir très cher miormil.

Après ces petites mondanités, on annonce la venu du marquis milanaire dont j’ai très souvent entendu chanter la beauté.

Il entre , vêtu d’un habit follement élégant. Mais au lieu d’un homme implacablement beau, je vois un homme froid et plein de mépris pour cette société. Et ça vu me fait presque pouffer de rire jusqu’à ce qu’il ce tourne vers moi et me regarde d’un air sérieux, presque surpris. Il esquisse un sourire et s’avance vers moi de la manière la plus élégante qui soit. On m’avait dit que cet homme était riche, mais je ne l’imaginais pas à ce point. Il est vêtu des soies les plus rares.

ETHAN : mes hommages votre altesse

LAÏLA : bien le bonsoir duc

ETHAN : vous êtes toute en beauté ce soir.

LAÏLA : je vous retourne le compliment

ETHAN : vous n’avez pas l’air très enthousiasmée par cette fête.

LAÏLA : *sourit* j’avoue que ce n’est pas ma tasse de thé. Mais qu’y puis je? Il en va de mon devoir.

ETHAN: de suivre bêtement les règles ?

LAÏLA : vous n’en savez rien du tout.

ETHAN : pourtant votre esprit est ailleurs.

LAÏLA : c’est ce bal qui ne m’intéresse point. Rien de plus. Je vis la vie que j’ai choisis.

ETHAN : ça ne m’en a pas l’air du tout.

LAÏLA : cessez de m’importuner.

J’ai tourné les talons et suis allé me recroqueviller dans la salle de repos des dames pour foudroyer la colère que je ressentais. Pas contre lui, mais contre moi. Comment ai-je pu laisser transparaître mes émotions? Je l’es ai pourtant toujours si bien cachées.

En même tant, mon cœur bat à tout rompre après cette rencontre. Ça m’émeut vraiment d’avoir pu parler à quelqu’un qui me comprenne vraiment. Mais mon plaisir devait se terminer car je dois être et demeurer LAÏLA de Rossé, la princesse parfaite, trop parfaite d’ailleurs pour être réelle.

...

C’était la première fois que quelqu’un perçait le mystère derrière sa vraie nature. Après ce cours instant d’appréhension, elle retourna au bal où elle ne le recroisa plus avant de retourner à ce palais qui était autres fois signe de grandeur et de puissance, forçant le respect et l’admiration de tous.

Le silence glacé de sa chambre était stressant et son esprit était immergé par diverses pensées.

Le matin venu, Ethan demanda à visiter la princesse qui se fit parée à en charmer une montagne, mais ETHAN lui, resta de marbre fasse à une telle beauté.

LAÏLA : vous le faites exprès ?

ETHAN : pardon?

LAÏLA : vous venez me voir et ensuite vous faites semblant de ne pas être intéressé ? Ou alors vous êtes aveugle ?

ETHAN : ni l’un ni l’autre. Le diamant ne fond pas. Même devant le feu le plus brûlant et dans votre cas , vous brillez sans chaleur.

LAÏLA : les hommes...vous vous faites désirer ?

ETHAN : vous êtes tellement narcissique.

LAÏLA : pourquoi êtes vous venu me voir ?

ETHAN : pour discuter

Elle se leva, comme si elle était en proie à une poussée d’adrénaline et se retourna en direction de la sortir.

LAÏLA : tâchez de ne plus m’exaspèrer

ETHAN : soyez sûre que nous nous reverrons.

LAÏLA : c’est ce que nous verrons.

Elle allait s’enfermer dans sa chambre et se plaça devant son miroir. Elle se mis à jouer du doigt ses longues boucles argentées tout en se regardant admirablement, laissant transparaître qu’elle était amoureuse de son propre reflet.

Elle était surprise mais aussi en colère qu’ETHAN ne soit pas comme ces nobles qui ne pouvait que s’extasier devant son incroyable beauté. Cette nouvelle révélation avait attisé quelque chose en elle. Le désir de le conquérir ne serait ce que pour lui rabattre le caquet. Cette chaleur ardente était la vu d’un jeu dangereux qui l’amènera plus loin qu’elle ne pourrait jamais aller portée par ses propres jambes.

Le lendemain matin, elle se réveille toujours époumoner par ces nouveaux sentiments qu’elle venait de découvrir. Elle avait découvert une partie d’elle même qui était avide d’amour.

Aujourd’hui est un nouveau jour. Le ciel brille d’une lueur limpide et le vent conduit les quelques feuilles mortes restante sur le sol vers une mort certaine.

Les gazouillements des oiseaux de couleurs variées se mêlent parfaitement aux claquements des chaussures de tous ceux qui étaient présents au palais pour son anniversaire.

Pendant qu’elle dégustait les amuses bouche , Ryan caster, prince du royaume de castoria s’avança vers elle.

Ryan : mes hommages votre altesse

LAÏLA : c’est un honneur de vous voir à ma cérémonie d’anniversaire votre altesse.

Ryan: plaisir partager. Vous êtes comme le dise les rumeurs éblouissantes

LAÏLA : il en va de même pour vous

Ryan : c’est agréable qu’une aussi belle femme me trouve beau. Mais malheureusement, je dois m’en aller pour une affaire avec votre père.

LAÏLA : oh!!! Puisse t’elle bien se porter

Ryan: merci * sourit *

Lorsqu’il s’en allât , ETHAN vînt a sa rencontre, faisant battre son cœur à tout rompre à la vu de la beauté frappante dont il jouissait à cet instant.

ETHAN : mes salutations votre majesté

LAÏLA : bonsoir duc.

ETHAN : qu’est ce que ça fait d’être la reine de la soirée ?

LAÏLA : je suis la reine de chaque journée, celle ci s’accompagne juste d’une fête et d’une chanson stupide.

ETHAN : waouh.

Elle s’en allât sans le laisser chuter dans ses propos.

ETHAN : elle me plaît de plus en plus. * sourit *

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