Je suis ELIZABETH KANAME, Je suis née le 12 octobre 1984 dans la ville d'OKINAWAau japon, mes parents m’ayant abandonnées bébé, j'ai vécu dans un orphelinat situé dans un trou perdu au fond de la ville avec des enfants qui n’avaient pas plus de chance que moi. À l’âge de six ans, j'étais suffisamment intelligente pour savoir que je n’arrivais pas à m’intégrer, et à cette époque mon seul réconfort était les livres que l’intendante me donnait souvent après m’avoir appris à lire bien sûr, grâce à ces fidèles compagnons je n’ai jamais vraiment ressenti la solitude,, car même avec mon peu de caractère et ma situation d’orpheline j’étais heureuse. Arrivée à ma majorité il m’est venu l’idée d’écrire moi aussi des livres pour partager avec tout mon univers, dans cet état d’esprit je me suis enfermée pendant dix semaines pour écrire mon premier livre « la larme d’Inaa» qui racontait l’histoire d’une fée qui ne pouvait pas voler c’était une histoire fantastique comme je les aime,, car même si je lis de tout je préfère les histoires qui parlent de magie, de princesse, de sorcières et de dragons. J’avoue avoir eu beaucoup de chance pour le lancement de mon livre je ne savais pas comment faire pour qu’on l’achète, mais heureusement pour moi je connaissais une vielle dame qui à proposer de montrer mon livre a une maison d’édition (surement par ce qu’elle voyait mon désespoir )et comme j’aimais écrire chez elle et que c’était une mamie en or je lui est confié mon livre, et à peine quelques semaines après mon livre était sponsorisée par une grande maison d’édition preuve qu’il ne faut jamais sous-estimer les seniors, tout le monde était heureux pour moi mais la plus joyeuse était l’intendante qui malgré ces problèmes de dos sautait dans tout les sens et, c’ est comme ça que ma carrière à décoller.

Quelque mois après j’ai quitté l’orphelinat pour m’installer dans un quartier plus aisé de la même ville c’était pratique et proche de la maison d’édition je suis parti en promettant d’envoyer de l’argent chaque mois pour mes frères et sœurs je touchais assez d’argent car mon livre se vendait comme des petits pains on me disait que c’était un best-seller mais ce n’est que quelque mois après que j’ ai su ce que ça voulait dire et ainsi dans le confort de mon appartement j'ai continué à écrire jusqu’ à ce que je décide de vivre moi aussi une grande histoire d’amour mais la vie ne se passe toujours comme dans les contes en fait pas du tout même. Après avoir atteint me vingt-cinq ans sans partenaire j’ai décidé de poursuivre ma vie toute seul certains trouveraient que j’étais trop radical, mais j’étais vraiment déprimée par tous mes échecs relationnels, après tout j’étais toujours en contact avec l’orphelinat aussi j’avais aussi mes fans je me suis donc complétement concentré sur l’écriture au point de ne même plus sortir de chez moi malgré l’inquiétude de mon éditeur je me suis donné à cœur perdu, et je l’ai regretté plus tard. La veille de mes trente-six ans on m’a découvert un cancer du cœur impossible à traiter, je ne l'aurais surement jamais su si je ne m’étais pas évanouis en pleine rue et retrouver à l’hôpital, j’étais désespérée, mais je me suis battu pour vivre payant tout ce qui était nécessaire, malheureusement à quarante ans j’étais déjà sur assistance respiratoire et à quarante-cinq ans je lâchais mon dernier souffle. On dit que lorsqu’on meurt, on voit ça vie défiler devant ces yeux, on voit le bonheur puis tout les gens qui vont nous pleurer, mais moi je ne voyais que des regrets et de la solitude et dans mes derniers instants j’étais seul avec pour unique compagnie le silence d’une chambre d’hôpital vide.

A ce moment j'ai pensé ''Je vais vraiment mourir comme ça ? C’est donc ça ma fin………''

Mais j’avais tort ce n’était que le début de mon histoire.

NB ; les phrases écrites entre parenthèses sont des pensées des personnages (…) et les mots écrits après une Etoiles (*) sont des expressions faciales, bien ceci étant dit je vous souhaite une bonne immersion dans le monde de Blue Lake…

Dans le silence d'un espace inconnu j'ai ressenti une présence.

....: Quel dommage ! J‘avais beaucoup d’espoir pour toi, mais ce n’est rien.

- ELIZABETH : (Qui est là ? Mais qui me parle ? )

Les profondeurs paisibles de l’eau ou le vide du ciel Elizabeth avait l’impression d’être le vent si calme et paisible malgré l’aspect agréable du moment elle voulait savoir qui parlait et rassembla donc toutes ses forces pour ouvrir les yeux devant elle se trouvait une personne entièrement recouverte d’un drap blanc, comme un reflex de sa bouche sortit les premières questions qui lui passait par l’esprit.

- ELIZABETH : Est-ce que je suis morte ? Est-ce que vous êtes Dieu ?

-………: Hahahahahaha divertissant vraiment divertissant

- ELIZABETH : Hein ??

-………: Excuses moi ma chère, je ne me lasse juste jamais des réactions des humains.

- ELIZABETH : (Des humains ? Alors je dois avoir raison)

-………: Malheureusement tu as vu juste, ou devrai-je plutôt dire heureusement ?

- ELIZABETH : (Je vois, mais où suis-je ? C'est à ça que ressemble le paradis ?)

-………: Mais non pas du tout, nous sommes plutôt dans une sorte de salle d’attente ou si tu préfères une antichambre.

- ELIZABETH : AH d’accord, je me disais aussi que c’était un peu…… Attendez-vous pouvez lire mes pensées ???

-………: Tes pensées ?? Attends je vais t’expliquer, vois-tu ton esprit et cette espace ne font qu’un alors tes pensées ici sont plus que des mots dans un haut parleur, tu comprends ?

- ELIZABETH : Je comprends, mais pourquoi avoir dit qu’heureusement j’étais morte ?

-………: Voilà la question que j’attendais, et bien en mourant en ce moment précis tu as le privilège la première âme de notre nouveau système de réincarnation.

- ELIZABETH : Votre système ?? Attend il y a d’autre Dieux, et des systèmes aussi ?

-………:L’existence ne fonctionne pas de la façon dont les humains pensent, c’est assez compliqué en fait, si je devais tout expliquer on sera encore ici le siècle prochain, mais oui nous sommes plusieurs.

- ELIZABETH : D’accord, mais si vous n’êtes pas seule comment je dois vous appeler ? Je n'ai pas à vous appeler simplement Dieu, si ?

-………: Tu as tout as fait raison alors tu peux m’appeler DI et inutile de me vouvoyer Elizabeth.

- ELIZABETH : Super, alors DI tu peux m’en dire plus sur ce programme de réincarnation s’il te plait ?

-DI…: Bien sûr, il est de coutumes que les âmes des défunts soient triée ett les consciences supprimées pour intégrer de nouveau corps de leur ancien monde comme par exemple la première reine d’Angleterre qui se réincarnerait en boulangère au vingt et unième siècle. Cependant, à cause d’un incident que je dois taire un nouveau monde a été créé et les âmes des anciens mondes mélangés, je veux donc profiter de cette occasion pour tester la réincarnation inter mondes, c'est là que tu interviens.

- ELIZABETH : Donc je suis un cobaye ?

-DI…… : Non je dirais plutôt un prototype, mais sache que rien ne sera fait sans ton accord.

- ELIZABETH : Un nouveau monde, ça veut dire que là-bas il y a des dinosaures ?

-DI…… : Pas nouveau dans le sens préhistorique, mais n’aurait pas dû exister, il y a dans ce monde comme dans tout autre une hiérarchie des peuples et autres, mais ce monde n’a pas réellement d’histoire, car ce sont les Dieux qui forgent l’histoire d’un monde, mais cette fois, ce sera différant.

- ELIZABETH : Comment ça diffèrent ?

-DI…… : Se sera toi Elizabeth qui va créer l’histoire de ce monde ta réincarnation est dans ce but, tu es romancière ta simple présence créera des évènements qui formeront l’histoire de ce monde et nous les Dieux conserveront celle-ci.

- ELIZABETH : En gros tu veux que je fasse ton boulot à ta place.

-DI…… : Haha il y a un peu de ça.

- ELIZABETH : Je veux bien, mais comment on crée l’histoire d’un monde exactement ?

-DI…… : C’est simple impose ta marque, comme pour un livre impose ton existence aux terres, aux gens, a la vie même donc juste amuse-toi je suis sûr que tu trouveras un moyen de forger l’histoire, alors tu acceptes ?

Elizabeth était vraiment à intégrer cette histoire alors pour faire le vide dans sa tête, elle ferma les yeux un moment et eut une vision familière celle de cette chambre vide, elle avait pris sa décision.

- ELIZABETH : J’en suis, je ne sais comment je vais faire, mais j’ai hâte.

-DI…… : Parfait je savais que tu ne me décevrais pas, avant d’y aller as-tu des exigences quant à ta réincarnation ? Un souhait particulier ?

- ELIZABETH : V voyons je veux juste naitre d’une mère aimante le reste n’est pas important ;

-DI…… : Bien

Et à cet instant Elizabeth se retrouva plonger dans l’obscurité avec la sensation de tombé et la voit de DI au loin.

-DI…… : J’espère que tu apprécieras mon cadeau et ne n’inquiète pas je veille sur toi. Après la sensation de chute, elle avait l’impression d’être dans une bulle, mais toujours dans le noir. Des heures, des jours, des mois, elle ne savait plus combien de temps elle était resté dans cette bulle elle savait juste que c’était agréables, puis a un moment elle vit une faible lumière qui l’attirait, une fois arrivé à la fameuse lumière.

-INCONNUE 1 : POUSSEEEEEEEER MADAME POUSEEEER.

-INCONNUE 2 : CONTINUER JE VOIS SA TÊTE.

-INCONUE 1 : ENCORE UN EFFORE ALLLLLEEEEER.

- ELIZABETH :( Qu’est-ce que c’est ??? Qu’est ce qui ce passe ???)

Elizabeth était complètement perdu au milieu de ces gens qui criaient à plein poumons jusqu’ à ce qu’elle comprenne sa situation. Elle était couchée n’arrivait pas à bouger son corps et avait l’impression d’être mouillée et étrangement petite.

-ELIZABETH : (Ah d’accord c’est un accouchement, voilà pourquoi je n’arrive pas à parler)

-INCONNUE 1 :C’EST BON J’AI LE RESTE DU CORPS COURAGE MADAME.

-ELIZABETH : (Oui courage c’est bientôt fini!!)

Quelque temps plus tard on soulevait Elizabeth, l’accouchement était fini. Mais avant de la donner à sa mère mes deux vielles femmes qui pratiquaient l’accouchement fit une pause, elles avaient l’air choquées presque dégoutées.

-INCONNUE 1 : Mais qu’est-ce donc ??

-INCONNUE 2 : D’où viennent ces affreuses taches sur son visage ??

-ELIZABETH : (Quoi ?? Où ???)

-INCONNUE 1 : Mais ce n’est pas le plus important, pourquoi cette enfant ne pleure-t-elle pas ?

La première vielle femme vit couché Elizabeth et lui donna une claque sur les fesses, elle poussa un cri surprise par la douleur mais voyant que la sage-femme allait recommencer elle commença à crier, à pleurer aussi fort que sa petite bouche le permettait, voyant la sage-femme satisfaite elle arrêta petite à petit de crier.

-ELIZABETH : (Ses femmes sont folles ça ne va pas la tête de frapper un bébé aussi fort)Une fois le nouveau-né calme elles donnèrent celui-ci à la mère qui venait de reprendre conscience, Elizabeth s’attendait également à des remarques de sa part sur ces fameuses taches mais la femme c’est contenté de la regarder attentivement plus pleura toute en souriant, en remerciant les vielles pour l’avoir aidé à maitre au monde la plus belle des petites filles.

-ELIZABETH : (Waouh quand on dit que l’amour rend aveugles, mais sérieusement elle m’a surprise, les sages-femmes par contre on l’air plus choquées que moi)

Après une mère de larmes venant de sa mère on couvrir Elizabeth avec un drap et celle-ci s’endormi. Fatiguées d’avoir gardée les yeux ouverts aussi longtemps elle est sûr d’avoir dormi plusieurs heures, à son réveille elle était toujours dans les mains de sa mère et, cette journée passa ainsi.Deux mois plus tard Elizabeth pouvait voir clairement ce qui lui procurait du soulagement et du choc, pourquoi du choc ? Premièrement dans ce monde la magie existe et elle est née dans un village pommée du nom de SYLVARIA, et deuxièmement elle se rendit compte que sa mère était aimante peut être même trop aimante au moindre son de sa part elle se précipitait pour la scanné sur toute les coutures, mais ce n’était pas le problème en plus d’être très pauvre Elisa NOÏTRA ''sa mère'' était célibataire donc sans soutient et faisait plusieurs petits boulot avec Elizabeth à charge.

-ELIZABETH : (Sérieusement DI quel arnaque, j’ai demandé une mère aimante mais j’aurais préféré qu’elle soit dans une bonne situation financière au moins ou aidé par un partenaire, en plus on vit dans les bas vont de la ville encore pire que l’endroit où je suis née avant)

En effet les rues du quartier ou vivait Elisa était toujours entouré d’une atmosphère macabre et froide, Elizabeth trouvait également que les gens dans la rue ressemblaient à des zombis, mais autre chose l’alarmait elle avait déjà deux mois et sa mère était incapable de lui trouver un prénom normal chaque soirs depuis deux mois c’est la même histoire.

-ELISA : Bon ma chérie ce soir je vais y arrivée.

-ELIZABETH : (Et c’est reparti)

-ELISA : je vais t’appeler PILLONIE.

-ELIZABETH : (QUOI ?? Est-ce que c’est seulement un prénom ?? )

-ELISA : Non non non pas assez original alors SMINDY, VELONA, PARDIMA, etc.

Et c’était ainsi chaque soir et jusqu’aux deux ans d’Elizabeth sa mère l’appelait toujours ma chérie ou mon cœur en sucre, mais une nuit pendant que Elisa dormait par terre comme d’habitude pour laisser le petite matelas à sa fille Elizabeth se dit que si sa mère est en difficulté c’est son devoir de l’aider après tout c’est sa une famille elle se promit donc que dès le lendemain elle aidera sa mère à trouve un beau prénom.

-ELIZABETH : (Maintenant que j’y pense moi non plus je n’ai pas trop d’inspiration pour les prénoms ça me gênait déjà quand j’étais écrivaine, et même si je trouve un prénom comme le dire à maman je ne parle pas encore correctement bon on verra demain)

.Depuis le jour où un des employeurs d’Elisa avait dit qu’elle ne voulait pas voir d’enfant chez elle celle-ci laissait à contre cœur sa fille à la maison avant d’aller travaillé et était toujours très heureuse de retrouver sa petite fille exactement où elle la laissait, et c’était devenue une routine pour elles. Ce jour la profitant de l’absence de sa mère Elisabeth se creusa les méninges pour trouver un prénom.

-ELIZABETH : (Voyons sa ferait bizarre de m’appeler de nouveau Elizabeth étant donné que ma mère s’appelle Elisa, comment faire ? J’y pense c’est la première fois que cherche un prénom pour moi autre que celui que j’avais, attend première fois ?? Je sais, je sais comment je veux m’appeler, plus qu’à trouver comment le dire)

Le soleil commençait à se couché c’était bientôt l’heure du retour de sa mère et Elisabeth avait une idée. C’est vrai qu’elle ne pouvait pas parler mais rien ne l’empêchait d’écrire, alors elle chercha dans toute la maison de quoi écrire ça faisait déjà une demi-heure et ses petits pieds ne pouvaient plus la porter et au moment d’abandonner elle vit une planche du sol qui était légèrement au-dessus des autres prise de curiosité elle dira la planche de toute ses forces et fini par l’ouvrir totalement .Plus bas il y avait une sorte de petite trappe ou était caché un cahier , une plume ,de l’ ancre et un morceau de miroir.

-ELIZABETH : (Bingo !! Juste ce qui me fallait, je me demande ce que ça faisait là, je ne pense pas que ce soit à maman …Peut importer)

Elle avait juste le temps d’arraché une feuille du cahier et de remettre tout à sa place avant l’arrivée de sa mère, mais le miroir l’intriguait alors elle décida de jeter un coup d’œil, et c’était le choc elle avait presque oublié cette histoire de taches sur le visage elle était défigurer d’épaisses taches sombres sur pratiquement tout le visage.

-ELIZABETH : (Oh mon DIEU, par tous les saint c’est quoi ça ??? C’est ça que maman voit à chaque fois qu’elle me regarde ??? Et elle me dit que je suis la plus jolie mais pourtant je suis … HORRIBLE. Du calme, pas de panique maman n’a pas de tachés donc ce n’est pas génétique n’est-ce pas ? )

Avant qu’elle ne s’en rende compte sa mère était de retour, et surprise par sa venue Elisabeth poussa le miroir sous l’étagère et sourit à sa mère qui comme à son habitude vint embrasser sa fille après le travail.

-ELISA : Ma fille ma magnifique fille je suis enfin rentrée, comment était ta journée ??

-ELIZABETH : Bien.

-ELISA : Tu es tellement adorable, je t’aime fort et toi aussi tu m’aimes fort ?

-ELIZABETH : Oui, moi zaussi He t’aime (Arrêt tu me sers trop fort)

-ELISA : Je peux rester comme ça des heures mais tu dois avoir faim, je vais cuisiner.

-ELIZABETH : Attendre maman ze vut dize coze (Mince fichu langue de bébé mais c’est le mieux que je puisse faire)

-ELISA : Tu as quelque chose à me dire c’est ça ??

-ELIZABETH : Oui, oui

-ELISA : Bien sur ma chérie dis-moi vite.

-ELIZABETH : Humm (Si je dois le dire avec ma bouche ça ne va pas le faire)

Consciente de cela elle posa la feuille de papier par terre devant sa mère et commença à écrire ce qu’elle voulait dire.

-ELISA : Incroyable ma chérie sait écrire, mais tu n’as que deux ans tu es un vraie génie.

Une fois fini elle tendit la feuille a sa mère il était écrit je veux m’appeler EVE.ʼʼ

-ELISA : EVE ?? C’est ….C’est magnifique comme prénom ma fille tu es vraiment un génie !!

-ELIZABETH : (Ouf heureusement qu’elle aime, je me disais bien tout à l’heure que dans mon ancienne vie même sur les réseaux j’utilisais toujours ELIZABETH c’est donc la première fois que j’utilise un autre prénom alors j’ai pensé à la première femme sur terre selon la bible pas bête n’est-ce pas)

-ELISA : Ma fille s’appelle EVE NOÏTRA.

Pour Elizabeth qui n’avait jamais vraiment eut de famille c’était une sensation étrange d’être chouchouter, aimer au point de s’affamer pour qu’elle est à manger ou encore dormir sur le sol pour qu’elle ait un endroit confortable ou dormir. Ce soir la pendant que sa mère cuisinait un bouillon avec les restes de repas qu’elle avait ramené de son travaille en chantant joyeusement Elizabeth essayait d’assimiler sa nouvelle vie, et ses nouveaux sentiment.

-EVE : (Désormais je suis EVE NOITRA et j’ai une famille, je sais maintenant ce que je vais faire dans ce monde et comment je vais écrire l’histoire. je sens que je vais bien m’amuser).