coucouu comment allez vous ? ceci est mon premier livre et j'espère de tout coeur qu'il vous plaira, en tout cas moi je l'adore.

maintenant passons au présentation des personnages

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présentation des personnages :

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Jisoo Cheong :

âge : 26ans

aime : lire, les enfants, les animaux

n'aime pas : être celibataire

Ji-woo cha( meilleure amie de Jisoo)

âge : 27ans

signe astro : taureau

aime : les mecs, sa meilleure amie, le weekend

n'aime pas : les chats, être sobre un weekend

Bora Kang(ex femme du PDG)

âge : 32ans

signe astro : scorpion

aime : les marques de luxes, sa fille, son agence de beauté, sa popularité

n'aime pas : son mariage raté, son père, et ses potentiels concurrents

Ha-rin(petite soeur de Jisoo : lycéenne)

âge : 18ans

signe astro : vierge

aime : sa soeur, ses amis, son père et la bouffe

n'aime pas : les brocolis

Iseul Kim( fille du PDG)

âge : 4ans

signe astro : vierge

aime : sa famille, sa nounou, ses amis et les desserts

n'aime pas : être séparer de ses parents

Min-ju kim( PDG)

âge : 35ans

Sang-ook (grand frère de Min-ju jumeaux)

âge : 35 ans

et enfin

Lola Dubois(petite amie de Jiwoo)

âge : 22ans



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voilà c'est tout pour la présentation des personnages. au fur et a mesure que l'histoire va progresser. je vais en rajouter d'autres, en tout cas j'espère que la suite vous plaira ur ce a laprochaine

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Prologue :

pdv ? ? ? ? :

Si on m’avait dit que mon mariage finirait ainsi, sur une note aussi amère, je n’y aurais jamais cru.

J’ai passé plus de la moitié de ma vie à ses côtés, à croire, à espérer, à aimer. Accrochée aux bras de Bora comme à une certitude, convaincue que ce que nous avions était rare, précieux, indestructible. Nous avions l’air d’un couple solide — presque envié. Un amour tranquille, peut-être, mais sincère. Du moins, c’est ce que je pensais.

Jamais je n’aurais imaginé que tout cela n’était que mise en scène. Une belle comédie savamment orchestrée.

Alors… que voulaient dire tous ces regards remplis de tendresse ? Ces silences complices, ces gestes doux, ces années passées à parler d’avenir ? Que représentaient-ils, si ce n’était pas de l’amour ?

Elle me l’a dit droit dans les yeux, sans trembler, sans détour, presque soulagée de pouvoir enfin tout déballer :

"Je ne t’ai jamais aimé. Tu étais un tremplin. Ton nom, ta richesse, ton statut… c’est tout ce qui m’importait. Ton père et moi avions un accord. Je te donnais un enfant, un héritier pour l’entreprise familiale, et en échange, il m’ouvrait les portes du monde des affaires. Je devais rester jusqu’à ce que l’enfant ait quatre ans. Et maintenant qu’Iseul les a, je peux partir. Te quitter. T’oublier."

Ses mots m’ont transpercé. Un coup de poignard lent, précis, fatal.

Douze ans… Douze années de ma vie réduites à un simple contrat.

Et moi, idiot que j’étais, je pensais que chaque jour passé à ses côtés comptait. Je me disais qu’on traversait des tempêtes ensemble, qu’on se soutenait, qu’on bâtissait quelque chose de solide.

Mais elle, elle comptait les jours. Pas ceux qu’on vivait. Ceux qu’il lui restait à tenir.

Quand la porte s’est refermée derrière elle, avec ce calme cruel, j’ai compris que je ne l’avais jamais vraiment connue.

Et ce qui me brise le plus, ce n’est pas qu’elle soit partie.

C’est de me rendre compte que tout ce que j’ai ressenti pendant toutes ces années… je l’ai vécu seul.

Un vide insupportable, glacial. Mais au milieu de ce néant, il y avait elle. Ma fille. Ma petite fille, avec ses yeux trop grands, trop lucides pour son âge, et ce regard qui semble déjà tout comprendre, même quand elle ne dit rien.

Je me suis effondré dans la cuisine, incapable de respirer. J’aurais voulu hurler, casser quelque chose, tout effacer. Mais une petite main est venue attraper la mienne. Et d’une voix douce, presque timide, elle m’a simplement demandé :

"Papa, elle revient quand maman ?"

Je n’ai rien su répondre.

Le mensonge était inutile.

La vérité, cruelle.

Alors je l’ai pris dans mes bras, fort, trop forte.

Depuis, je me raccroche à elle comme à une bouée.

elle est ce qu’il me reste de Bora, oui — mais surtout, elle est ce qu’il me reste de moi. La seule chose vraie, sincère, née de cette relation bâtie sur le mensonge.

Iseul me regarde parfois avec cette inquiétude propre aux enfants qui sentent que quelque chose s’est brisé sans pouvoir le nommer. elle ne comprend pas non plus pourquoi, parfois, je pleure en silence la nuit, le dos tourné à la porte de sa chambre.

Mais je sais une chose : je ne lui ferai jamais porter le poids de ce passé.

elle ne sera jamais une pièce d’échange, jamais un pion sur l’échiquier de la réussite.

elle est ma fille. Mon sang.

Et même si je suis tombé, même si mon cœur est en ruines, je me relèverai. Pour fillei. Pour nous deux.

Parce que désormais, il n’y a plus de nous avec Bora.

Il n’y a plus qu’un nous entre elle et moi.