- Il y a 22 ans de cela, mon père m'a donné un objet pour le moins étrange, il a dit que ça appartenait à la famille de ma mère. Il m'a aussi dit, qu'il y avait à l'intérieur, une chose très précieuse et inestimable.

Après ça, nous sommes partis de ce beau village d'Afrique, pour l'Europe. Mes amis et toutes les personnes que je connaissais, me manquaient. C'est lorsque que j'ai fait la rencontre d'un nouvel ami que j'ai ouvert le coffre.

Et pour le protéger, je lui ai remis la clé et j'ai gardé le coffre. Malheureusement, nous avons arrêté de nous contacter après être partis à l'étranger pour mes études. J'ai essayé de le retrouver, mais en vain.

- Écoute-moi attentivement Soraya, tu dois protéger ce coffre, quoi qu'il arrive... Tu m'entends ?

La petite était inquiète face à l'habitude de sa mère et lui demanda: " Maman, qu'y a t'il dans ce coffre ?"

Dans un silence intense, sa mère lui répond :

"Il y a dans ce coffre d'ivoire, une chose à la fois dangereuse, maudite et merveilleuse...Ma mère en était la gardienne avant moi. Et c'est ton tour à présent. Je t'aime mon trésor "

Sur ces mots, la femme pris sa fille dans ses bras et la jeta par la fenêtre.

Tic tic tic tic tic C'était l'alarme qui donnait. La jeune femme sur le lit se réveille. Au même moment, Une plus âgée se tient debout, devant elle.

- Ma chérie tu es fatiguée, tu peux encore dormir c'est le week-end.

- Le week-end ? Hooooo non. J'avais complétement oublié. Je dois aller voire Naya pour notre... Tu sais, ce dont je t'ai parlé ?

- Oui je m'en souviens. Ton petit déjeuner et sur la table de la cuisine. Ne l'oublie pas cette fois.

- D'accord, je te le promets... Votre voyage est prévu pour quand finalement ?

- Pour dans deux semaines. Pourras gérer la maison, l'entreprise et l'école ?

- Bien sûr ma tante, ce n'est pas un problème, je t'assure. On pourrait continuer la discussion ce soir ?

- Passes une bonne journée ma chérie.

Soraya se précipite dans la douche. Une heure plus tard, elle est prête à sortir de la mais, et interrompu par Adrien, son garde du corps.

- Mademoiselle, où allez-vous ? Je pourrais vous accompagner. C'est pour ça que je suis là.

Elle roula des yeux et lui dit : " Adrien, je suis une grande fille de dix-huit ans maintenant, tu pourrais me lâcher un peu ? "

De suite, Adrien se dirige vers une voiture du garage et touche l'une des voitures de luxe, une Aurus senat.

"On y va ?" Demande-t-il tout joyeux.

Juste pour cette fois alors.

Sur le chemin, elle n'arrêtait pas de ce poser des questions "Pourquoi j'ai refait ce rêve ?" Qu'y a-t-il à l'intérieur ?". Elle était tellement concentrée, qu'elle n'entendit même pas Adrien parler.

- Mademoiselle... Mademoiselle... Mademoiselle Soraya ?

- Oui ?

- Nous sommes arrivés.

- Soraya ma chérie !! Je suis tellement contente de te voir.

"Bonjour Adrien" dit-elle en faisant signe de la main, toute Joyeuse.

- Mes parents nous attendent allons y !!!

-Doucement Naya. Je vais tomber si tu me pousse trop.

Les rires résonnaient dans la pièce. Les parents de Naya aimaient beaucoup Saraya, car elle était une bonne personne pour eux. Ils font partie de ces personnes-là, qui ne te juge pas dans la société, faute d'absence de parents. Au contraire, ils l'ont accueil à bras ouverts.

Et c'est autour de la table qu'ils engagèrent leur discussion.

- Alors les filles, quand prévoyez-vous de faire cette fameuse sortie shopping ?

- Papa ! C'est des trucs de filles ça.

- Et alors ? Tu es gênée princesse ?

- Pas du tout monsieur.

- Et maintenant, place au dessert. Rafael, mon chéri, tu peux venir m'aider ?

- Je viens tout de suite Maïra.

Maintenant qu'elles étaient seules à table, Naya pris la parole.

- Tu sais, pour la robe que je voulais acheter, tu n'imagineras jamais ce qui s'est passé.

- Raconte.

-Théo l'a acheté pour Mandie.

- Naya ! Ça fait longtemps que tu aurais dû le quitter. Tu n'es pas heureuse avec lui. En plus, c'est toi qui lui offres tout ce dont il a besoin. Excuse-moi, mais tu es aveuglé. Rends-toi à l'évidence, il ne t'aime pas.

Quelles que minutes plutard, le chef cuisinier les apporte des flancs comme dessert.

- Et voilà pour vous mesdemoiselles !

- Merci !

La soirée se passa très bien, après quelques moments de repos, Soyara fit signe de son départ. Dehors, la nuit était déjà tombée et Adrien l'attendait dans la voiture.

- Fait bonne route princesse.

- Merci monsieur.

- Ha ! Saraya ! C'est un cadeau pour ta tante, je le lui ai acheté pendant mon voyage avec Rafael.

- Merci madame Maïra. Bonne soirée !

Elle se dirigea à la voiture et Adrien lui ouvrit la portière.

- Direction la maison mademoiselle ?

- Non ! Allons à l'entreprise, je dois, voire mon oncle. Où est ma tablette ?

- Elle est là.

- Merci.

Même si Soraya était sur sa tablette, elle ressentait le regard d'Adrien depuis le rétroviseur intérieur de la voiture.

- Tu me dévores du regard ? Dis-moi Adrien, je t'intéresse tant que ça ? Tu m'aimes peut-être ? Où tu veux juste coucher avec moi ?

Sur ces mots, il se déstabilisa et ne dis plus rien, jusqu'à leur arrivée à l'entreprise.

- Mademoiselle... Nous sommes arrivés à bon port. Et sachez que vous n'êtes pas du tout mon genre, vous ne m'intéressez pas le moins du monde. Sûr ce mademoiselle, permettez moi de vous escorté.

Ils entrèrent par la porte du parking, pour faire plus discret. Mais, malheureusement, alors qu'ils étaient dans l'ascenseur, ils rencontrèrent deux hommes. L'un d'eux était plus grand et plus soigner.

Au fait, je ne vous ai pas dit. L'une de ses qualités, qui était aussi l'une de ses faiblesses était une chose qu'elle avait reçue de sa mère. Elle était comme une personne sortie tout droit d'un conte de fées et toutes les personnes qui la voyaient, tombaient tous sur son charme. En effet, en plus de posséder une intelligence remarquable, elle était d'une beauté cruelle et toxique.

Le silence règne dans l'ascenseur alors que Soraya et le monsieur se regardèrent. Ni Adrien ni même le binôme du monsieur ne pouvaient ouvrir leurs bouches.

" Enchantée. Je m'appelle Soraya...Soraya Dalen" Dit-elle, le sourire aux lèvres.

Vous savez que le sourire d'une femme peut avoir des effets dangereux ? En tout cas, Soraya, elle commençait à s'imprégner de cet homme qu'elle rencontre peut-être pour la première fois.

Il lui tendit la main. On ne pouvait voir que son sourire, car il portait une cassette.

- Enchanté...Soraya Dalen. C'est un plaisir de faire votre connaissance. Je m'appelle Eliam, Eliam Sorel. Et c'est un véritable honneur de vous rencontrer.

Les portes s'ouvrirent et tout les quatre sortirent de l'ascenseur.

- J'espère que nous nous reverrons prochainement Eliam.

"Moi de même." Lui répond t-elle avant de prendre les devants avec Adrien.

- C'est un jeu extrêmement dangereux auquel tu joues Eliam, mon ami.

...- Je le sais. Mais, il n'y a pas d'autres options que...

celle-là.

Soraya se précipite dans le bureau de Claude.

-Mon oncle, bonsoir.

- Bonsoir. Que me vaut cette visite ? Ne me dis pas que tu as fini ton argent ?

- Ce n'est pas ça... Ma tante et toi allez partir en voyage et moi, je suis grande maintenant, tu ne peux m'envoyer une baby-sitter quand même. Je ne ferai pas de bêtises si reste seule.

- Soraya, nous avons déjà eu cette discussion. Et c'est bien trop dangereux pour toi de rester seule. Tu oublies, tu oublies que la semaine dernière, vous avez failli vous faire enlever avec Naya ?

- Je n'es pas oublier crois moi.

Le secrétaire vient faire signe à Claude de la présence d'un visiteur.

- Nous en reparlerons à la maison ma puce. Tu peux m'attendre en bas ?

Agacée, elle est sortie du bureau d'un air capricieux. En marchant elle bouscule une personne. C'était le même homme que dans l'ascenseur.

- Encore vous ?

- Mademoiselle bonsoir à vous. Je suis m'excuse d'avance.

- Pourquoi ça ?

- Car, je n'ai pas le temps de signer des autographes. Mais bon, je peux faire exception uniquement pour toi.

D'un ton provocateur, elle s'avance vers lui e lui pointe du doigt et lui dit en murmurant "Je ne suis pas sûr que vous pourrez m'aider sur ce point, je me fait faire des tatouages uniquement à des endroits peu visible" puis lui fait un clin d'œil.

- Vous voulez toujours me faire des autographes ?

Eliam ne pu rien dire sur le coup et le secrétaire lui fit signe qu'il pouvait rentrer dans le bureau.

- Monsieur vous attend. Je vous prie de me suivre.

Il regarde une fois de plus, cette belle jeune femme qui s'éloigne de lui petit à petit et se retourne.

Des heures s'étaient écoulées et les deux jeunes gens s'étaient endormi sur les canapés du salon de réunion.

Dans le bureau

- Eliam pourquoi tu es revenu ici ? Je croyais que tu avais tout abandonner.

-J'aurais aimé que ce soit les cas et ça ne l'es pas. Malik va bientôt revenir ici et les choses risques de devenir plus difficile. Sans oublier cet homme mystérieux, Mr. V Tu y crois toi ?

- On ne connait toujours pas l'identité de cet homme et c'est risquer pour Soraya. Toutefois, je ne peux pas manquer cette fois. Tu pourras la protéger ?

- La protéger n'est pas un problème. Je suis un homme, Claude. Et cet homme que je suis l'a toujours aimé. Je pourrais lui faire du mal. Et ce n'est pas ce que je veux.

- C'est plutôt pour toi que je m'inquiète. Tu ne pourras pas lui résister très longtemps.