/ Bonjour 😘 déj je veux vous parler de mes petits signes de langage écrit. Lorsque que je mets / c'est que c'est moi qui parle. Quand c'est /_ C'est que c'est la dernière phrase précédente du chapitre dernier, si la phrase étai intéressante, bien sûr ! Quand c'est en italique, c'est les penser évidemment et quand c'est en gras, c'est les messages ou les mots importants ou lorsque j'annonce le PDV, d'ailleurs le PDV c'est le point de vue. Voilà ! Je crois que c'est tout ! Je sais que bcp de, c'est chose son basique, mais je préfère le dire pour que tout le monde comprenne. Bonne lecture 😘 /
Commençons par le commencement,
Je m'appelle Nagasaki kourougami, je suis étudiant en droit et ce que j'aime le plus, c'est la musique. Elle me fait vibrer. Je n'aime pas les personnes arrogantes, riches et égocentriques.
Ce soir, je suis invité à une soirée par mon meilleur ami Sunjin, c'est mon ami depuis la maternelle et son goût pour la fête n'a pas changé même après l'obtention de son diplôme. Il m'invite à la fête qu'organise son cousin si j'ai bien compris. Je déteste les fêtes de ce genre là, il y a des drogués ou des gens en train de le faire dans chaque petit coin un peu sombre. Ça me dégoûte, mais je fais un effort pour mon ami, et décide de mettre une chemise blanche que j'ouvre un peu plus que d'habitude, avec un pantalon noir et mes baskets habituelles. Un petit coup de parfum et je suis fin prêt !
J'attends mon ami devant chez lui. Il est des heures à se préparer ! Il a cru qu'on allait se déhancher sur le tapis rouge de Cannes ou bien qu'on allait faire un concert a Hollywood ?
Il sort enfin de chez lui, il a mis un t-shirt noir, moulant qui fait ressortir les efforts qu'il a fournis à la salle. Ça lui va vraiment bien, pendant un instant, je jalouse son corps musclé. Le mien est maigre et je n'ai qu'un début d'abdos même pas encore fini !
Lorsque nous arrivons, je peux constater que la personne qui organise cette fête est à l'aise financièrement. Sa maison est immense et fait sûrement le double de la mienne. Mon ami entre, sans même avoir toqué, et je le suis, surpris par son attitude impolie. Il tchèque quelqu'un et lui souhaite un joyeux anniversaire, je comprends que c'est lui l'auteur de cette fête. Je souris timidement, ne sachant pas trop comment agir pendant que mon ami entame une conversation avec cet inconnu. Je ne veux pas déranger alors je me perds parmi la foule et arrive proche de ce qui semble être le " bar ".
PDV Xiao Jin :
Je m'ennuie à cette fête de merde. Je vais aller repérer ma prochaine proie. Je le vois. Il est beau, mignon et semble heureux. Il danse, seul, mais il danse joyeusement. Mon sens développé, me fait sentir son odeur si douce. Pourquoi sens-t-il aussi bon ? Qui est-il ?
PDV Nagasaki kourougami :
Je prends un whisky/coca et je rejoins une petite foule de personnes dansant joyeusement. Je me sens observer, mais je ne vois personne lorsque je me retourne. C'est étrange et ça me met mal à l'aise. Je décide donc d'arrêter de danser et d'aller à la rencontre de mon ami. Mais quand j'arrive là où je l'ai quitté tout à l'heure, il n'y est plus. Le sang me monte au cerveau et des sueurs froides coulent le long de ma colonne vertébrale. Où est-il passé ? J'ai réussi à le perdre ! Et c'est de ma faute en plus !
Je marche rapidement me frayant un chemin vers le jardin, je ne le vois nulle part. Je cherche encore, je crois que je le cherche depuis au moins une heure ! Où est-il allé, bon sang ! Il n'est quand même pas rentré ?! Non ! Il ne me ferait pas ça.
Je monte même à l'étage pour voir s'il n'y serait pas. Personne. Je m'apprête à redescendre lorsqu'une main ferme m'attrape par le bras.
Je me retourne et vois un homme, grand, charismatique à l'allure sûr de lui, me dévisager.
Qu'est-ce qu'il me veut ?
— Hé ! Jolie Garçon ! Je te vois chercher quelqu'un depuis tout à l'heure, de qui s'agit-il ?
— Euh, .... désolée...mais, je... se ne sont pas vraiment tes affaires, non ?
— Je peux peut-être t'aider ?
— Mon ami s'appelle Sunjin,...si... si tu le connais ou que tu l'a vu quelque part, dit le moi... s'il te plaît.
— Ton ami est parti avec un homme tout à l'heure, ne t'inquiètes pas, l'homme en question est mon ami, il s'occupera bien du tien.
— Euh... je...je préfère que tu me dises où sont-ils ?
— D'accord, suis-moi !
Je le suis sans faire d'histoire, car cet homme me fait peur. Il a une aura dominante, puissante, qui te glace le sang lorsqu'il s'approche de trop près. Il me dirige parmi ces nombreux couloirs remplis de chambre. Il tire sur la poignée d'une d'entre elle. C'est une chambre, rangée et ordonnée avec des couleurs basiques. J'aime bien. Mais je me demande pourquoi m'a-t-il emmené dans une chambre ? Je lui ai demandé de m'apporter mon ami et le sien, mais ils n'y sont pas. Je doute de lui. J'essaie de reculer pour partie, mais il le remarque et m'attrape par les poignées. Impuissant, je ne dis rien. Il plonge son regard dans le mien et se rapproche, lentement de moi. Je recule, mais il continue d'avancer et je finis par être piégé contre la porte d'entrée. Son aura dominante me fait taire. Je n'ose plus bouger.
Ces lèvres ne sont plus qu'à quelques centimètres des miennes et son souffle chaud contre mon cou et mes lèvres me donne des frissons dans le dos. J'essaie de résister mais malgré moi...je veux qu'il m'embrasse.
/ Bonjour 😊 Alors ne vous inquiété pas je ne parlerai pas souvent, mais là c'est le début de l'histoire alors j'aimerais me présenter ! J'ai 14 ans, et j'essaie d'écrire, je poste différentes histoires sur plusieurs plateformes, alors je met quelques fois un peu de temps. D'ailleurs pour les fautes d'orthographe je suis vraiment désolée, je ne suis pas très douée pour ça. Merci de lire en tt cas 🩷 N'hésitez pas a me suggérer des améliorations, dans le respect bien sûr ☺️ Voilà ! Bonne lecture /
/Ces lèvres ne sont plus qu'à quelques centimètres des miennes et son souffle chaud contre mon cou et mes lèvres me donne des frissons dans le dos. Je veux qu'il m'embrasse._/
PDV Nagasaki kourougami :
Il entrouvre ses lèvres, comme pour m'inviter à les goûter. Et je le fais. Elles sont douces, brûlantes, enivrantes. Rapidement, il prend le dessus, dominant notre baiser. Ses mains se posent sur ma taille, glissent sur mes hanches, puis pressent le bas de mon dos. Mon corps se cambre naturellement sous sa pression.
Quand sa main passe sous mon t-shirt, je frissonne. Il descend lentement, jusqu’à atteindre le bord de mon pantalon. Il glisse ses doigts sous mon caleçon... Mon souffle se coupe.
Je ne le repousse pas. J’en ai envie. Terriblement.
Il me pousse doucement sur le lit, puis s’installe au-dessus de moi. Son regard me dévore. On se déshabille, lentement, comme si chaque centimètre de peau dévoilé comptait. Il me fait le sucer. Il tire légèrement mes cheveux, m'imposant un rythme profond. Je m'exécute, troublé, électrisé.
Avant que je puisse jouir, il m'arrête, me retourne, appuie mon torse contre le matelas et soulève mes hanches. Deux doigts s'enfoncent en moi, lentement. Un gémissement m’échappe malgré moi.
— Tiens encore un peu, mon ange...
— Je... je vais venir...
— Tu n'en as pas le droit.
Ses doigts se retirent, remplacés par son sexe, bien plus large. Mon corps le reconnaît aussitôt. Chaque va-et-vient me fait haleter, pleurer, gémir. C’est intense. C’est trop. Il va si profondément...
Des larmes roulent sur mes joues. Pas de douleur, non. Juste l'excès de plaisir.
Il approche sa bouche de mon oreille et murmure :
— Ton visage est magnifique quand je suis en toi...
Cette fois, je ne rougis plus d’excitation, mais de gêne. Même si... j’aime ça. On vient ensemble, dans un dernier soupir mêlé. Et je sombre aussitôt dans le sommeil.
PDV Xiao Jin :
J’ai d’abord cru rêver... mais cette odeur, si sucrée, si délicieuse... Je ne pouvais pas me tromper. C’était celle d’un sang pur. L’un des rares êtres au sang divin. Il n’en naît que 22 par décennie dans le monde entier. Et maintenant, j’en ai un dans mon lit. Tous les vampires se les arrachent. Quitte à se faire les pires crasses possibles ; même entre frères. J'ai trouvé un sang pur ! Je le veux. Et je l'aurais ! Cet être si mignon, deviendra mon sang pur, quand je l'aurai mordu. Car lorsqu'un vampire mort un sang pur celui-ci est destiné à lui appartenir et à être sa " réserve de sang " parce qu'il deviendra à son tour immortel, ou du moins, il ne mourra pas, mais si on le tue il meurt. C'est aussi simple que ça. Enfin, soit. Je regrette à présent d'être parti si tôt ce matin, j'aurais pu sentir sa douce odeur un peu plus longtemps. Son odeur est si sucrée et douce, comme de la barbe à papa ou quelque chose dans se genre là.
PDV Nagasaki kourougami :
Je me réveille par le son des oiseaux et du rayon de soleil qui éclaire toute la chambre. Lorsque je me réveille, il n'y a plus personne à mes côtés. On pourrait presque croire qu'il ne sait rien passer cette nuit-là, mais mon mal de bas dos me le rappelle. Je sors du lit, et me prépare dans la salle de bain, appartenant à cette suite parentale. Une fois que j'ai fini de me laver je descends les escaliers. Je me fais discret et sors de la maison qui n'est pas là mienne pendant que ces occupants regardent ailleurs.
Je pousse doucement la porte d’entrée et à peine ai-je mis un pied dans le salon que ma sœur me saute littéralement dessus.
— T’étais où toute la nuit ?! T’as pas répondu à mes messages ! Et c’est qui ce gars avec qui t’étais, hein ?! Raconte tout !
Je lève les yeux au ciel, un peu fatigué.
— Calme-toi... J’ai dormi chez un ami. Rien de grave.
— "Un ami" ? Tu crois que je vais gober ça ?! Tu pues le sexe et t’as des cernes jusqu’aux genoux. C’était pas une soirée pyjama, là.
Je soupire, un sourire en coin. Elle me connaît trop bien.
— Bon, d’accord... J’ai passé la nuit avec un mec.
Elle ouvre grand les yeux, faussement choquée.
— QUOI ?! Et tu me dis ça comme si t’avais juste oublié d’acheter du lait ?! Il est comment ? Beau gosse ? C’est sérieux ? Il t’a fait quoi ?! Raaaah, je veux les détails !
Je ris, un peu gêné en repensant à cette nuit torride.
— Il était canon. Grand, charismatique, un regard à te foutre des frissons. Et… comment dire... très doué avec ses mains. Et le reste.
Elle pousse un cri étouffé, à moitié entre l’hystérie et l’admiration.
— Mais t’es une vraie catin, toi ! T’as pas perdu de temps !
Je hausse les épaules.
— Qu’est-ce que je te dise ? C’était une des meilleures nuits de ma vie. Si je le recroise… je crois que je replonge direct.
— Fais gaffe à pas t’attacher, hein. Tu le reverras ?
Je détourne un peu le regard.
— Aucune idée… Il était déjà parti ce matin.
Elle me dévisage, plus sérieuse.
— Hmm… t’es pas du genre à faire des plans d’un soir toi. Tu l’as dans la tête, hein ?
Je souris, un peu triste malgré moi.
— Peut-être. Ouais.
L’après-midi passe tranquillement. Je reste affalé sur le canapé, une série à moitié regardée en fond, le regard perdu dans le vide. Je pense à lui.
Je repasse en boucle ce qu’on a fait. Ce qu’il m’a dit. Ce qu’il m’a fait ressentir. Mon corps en garde encore les traces… et mon cœur aussi, peut-être.
Je me lève pour aller boire un verre d’eau, et en croisant mon reflet dans la vitre, je remarque un détail.
Une petite marque.
Discrète. Mais bien là. À la base de mon cou. Une morsure ?
Je fronce les sourcils. Je ne me souviens pas qu’il m’ait mordu. Et pourtant... ça y ressemble. Deux petits points rouges, presque parfaits. Je passe les doigts dessus. Aucune douleur. Juste une étrange chaleur.
Je secoue la tête.
Non. Je dois me faire des idées.
Mais quelque chose me dit que cette histoire est loin d’être terminée.
PDV Nagasaki kourougami :
Hier matin lorsque je me suis réveillée, j'étais seul. Ce matin encore je suis seul, et je repense à cet homme, mais je ne comprends pas d'ailleurs ; pourquoi ? Se n'était qu'une nuit. Alors pourquoi ? Pourquoi j'aimerais pouvoir recommencer cette nuit ? Depuis hier matin, je ne pense qu'à ses mains me caresser, à son regard sur moi, et à ses lèvres m'embrassant tout le corps. Je ne peux pas m'empêcher d'y penser et plus j'y pense moins j'arrive à l'oublier. Ce n'était censé être qu'une simple nuit ! Mais je n'arrive pas à me défaire des sensations que je ressens encore lorsque j'y repense. Pourtant, je devrais l'oublier, je le sais. Mais... c'est plus facile à dire qu'à faire. Je ne sais toujours pas pourquoi mais j'ai l'impression que sa carrure imposante me manque. Mais nous nous sommes rencontrées seulement avant-hier soir, alors pourquoi ? Il me manque et je commence à douté. Pourquoi me demandai-je sans arrêt si il vas bien, se qu'il fait, a quoi pense t'il ou que mangera t'il se midi ? Je dois devenir fou.
Pendant que je me pose soixante-dix-mille questions, la sonnerie des cours retentit, mais je mets un peu de temps à comprendre qu'il faut que je me lève, encore à moitié perdu dans mes pensées.
Mon ami et moi nous dirigeons vers le café en face de notre université. Nous nous installons, à une table proche des vitrines, car mon ami aime contempler les jolies filles dans la rue.
Nos boissons arrivées nous buvons et discutons de tout et rien, mais une sensation étrange me parcourt le corps. L'homme de cette nuit, vient d'entrer dans le café. Il est magnifique. Il porte un costard noir, qui fait ressortir son côté dominant. Des flashbacks de cette nuit-là me reviennent en trombe. J'ai envie de lui.
Son regard croise le mien, sans un mot. Il me dévisage, ou plutôt, il m'observe. Pendant, ce qui me semble être une éternité nos regards ne se lâchant pas, l'ambiance de la salle se tend. Sûrement que pour moi, et lui. Ou peut-être qu'elle a toujours été comme ça. Je n'en sais rien. Mais plus je le regarde et plus mon cœur se serre, douloureusement comme privé d'air. Se n'est que lorsqu'il récupère son café et qu'il s'en va, sans un mot, que je me rends compte que pendant notre échange visuel je mettais privé de respiration. Mon ami n'a rien remarqué. Pourtant, pour moi, il n'y avait que nous, seuls au monde, comme si les autres n'avaient jamais existé. Comme si, le temps d'un instant il avait disparu et seul, lui et moi importait. Je reprends difficilement ma respiration. Haletant encore, et bouleversé par nos regards croisés.
Une fois que cet homme sois parti, tout était de nouveau normal et mon ami et moi, continuons notre discussion.
Je pensais que je ne le recroiserais plus de ma vie. Je m'étais trompé. Complètement.
Depuis cette nuit-là je ne fis que de le voir. Partout.
Comme s'il me suivait. Ou peut-être est-ce juste le destin ?
Mais ce soir-là, dans cette ruelle plus sombre que les autres, je l'ai revu. Mais cette fois-ci, nous étions seuls. Il n'y avait que lui et moi. L'ambiance était tendue, lourde et irrespirable. Cette soirée, c'était il y a un peu près une semaine. Je m'en rappelle très nettement.
Je rentrais des cours, comme habituellement. Je marchais, tranquillement. Mais j'avais senti, quelque chose dans mon dos, comme une ombre qui me suivait. Je sentais son ombre derrière moi, comme si elle me collait à la peau. J'avais essayé d’accélérer le pas, mais ses pas se rapprochaient à une vitesse inquiétante. Je ne pouvais pas m’en défaire, comme un piège invisible. Et puis, je n'ai pas pu m'empêcher de me retourner. Et là, je l'ai vu. Lui. Ce regard qui m’avait troublé dans le café, maintenant plus intense que jamais. La différence, c'était que cette fois, il n'y avait personne autour. Seul moi. Et lui. Cette immense silhouette qui m’intimidait et m’attirait à la fois.
Il s'avançait vers moi, et je reculais doucement. J'avais regardé derrière moi et constaté que le mur se rapprochait aussi vite que lui. Bientôt plaqué contre le mur, il continuait d'avancer et je sentais rapidement la froideur de ce mur de pierre, présent derrière moi. J'étais de nouveau piégé. Impossible de partir, non parce que sa silhouette imposante me bloque, mais surtout parce que plaqué contre ce mur, à quelques centimètres de lui, je n'en avais pas envie.Je voulais de nouveau qu'il m'embrasse. Et comme pour pouvoir m'empêcher de partir, il m'attrape le poignet et se simple contact me fait frissonner. J'aimerais qu'il fasse tellement plus.
Son souffle est proche. Trop proche.
Mon cœur bat à tout rompre, mais je ne bouge pas. Ses lèvres effleurent presque les miennes.
Et dans un murmure à peine audible, il dit :
— Tu m’as manqué.
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